Implantée à quelques encablures du Mc Donald de Buchelay (Yvelines), la nouvelle concession du groupe Vauban a fière allure.
« C’est la première tri-marques du groupe Vauban, »
se réjouit Olivier Hossard, le président du groupe Vauban.
Ce nouveau lieu, implanté sur 8 500 m2 est la nouvelle vitrine d’une entreprise créée en 1922 à Saint-Germain-en-Laye.
« Le nom vient de la place sur laquelle mon grand-père a implanté notre premier garage en 1922. Depuis, nous avons connu une croissance interne avec mon père, Pierre Hossard. C’est grâce à lui que je suis devenu entrepreneur. J’ai réalisé de la croissance externe à partir de 1995 en procédant à l’acquisition d’autres marques. »
Désormais, le groupe Vauban est dépositaire de cinq marques automobiles (Peugeot, Citroën, DS, Seat et Toyota) et compte 18 établissements dans le Nord des Yvelines et le Val d’Oise.
« J’ai mis au cœur de notre action le fait d’être des commerçants locaux, proches géographiquement de nos clients. Nous avons l’impérieuse nécessité de les satisfaire. »
Peugeot, Citroën, DS
Le groupe Vauban peut désormais compter sur le site tri-marques Peugeot, DS, Citroën. L’aboutissement de neuf mois de travaux pour transformer un vieil entrepôt de matériaux de construction qui avait brûlé en un garage high-tech comprenant, sur 2 500 m², trois shows rooms dernier cri, un par concessionnaire, mais aussi un atelier commun avec une partie mécanique de douze ponts et une partie carrosserie intégrant un atelier de peinture ultramoderne respectant les dernières normes environnementales.
« Chaque marque garde son univers à travers des showrooms bien distinct et, derrière, les ressources sont mutualisées. »
Pour la marque Peugeot, il s’agit du deuxième déménagement depuis 2006, date à laquelle la concession avait quitté Mantes-la-Jolie pour rejoindre la zone de Buchelay. « Aujourd’hui, c’est un petit déplacement de 600 mètres pour créer une nouvelle expérience client. » Ainsi, ceux-ci peuvent d’ores et déjà découvrir la nouvelle version de la 508, sortie à l’automne 2018.
« Elle propose un nouveau design audacieux et un intérieur spectaculaire. »
Pour Citroën aussi le déménagement est spectaculaire. La concession Vauban a quitté le grand site de Mantes-la-Ville en gardant l’esprit « Be différent, feel good » de la marque.
« Le visiteur est invité à vivre une expérience physique et digitale »
, ce alors que la marque, désormais centenaire, connaît actuellement une vraie réussite !
DS3 crossback
Enfin, la marque DS, dernière née du groupe PSA, dispose d’un show room spécifique, le DS store.
« C’est un univers dédié à l’élégance, au luxe et au raffinement. »
La marque propose notamment la DS7, première de la catégorie SUV premium en ce début d’année. Jeudi dernier, à l’occasion de l’inauguration du nouveau site de Buchelay, les invités ont également pu découvrir la DS3 crossback.
« Nous sommes heureux et fiers de posséder, avec ce nouveau site tri-marques, un très bel outil pour représenter les marques Peugeot, Citroën et DS comme elles le méritent, »
conclut Olivier Hossard.
EN CHIFFRES : 570 salariés / 10 500 véhicules neufs vendus en 2019 (estimation) / 7000 véhicules / 150 000 heures d’après vente facturées / CA : 350 millions d’euros
Deux hommes ont tenté, dans la nuit du 16 au 17 avril 2017, de pénétrer dans le local des ambulances Malnuit à Rémalard-en-Perche (Orne).
Armés d’un pied de biche, ils ont tenté d’ouvrir la porte et un volet.
Mais un des deux agents en poste de surveillance les a surpris, et les ainsi fait fuir.
L’enquête de gendarmerie a permis l’interpellation de deux hommes (cousins).
Localisation des téléphones
C’est à la suite d’une autre enquête, pour vols aggravés, que les portables des deux hommes étaient sous surveillance.
Et ils ont été localisés à proximité des lieux de l’infraction, au moment des faits…
Avec 25 mentions à son casier (principalement pour des faits de vol), le premier prévenu reconnaît les faits.
Mais, si lors de son audition, il avait admis la présence de son cousin à ses côtés, il nie aujourd’hui :
Je ne me souviens plus… Mais j’avais son téléphone avec moi. »
Le second prévenu confirme :
Je n’ai jamais participé à cette tentative de vol ».
Son casier fait état de six mentions.
Cette nouvelle version laisse perplexe le procureur de la République : « Il se déballonne à cette audience ! Mais je n’ai aucun autre élément qui me permette de retenir une infraction contre le second prévenu, pour qui je demande donc la relaxe ».
Il requiert 10 mois de prison dont 4 mois avec sursis pour l’autre prévenu, avec confusion partielle d’une peine précédente.
Le prévenu qui niait sa présence sur les lieux a été relaxé.
L’autre a été condamné à 8 mois de prison, avec confusion partielle d’une peine de juin 2017 (par le tribunal de Cherbourg).
Clisson se colore déjà en noir. Le Hellfest 2019 n’est que dans deux jours. Pourtant, les festivaliers sont déjà là. Ils arrivent par groupes, par trains ou par la route. Toujours plus nombreux.
Les premiers parkings sont déjà pris d’assaut. Un espace de la zone des Câlins est déjà noir de monde. L’autre est fermé. L’organisation renvoie les festivaliers qui arrivent en voiture vers le nouveau parking (P 0), situé à la sortie de Clisson, direction Mouzillon.
Une semaine de vacances
Les festivaliers arrivent de plus en plus tôt. C’est le cas de Corentin et Logan, Malouins. Les deux Bretons viennent au Hellfest depuis plusieurs années.
Les deux métalleux anticipent. Le Hellfest, c’est leurs vacances. Ils pausent une semaine de congés. Arrivés en début de semaine, les deux Bretons profitent des dernières heures de calme pour visiter Clisson et sa région.
Après ? C’est le Knotfest jeudi soir et le Hellfest à suivre. Quatre jours de concerts et de fête. Budget du délire et du bon temps ; 1000 euros.
Premiers concerts du Off
Les premiers concerts du Off by Leclerc Clisson, programme officiel du festival, ont commencé ce mercredi après-midi. Jusqu’à vendredi, 40 concerts gratuits vont se succéder sur deux scènes.
Le temps du festival, l’hypermarché se transforme aux couleurs du Hellfest. Tête de mort et sculpture métallique habillent l’entrée et la façade.
Dans les allées, stands de merchandising, pôle bar et restauration ou espace pour se faire tatouer. Dans les rayons, les bières et liquides en tous genres trônent en première place. Pour l’apérrroooooooooooo !!!!!
Un faux plafond s’est effondré dans un magasin de la rue des Martyrs à Elbeuf, ce mercredi 19 juin 2019.
Vers 15 h 30, une commerçante a eu la peur de sa vie. D’après un policier municipal, « elle a entendu le plafond se craqueler », dans l’instant, elle a filé à l’extérieur du magasin et le plafond s’est ensuite effondré.
La commerçante se sauve
« Heureusement, c’était un faux plafond », mais les dégâts matériaux dans l’agence de voyage sont quand même considérables. Aucun blessé n’est à déplorer. « Heureusement qu’il n’y avait pas de client à ce moment », note l’agent municipal.
La rue Mouchel était bloquée à la circulation cet après-midi.
Quel carton pour l’Aas Sarcelles ! Lors des finales des Coupes de football du Val-d’Oise, qui se sont déroulées au stade Louis-Odino de Persan les 15 et 16 juin, le club valdoisien a remporté la bagatelle de quatre titres.
Les U16 féminines de Sarcelles ont d’abord battu le Parisis Fc sur le score sans appel de 8-1, le samedi 15 juin. Le lendemain, les U15 sarcellois disposaient du Argenteuil Racing Fc 3-0, réalisant un magnifique doublé Coupe – Championnat.
Les seniors féminines ont ensuite pris l’avantage (2-1) sur une équipe d’Osny qui a vu une de ses joueuses se blesser. Et pour clore ce week-end de la plus belle des manières, les seniors ont remporté le Challenge Coutelier en battant l’Olympique Adamois sur un score étriqué (2-1). Les hommes de Mohamed Coulibaly se sont imposés face à une équipe coriace grâce à un penalty de Mohamed Camara, justement surnommé «100% de réussite sur penalty» et un but d’Adam Ben Abdelouahed.
« Bravo à tous les éducateurs et joueurs pour ces succès, sans oublier les supporters venus en nombre ! », conclut le staff de l’Aas Sarcelles
Les quatre classes de 3 du collège NDF étaient réunies pour ces sympathiques olympiades
Pour la 3e année, le collège Notre-Dame de France a organisé les Olympiades à destination des élèves de 3e. Un moment chaleureux qui a réuni les futurs lycéens dans le parc du lycée Saint-Pierre et mis en place par la CACI (communauté active des collégiens investis) constituée de quinze élèves.
Comme dans le jeu télévisé Koh-Lanta, chaque classe a formé un groupe avec une couleur commune. Chacune des quatre classes a participé à quatre ateliers/jeux où l’adresse et la convivialité étaient de mise. Des épreuves qui se sont déroulées dans un bel état d’esprit et qui ont permis aux collégiens de bien décompresser avant d’autres épreuves, celles du brevet.
Ces olympiades étaient également l’occasion de réunir tous les élèves de 3e avant leur départ au lycée St-Pierre ou dans un autre lycée.
L’Entente de la Presqu’île (Lézardrieux, Pleubian…) recute de jeunes footballeurs pour la saison 2019-2020.
En vue de la saison de football 2019/2020, l’Entente de la Presqu’ile de Lézardrieux (Aspp/Ustlp) recrute :
Des jeunes de tous âges à partir d’enfants nés en 2014 et plus particulièrement des adolescents nés entre 2007 et 2002 (u/13 ans à u/18 ans)
Des animateurs qui puissent entraîner ces jeunes
Des encadrants pour accompagner les animateurs et les joueurs
Infos pratiques : Contact via les réseaux sociaux de l’ASPP et de l’USTLP, via les adresses mail des clubs : annesalou@orange.fr (aspp) et cordonloic@orange.fr (ustlp)
Le Département des Côtes d’Armor a réagi, voilà quelques jours, face à des démarchages abusifs d’entreprises se réclamant de sa part pour des travaux d’économie d’énergie à 1€. Ce mercredi 19 juin 2019, c’est au tour de la Région Bretagne de dénoncer des pratiques similaires.
Vous avez sûrement reçu l’un de ces appels car ils sont nombreux et récurrents depuis quelques semaines. Au téléphone, une personne vous assure que vous êtes éligible au programme de financement de travaux de rénovation énergétique pour lesquels vous ne payerez qu’1€.
Si les entreprises qui proposent ce type de travaux existent réellement, d’autres en profitent pour réaliser des travaux de très mauvaise qualité ou pour monter des dossiers falsifiés.
Plusieurs appels se réclamant de la Région Bretagne ont fleuri ces derniers jours. Le Conseil régional a réagi dans un communiqué appelant « les personnes sollicitées de la sorte à ne pas donner suite à ces appels. La Région Bretagne n’est en aucun cas à l’origine de ce démarchage abusif et le dénonce formellement. »
Des espaces info énergie
Pour rappel, il existe 17 espaces Info-énergie en Bretagne. Soutenu par la Région Bretagne et l’ADEME, ce réseau breton répond aux demandes du public portant sur les différents équipements de l’habitat, le chauffage, l’eau chaude, l’isolation thermique et les énergies renouvelables.
Pour obtenir des conseils neutres, objectifs et gratuits, la Région conseille de contacter le numéro vert régional 0 805 203 205 (gratuit depuis un poste fixe) où des des permanences téléphoniques sont assurées, du lundi au vendredi, de 13h30 à 17h30. Un site internet http://renov-habitat.bzh propose les mêmes infos.
« Roxana, viens à Rochefort sauver notre piscine », c’est le message des enfants de Rochefort-sur-Loire (Maine-et-Loire). Dans un clip vidéo, ils reprennent en choeur le tube de The Police, »Roxanne », s’adressant directement à la ministre des Sports, Roxana Maracineanu.
La ministre « émue » par leur message
Elle-même ancienne nageuse professionnelle, l’ex-championne du monde a vu la vidéo et a publié une réponse sur twitter :
Je viendrai vous voir les enfants. C’est promis. Merci pour votre message qui m’a émue.
Je viendrai vous voir les enfants. C’est promis. Merci pour votre message qui m’a émue. https://t.co/LQ4TEmtodJ
— Roxana Maracineanu (@RoxaMaracineanu) June 14, 2019
Rénovation et remise aux normes
Le piscine du Louet, à Rochefort-sur-Loire, est en effet, depuis plusieurs années, menacée de fermeture.
Gérée par la municipalité, « la piscine a grandement besoin de rénovation et d’une profonde remise aux normes et son maintien s’avère de plus en plus délicat », indique le collectif de soutien dans un communiqué.
50 ans après le drame dans la Loire
Le site du Louet avait été construit dans le cadre du plan des « mille piscines », après la mort de 19 enfants dans la Loire en 1969.
Déjà en juillet 2018, Roxana Maracineanu avait été interpellée par le club de natation local, le RAC.
Celle-déplorait alors dans Le Parisien le nombre élevé de noyades, avant de devenir ministre des Sports en septembre 2018.
Le club lui avait alors adressé une pétition : la députée de la circonscription, Stella Dupont, lui avaient remis les courriers sollicitant un soutien financier.
Le 28 novembre, son chef de cabinet avait répondu, assurant que la ministre avait pris connaissance de la requête.
Une journée de soutien
« Roxana », la vidéo des enfants, a été déjà vue plus 7 000 fois… Mais d’autres actions sont menées pour défendre la piscine de Rochefort.
Dimanche 30 juin 2019, une journée de soutien est organisée, intitulée « la Piscine Ketanou », hommage au célèbre groupe « La Rue Ketanou », l’un des soutiens du projet qui devrait être présent. De nombreuses animations sont au programme… Et cette journée affiche déjà complet !
À l’occasion d’une séance de questions orales, le député (MoDem) Jean-Luc Lagleize a mis les pieds dans le plat, en pleine Assemblée nationale, mardi 18 juin 2019 : la création de la Police de sécurité du quotidien (PSQ) au Mirail aurait conduit, selon lui, au « transfert » de la délinquance au nord de la ville.
Interrogeant le gouvernement, le député de la 2e circonscription de la Haute-Garonne s’est inquiété de la sécurité publique dans les quartiers des Izards-Trois Cocus et de Borderouge, à Toulouse. Tous deux ne sont pas classés « Quartiers de reconquête républicaine » (QRR)… à l’inverse du Mirail.
La PSQ a fait « preuve d’efficacité » au Mirail…
Jean-Luc Lagleize a d’abord rappelé que la Police de sécurité du quotidien (PSQ) était « un engagement majeur du Président de la République et de notre majorité ». Et pour le député, cette PSQ, qui a consisté au déploiement de 30 agents début septembre 2019 au Mirail, a fait ses preuves dans ce quartier :
En s’adaptant aux attentes de la population et aux besoins du territoire, ce dispositif mis en œuvre dans le quartier de reconquête républicaine du Mirail à Toulouse a su faire preuve d’efficacité et a obtenu des résultats visibles sur le terrain en quelques mois à peine, pour lutter contre l’insécurité, contre les trafics et contre la radicalisation, en renforçant la présence des forces de l’ordre au plus proche de nos concitoyens.
« Effet pervers » sur les Izards – Trois-Cocus et Borderouge ?
Mais selon Jean-Luc Lagleize, la PSQ a aussi conduit à déplacer les problèmes du Mirail ailleurs dans Toulouse :
Toutefois ce dispositif a eu un effet pervers à Toulouse, avec une intensification des trafics dans d’autres quartiers, comme par exemple aux Izards-Trois Cocus et à Borderouge. C’est ainsi que plusieurs fusillades, mortelles, liées à ces trafics, ont eu lieu ces derniers mois, dans ces deux quartiers en plein développement et qui connaissent une hausse démographique importante.
« Lors de la dernière fusillade, en date du 4 mai dernier, un jeune homme de 19 ans a été abattu sous les fenêtres du domicile familial », a rappelé le député. « La situation de nos concitoyens n’est plus tenable aujourd’hui », a-t-il lancé, appelant le gouvernement à « redoubler d’efforts pour lutter contre cette délinquance, contre le trafic de stupéfiants et la circulation d’armes ».
Appel à mettre en œuvre la PSQ aux Izards et à Borderouge
Évoquant « le déficit de personnels de nos forces de l’ordre » à Toulouse, il lançait un appel pour obtenir plus d’effectifs au nord :
En ce 18 juin, je vous lance un appel : pouvez-vous prendre l’engagement de mettre en œuvre la Police de sécurité du quotidien dans les quartiers des Izards – Trois Cocus et de Borderouge, afin de reconquérir l’ordre républicain ?
Pour le ministre, « la PSQ se déploie » au nord de Toulouse
En réponse, Marc Fesneau, ministre (également MoDem) chargé des relations avec le Parlement, a confirmé que « les effectifs de la sécurité publique de Toulouse avaient été renforcés de 30 personnels » et a rappelé que « ces Quartiers de reconquête républicaine font l’objet d’effectifs supplémentaires parce qu’ils connaissent des problématiques particulières, par exemple au Mirail ». Puis il a avancé, à la surprise générale :
Dans les quartiers Izards – Trois-Cocus et Borderouge, la PSQ se déploie.
Évoquant la mise en place de groupes de travail depuis mai 2019 à Toulouse, « dont un dans le quartier de La Maourine », le ministre étayait : « Cette mobilisation commence à porter ces fruits. Dans ces quartiers, la délinquance a diminué de 12 % au cours des quatre premiers mois de l’année 2019. Les problèmes liés au trafic de drogue que vous avez souligné sont parfaitement identifiés et rien ne permet de lier l’activité délinquante dans ces quartiers à la création d’un QRR au Mirail ».
Le député, lui, redoutait que ces quartiers du nord de Toulouse, « qui sont encore dans la République », ne sombrent « dans la face obscure ».
Vidéo. Regardez la question du député Jean-Luc Lagleize, et la réponse du gouvernement :
« Première nouvelle », dit-on chez Alliance
La PSQ qui se déploie au nord de Toulouse ? Les syndicats policiers, de leur côté, n’en ont jamais entendu parler. « Première nouvelle », sourit Grégory Hemous, délégué syndical chez Alliance. « Mais ce serait très bien que la PSQ soit étendue à d’autres zones, et avec des effectifs en conséquence ». Il poursuit :
La PSQ était uniquement destiné aux QRR. Or, les Izards et Borderouge n’en font pas partie. Et de ce que l’on sait, nos 30 collègues recrutés avec la PSQ n’ont été prévus qu’au Mirail. Et malgré ces équipiers supplémentaires, nos effectifs sont encore en souffrance… Nos collègues de la BST du Mirail sont d’ailleurs pris par des tâches indues, ce serait bien de les concentrer sur leurs cœur de métier, plutôt que de les coller à suivre les gilets jaunes tous les samedis, ou à conduire des détenus vers d’autres villes. Quand ils font ça, ils ne sont plus dans le quartier.
Quant au « transfert » de délinquance d’un bout à l’autre de la Ville, cela ne convainc pas le syndicaliste : « Le problème de la drogue est désormais un peu partout à Toulouse, et ce bien avant la PSQ ».
« Une guerre commerciale », selon Unité SGP Police FO
Même son de cloche du côté de Didier Martinez, délégué régional Unité SGP Police FO :
L’extension du problème vers les Izards date bien avant la PSQ. Celle-ci a été créée avec des apports d’effectifs exclusivement au Mirail. Mais l’ampleur des trafics, l’économie souterraine et l’argent généré font que ça s’étend sur tous les quartiers… Cela dit, nous réclamions dès la mise en place de la PSQ des renforts de police sur l’ensemble de la ville de Toulouse, notamment aux Izards.
« C’est vrai que la PSQ a permis d’être plus efficace au Mirail, on a pu faire davantage d’offensive », poursuit-il. « Mais il faudrait davantage d’effectifs partout, pour lutter contre la querelle des territoires. Car pour eux, c’est une guerre commerciale ». Didier Martinez déplore lui aussi que « depuis des mois, le week-end, nous ne sommes plus consacrés à des missions d’ordre public ».
Tous deux réclament, comme le maire d’ailleurs, 150 à 200 policiers supplémentaires à Toulouse. Et malgré ce manque criant d’effectifs, les deux syndicats soulèvent enfin que la Ville rose ne touchera pas d’effectifs complémentaires en septembre : elle ne sera pas concernée par le « mouvement général », qui permet à des policiers de demander des mutations dans une autre ville… Va comprendre !
Jean-Luc Moudenc en remet une couche
Lors d’un point presse consacré au bilan de ses cinq ans de mandat au Capitole, le maire (LR) de Toulouse Jean-Luc Moudenc a évoqué le problème du développement du trafic de drogue – et par effet domino des règlements de comptes – dans la Ville rose. Réclamant une nouvelle fois davantage d’effectifs de police, il soufflait : « Toulouse est minée par une extension du trafic de stupéfiants. Les points de deal se sont étalés dans la ville, comme dans toutes les grandes métropoles. Les maires, nous ne sommes pas outillés pour cela. Nous n’avons pas le droit de faire des enquêtes, nous ne pouvons que nous adresser à l’État ».
Interrogé sur l’évolution du quartier de Borderouge, Jean-Luc Moudenc a constaté qu’il s’y était développé un « nouveau point de deal » ces dernières années. Une mauvaise tournure liée, selon lui, aux décisions d’urbanisme de son prédécesseur, Pierre Cohen, dans la partie nord du quartier. Il a indiqué que la mairie s’attachait à « rééquilibrer la vie à Borderouge et rendre plus compliqués les trafics ». >> Lire aussi :Toulouse. Jean-Luc Moudenc : « Nous ne sommes pas outillés » face aux trafics de stupéfiants
Bien que le mois de juin soit chargé avec plusieurs manifestations festives dans la région, la fête de l’Éperlan, ex-fête du village, a une nouvelle fois tenu ses promesses, à Tourville-la-Rivière, dans l’agglo d’Elbeuf, malgré un public légèrement moins nombreux qu’à l’habitude.
Vendredi 14 juin, en fin de journée, après l’ouverture de la fête par la Marianne 2019, Elsa Goncalves, accompagnée d’Océane Lefebvre, première citoyenne, près de la fête foraine, les jeux interquartiers pouvaient commencer.
Week-end festif
De son côté, Noël Levillain, le maire, a souhaité à tous un très bon week-end festif. Des jeux populaires, oubliés le plus souvent durant l’année, mais toujours aussi rassembleurs, car prétexte à déclencher des rires. Notamment avec les courses en sacs où le public semble venu pour assister aux chutes.
À l’issue des compétitions, l’équipe des jaunes remportait les épreuves enfants. Chez les adultes, l’équipe Vanille-Chocolat se distinguait. La soirée était ensuite réservée aux discussions entre amis et au repas.
La journée de samedi a débuté par un marché artisanal et floral, qui a été davantage fréquenté durant l’après-midi.
La journée se poursuivait par les très attendus concerts, avec une belle tête d’affiche en la personne de Christiane Obydol, du groupe Zouk Machine, entourée de son orchestre et de ses deux choristes.
La musique dans la peau
Durant le spectacle, elle n’a pas hésité à faire venir sur scène, un des spectateurs, pour chanter avec elle quelques instants, avant d’inviter des enfants à la rejoindre, un peu après. Son concert ne pouvait se terminer sans interpréter la chanson qui lui colle autant à la peau que la musique, Maldòn (un million d’exemplaires vendus en 1990), repris en chœur par le public.
L’orchestre de Thierry Tacinelli et ses chanteurs ont assuré la première et la troisième partie de la soirée.
Des jeux interquartiers ont émaillé la journée du samedi, avec un concert pour terminer en beauté !
Comme chaque année, le Comité du souvenir 19du général de Gaulle de l’agglo d’Elbeuf (l’un des plus vieux de France puisqu’il a vu le jour dès 1972) a commémoré, mardi 18 juin 2019, l’appel du juin 1940, lancé depuis Londres sur les ondes de la BBC par le Général.
Et ce sont les délégués de classes de l’école Charles-Mouchel qui ont été chargés de lire le fameux appel. Cinq gerbes ont ensuite été déposées, par le comité, les villes d’Elbeuf, Saint-Aubin-lès-Elbeuf et Saint-Pierre-lès-Elbeuf. La cinquième, offerte par la députée Sira Sylla, absente et non représentée, a mis quelque peu dans l’embarras les organisateurs et la municipalité d’Elbeuf, qui accueillait cette année la manifestation.
Une gerbe embarrassante
Pas question de ne pas y toucher et de la laisser de côté (comme cela a été le cas le 8 mai dernier à Caudebec-lès-Elbeuf) mais, en même temps, qui allait se dévouer pour la déposer au pied du monument aux morts ? Un volontaire « désigné d’office » a finalement été rapidement trouvé, qui s’est plié de bonne grâce pour ne pas laisser la gerbe au milieu de la place, « ne serait-ce que par respect pour tous les morts et parce que ça ne se fait pas ».
La chirurgie de l’obésité n’existait pas sur le Centre-Bretagne, que ce soit au Centre hospitalier du Centre-Bretagne, établissement public ou à la polyclinique privée de Kério à Noyal-Pontivy (Morbihan). Désormais, c’est chose faite grâce à l’arrivée d’un deuxième chirurgien dans le service digestif et viscéral de la polyclinique, un renfort qui permet de continuer à développer la chirurgie digestive.
100 patients auraient pu être opérés en Centre-Bretagne en 2018
« C’est dommage de faire une heure de route pour un simple avis » lance lucidement Mathieu Verger, directeur délégué à la polyclinique de Kério à Noyal-Pontivy. L’établissement privé du groupe Vivalto Santé développe son service de chirurgie digestive en mettant en place la chirurgie de l’obésité, entre autres.
En ce qui concerne la chirurgie de l’obésité (bariatrique), 100 patients du Centre-Bretagne ont été opérés à Vannes, Lorient ou Saint-Brieuc, en 2018. Alors qu’on aurait pu les prendre en charge ici. Ce sont 100 patients opérés, mais cela sous-entend 500 patients en suivi médical au total. On offre une prise en charge de proximité.
Le premier patient opéré en chirurgie de l’obésité de la polyclinique, le sera en novembre 2019, « alors que je le suis depuis l’année dernière » indique le Dr Hooman Farghadani, chirurgien belge arrivé à Noyal-Pontivy en 2018. Il poursuit : « il faut six mois de bilans, avec une quinzaine de spécialistes, avant de penser à une éventuelle chirurgie, et que le dossier soit aussi accepté par la Caisse d’assurance maladie. »
Un deuxième chirurgien digestif
La chirurgie digestive représente à peine 10 % (700 patients par an à Kério) de la totalité des opérations chirurgicales de la polyclinique (8 000 patients par an). Mais pour la développer et la spécialiser, l’arrivée d’un deuxième chirurgien dans le service digestif était nécessaire.
Le Dr Virgil Dimbezel, 40 ans, est arrivé il y a trois mois du Finistère, après un crochet par le sud de la France ; attiré par le projet de développement de la chirurgie digestive. « Avec son arrivée, on a pu faire de la chirurgie de l’obésité, ce n’était pas possible avant », indique Mathieu Verger.
La compétence obésité ne fait pas partie de la formation standard d’un chirurgien digestif. C’est une sur-spécialisation. Les Dr Farghadani et Dimbezel ont suivi une formation en chirurgie bariatrique. C’est important pour le Centre-Bretagne, on y apporte de la chirurgie de pointe, en toute sécurité.
Un recrutement qui permet de mettre en place un planning d’astreinte en chirurgie digestive à la polyclinique : la prise en charge en service digestif est désormais garantie 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24.
Le développement de la chirurgie digestive passe aussi par la mise en place de la chirurgie thoracique (poumons). Une compétence acquise par le Dr Farghadani, qui exerce avec un anesthésiste.
La chirurgie thoracique est très technique. Elle est souvent limité aux centres ultra-spécialisés de type CHU. On fait des choses complémentaires entre les deux deux chirurgies : ces deux types de prises en charge sont une réussite.
Ces deux nouveautés mettent en lumière la bonne forme du service digestif de la polyclinique de Kério, après le départ et le décès des précédents chirurgiens en 2018. « La chirurgie de tous les jours, c’est celle qui rend le plus de service à la population, avant l’ultra-spécialisation » rappelle le Dr Dimbezel.
La petite chirurgie, c’est notre pain de tous les jours. Avec des techniques d’aujourd’hui, avec les standards des CHU.
Des animateurs encadreront novices et initiés lors des danses country de la fête américaine. Plus de 110 bénévoles participeront à la première édition de l’Independence Day.
C’est un petit coin de prairie du Montana ou du Kansas qui s’installera sur l’hippodrome de Saint-Malo samedi 22 et dimanche 23 juin 2019.
La première édition de la fête de l’Independence Day entend conduire les visiteurs au pays de l’Oncle Sam. Au programme : de la danse country, des chants amérindiens, des reconstitutions, des activités pour les enfants, etc.
L’histoire des États-Unis à l’honneur
Pour cette première, le président de l’association West Cowboy Country, Daniel Aubry, dont l’association est implantée à Saint-Jouan-des-Guérets, a vu les choses en grand.
Plusieurs époques et facettes des États-Unis seront mises en avant :
« On a essayé de représenter l’Amérique du Nord de 1776 à 1945, de la création des États-Unis à la libération de la France avec l’aide des GI’s », explique Daniel Aubry.
Les différentes périodes seront réparties sur différents espaces de l’hippodrome. Les visiteurs pourront déambuler dans les allées du festival et passer d’une époque à une autre.
Ambiance western
Certains décors ne seront pas sans vous rappeler l’ambiance des westerns. Un saloon et des boutiques ont été reconstitués selon les codes du far west.
« Des danseuses de French cancan assureront l’animation et des musiciens joueront de la musique de cabaret ».
Un campement amérindien sera installé. À quelques mètres de là, des motos et des voitures américaines seront aussi exposées.
Des animations toutes les heures
Toutes les heures, une nouvelle animation débutera. Danses country et chants seront au programme. Deux chanteurs amérindiens du Montana feront le déplacement d’Amérique du Nord pour se présenter devant le public breton.
Au total, ce sont près d’une quinzaine de shows qui seront assurés par des professionnels et des bénévoles tout au long de la journée.
Tir à l’arc, taureau mécanique
Les enfants pourront s’essayer au tir à l’arc. Quant aux adultes, ils pourront toujours se confronter au taureau mécanique ou user le parquet du chapiteau, au côté des danseurs de country. 7 clubs d’Ille-et-Vilaine seront présents pour initier les novices et dévoiler leurs chorégraphies.
Réservations par téléphone au 06 19 43 88 76 ou auprès de l’association West cowboy country. Entrée : 10 à 15 euros (moins de 12 ans : 3 euros).
Les travaux de la rue Léopold Faye ont-ils démarré un mois plus tôt que prévu ? Non !
Depuis ce jeudi matin et jusqu’au 12 juillet, une interdiction de stationner est venue contrarier le fonctionnement de la rue Léopold Faye. La raison : les camions qui évacuent les déblais des immeubles en cours de démolition, îlot Espiet, rue Fourton, ont bien des difficultés à passer rue Léopold Faye et plusieurs accrochages de rétroviseurs ont déjà eu lieu.
Interdit de se garer jusqu’au 12 juillet
Si bien que la solution, pour la municipalité, a été de prendre un arrêté d’interdiction de se garer tout le long de la rue Léopold Faye à compter de ce jour, 20 juin, jusqu’au 12 juillet, date de fin de travaux espérée pour cet îlot Espiet qui deviendra un vaste parking et qui résoudra bien des problèmes.
[VIDEO] Les camions à la manœuvre : un travail au millimètre
N’empêche qu’en attendant, cette nouvelle contrainte pose un sérieux souci pour les commerçants qui ont été mis devant le fait accompli ce jeudi matin.
Entre désarroi et colère, ils ont imploré la municipalité de «faire quelque chose» pour eux: «Nous nous préparions à subir quatre mois de travaux, d’août à décembre, et nous nous demandons si nous y survivrons. Nous allons subir la fermeture de la Filhole pour le Garorock et on prive dès à présent nos clients de stationnement dans la rue jusqu’au 12 juillet ! C’est sûr, cette fois, en ne pourra jamais tenir !» déclare une commerçante en pleurs lorsque Philippe Labardin, premier adjoint et Jean-Luc Dubourg, adjoint aux travaux, sont venus à la rencontre des commerçants dans la rue Léopold Faye. Avant eux, Sylvie de Lamarlière, adjointe déléguée aux commerces, avait recueilli les doléances des commerçants.
La mairie va proposer des solutions
On s’achemine vers des solutions, peut-être le déplacement de certains commerçants le temps de ces longs travaux, des places de stationnement offertes au parking souterrain des Cordeliers, ce qui fait dire aux commerçants de la rue déjà abonnés qu’ils espèrent aussi retenir l’attention de la part de la mairie !
Jeudi 20 juin 2019, à 8h46, le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (Cross) Étel, a coordonné l’évacuation médicale d’un passager anglais, sexagénaire, qui se trouvait à bord du Pont-Aven, de la Brittany Ferries, à 22 nautiques (environ 41 kilomètres) au sud de Penmarc’h, dans le Finistère.
Transporté au CHRU de Brest
Le passager a été hélitreuillé par l’hélicoptère médicalisé Caïman, de la Marine nationale, basé à Lanvéoc-Poulmic. L’hélitreuillage s’est achevé à 10h48. Le passager a été conduit à l’hôpital de la Cavale-Blanche à Brest où il a été pris en charge à 11h10.
Pour fêter ses 10 ans, l’Association Anne-Sophie Deval va rejoindre Trouville-sur-Mer depuis Paris en voiture à pédales en 10 étapes.
Ce rallye ludique, vivant et sympathique, passera par Bernay le 26 juin avec une arrivée de la rosalie prévue vers 17 h sur la place située à proximité de l’office de tourisme. A cette occasion, l’association organisera une arrivée festive sur site ainsi qu’un spectacle gratuit qui aura lieu à 19 h 30 à la salle des fêtes de Bernay : Titouan Laporte ne la ferme pas, premier one-man show de Titouan Laporte, jeune talent aidé par l’association.
L’association Anne-Sophie Deval
A l’origine de la création de l’association Anne-Sophie Deval, il y a une jeune artiste dont le talent a été reconnu dès l’âge de 8 ans dans le chant, la comédie et la danse. Toute jeune, elle a consacré toute son énergie à sa passion, à son rêve… Personne autour d’elle n’était artiste. Anne-Sophie a pourtant convaincu ses parents, et le corps enseignant ! À 16 ans, après une très douloureuse maladie, elle est redevenue un ange parmi les anges.
Aujourd’hui, en sa mémoire, l’association Anne-Sophie Deval a pour vocation d’aider les jeunes talents à accomplir leur rêve et vivre de leur art.
Le rallye Paris-Trouville
Pour fêter ses 10 ans, l’association Anne-Sophie Deval va rejoindre Trouville-sur-Mer depuis Paris en voiture à pédales en 10 étapes, du 21 au 30 juin 2019.
Pour cela, une rosalie est mise à la disposition d’une première équipe de 4 volontaires (dont un artiste aidé par l’association), au départ de Paris. Les 4 cyclistes emmènent à rythme, dans la bonne humeur, la rosalie jusqu’à l’étape suivante. Une nouvelle équipe prend le relais, le lendemain. Et ainsi de suite… jusqu’à l’arrivée à Trouville. Le parcours est composé de 10 étapes distantes d’environ 15 à 20 km.
A tout juste 18 ans mais avec plus de 10 ans de carrière cinématographique et plus de 50 films, il se lance dans le One Man ! Il a déjà donné la réplique à François Cluzet, Mathilde Seigner, Clovis Cornillac, Albert Dupontel, Claire Keim, Jean Dujardin, Mimi Mathy, Jean Marie Bigard, Max Boublil, Lorie, Philippe Bas, Marie José Croze, Laly Meignan, Marie Sophie L., Philippe Torreton, Clément Sibony, Aurélien Wiik, Lucie Jeanne, Soren Prevost , Astrid Veillon, Stéphane Blancafort et tant d’autres… Et même un loup !
Il débarque à présent sur scène, coaché par Muriel Montossey avec son one-man show Titouan Laporte ne la ferme pas, dans lequel il rit de ses problèmes d’ados que l’on s’est déjà tous posé. Drôle, fin et touchant, il saura vous transporter dans son univers et vous faire redécouvrir l’adolescence.
Spectacle Titouan Laporte ne la ferme pas, mercredi 26 juin à 19 h 30 à la salle des fêtes de Bernay. Réservation au 06 40 82 11 32
Le moulin Guidon datant du XVIIIe siècle a été restauré en 2002
La 22e édition des journées du Patrimoine de Pays et de Moulin sera l’occasion de (re) découvrir le patrimoine rural, les trésors cachés de nos campagnes, sans oublier les paysages et ses savoir-faire.
Autour de la thématique de cette édition : Naturellement durable ! Baie de Somme 3 Vallées et le service patrimoine de la ville d’Abbeville ont concocté une série d’événements au Moulin d’Eaucourt-sur-Somme, un des lieux emblématiques du futur Pays d’Art et d’Histoire Ponthieu ? Baie de Somme. Cette candidature portée par les deux structures est construite en synergie avec le projet de Parc Naturel Régional Baie de Somme 3 Vallées.
L’association du moulin, surnommé moulin Guidon, en raison de son rôle de repère dans le paysage, fera visiter cette construction datant du XVIIIe siècle, restauré en 2002, grâce à la volonté des anciens élèves du village et de la municipalité.
Le visiteur est ainsi appelé à se transformer en meunier : sac de blé, fabrication de la farine, ailes habillées de toile rouge prêtes à tourner selon la force du vent : tout est réuni pour produire la base essentielle à la fabrication d’un bon pain à l’ancienne, cuit au feu de bois.
Et pour en savoir plus, Yves Coutant, un des grands spécialistes des moulins en Europe, évoquera Naissance et développement du moulin à vent, en Hauts de France le temps d’une conférence.
Il restituera ainsi en partie de précieuses informations collectées au gré des archives étudiées dans le Nord de la France, en Belgique, Pays-Bas ou Allemagne.
Le Moulin d’Eaucourt-sur-Somme, c’est aussi un site exceptionnel. Perché sur l’un des versants de la Somme, sa situation offre une lecture de paysage des plus pertinentes. Ce paysage, transformé au fil des siècles, offrant au regard des milieux naturels et des entités géologiques particulières et permet aussi de prendre conscience de leur appropriation par l’homme.
Activités gratuites pour les enfants
Lecture de paysage, mais aussi découverte de la faune et de la flore du coteau d’Eaucourt. Une promenade pour rencontrer les espèces propres à ce coteau et leur secret sans oublier les milieux de la vallée.
Plusieurs stands dédiés aux projets de Pays d’Art et d’Histoire et de Parc Naturel régional, la présence des bénévoles de Maisons Paysannes de Somme permettront au public d’échanger avec les équipes sur les enjeux liés au patrimoine naturel et monumental, les méthodes de constructions et de restauration du bâti traditionnel.
Découverte de l’énergie éolienne
Enfin, une exposition construite par L’association du moulin d’Eaucourt autour des moulins de la Somme, la découverte de l’énergie éolienne toute proche donneront une large vision de ce mode de production d’énergie passé et futur.
Le jeune public ne sera pas en reste : contes itinérants sur les moulins et le vent avec Pascal Roumazeilles, ateliers créatifs et sensoriels autour du moulin et de la farine autant d’activités gratuites pour les amener à découvrir leur environnement.
Qui dit fête, dit musique. Ches gambes d’min pied, groupe folk créé en 2010 à Amiens donneront envie de danser ou de chanter au gré de leurs chansons et musiques traditionnelles.
Programme du week-end
Visites du Moulin Guidon les 22 et 23 juin à 10h -15h-17h (durée 1 heure) 6€ par personne –Places limitées- réservation conseillée.
Samedi 22 juin à 18h30 : conférence Naissance et développement du Moulin à Vent par le professeur Yves Coutant.- Gratuit- places limitées, réservation conseillée.
Dimanche 23 juin à 14h45 et 16h30 (durée 40-45mn) Gratuit : Lecture de paysage : La Vallée de la Somme, animation Nature à 15h30 et 17h15 (gratuit).
Attention stationnement impossible au moulin. Parking conseillé au village ou au stade de football (rue de la ferme Coupigny). Accès au moulin par navette (gratuit) – départ du stade de football.
Une alarme se serait déclenchée au CHD au niveau d’un ascenseur du pôle mère-enfant.
« L’important déploiement de moyens humains et matériels est une procédure classique dans le cas des établissements recevant du public », indiquent les pompiers.
Dix personnes ont été évacuées à 17 h 15.
Sept centres de secours sont déployés sur les lieux.
Cet après-midi, jeudi 20 juin 2019, une soixantaine de papillons multicolores se sont posés dans les arbres de la place Saint-Antoine, à Locminé.
Une nouvelle mission pour Yannick Moisan, des services techniques de la ville, d’ordinaire habitué à poser les guirlandes de Noël !
« C’est un passe-temps », avoue t-il. Surtout lorsqu’il faut les positionner dans les arbres, un par un. Heureusement, lorsqu’il est en haut de la nacelle, il est guidé au sol par Françoise, l’animatrice des Mardis seniors, qui le conseille sur l’emplacement et sur les couleurs. Car il y a cinq coloris, trois formes et trois tailles de papillons.
La pose devrait durer une semaine encore, avec la pose de 28 cadres de papillons aux emplacements des illuminations de Noël (rue du Fil, rue Chateaubriand, etc.).
Plus de 2 000 papillons au total ! Ce projet artistique, initié par Cathie Lorgeoux, adjointe au maire, « pour rendre la ville encore plus attractive et pleine de couleurs ». Il a été mis au point avec Thierry Keller de la société Toutcomme, et créé par Stéphanie Bohnert, artiste plasticienne.
Les papillons parcourent les rues du centre-ville et invitent les passants à les suivre », résume l’artiste.
Le soleil ? Le vent ? La pluie ? Pas de souci, rassure l’artiste. Les papillons sont en polypropylène, un matériau qui ne se déchire pas et qui est recyclable !