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Un passage piéton de la ville de Mamers aux couleurs LGBT

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Plusieurs passages piétons ont été colorés à Mamers (Sarthe).

Deux passages piétons ont été colorés à Mamers (Sarthe). (©Le Perche)

Ce lundi 17 juin 2019, les habitants de Mamers (Sarthe) ont été surpris de voir l’un des passages piétons du centre-ville peint aux couleurs de l’arc-en-ciel.

Le passage piéton du feu tricolore de la rue Charles-Granger a été peint dans la nuit du dimanche 16 au lundi 17 juin 2019.

L’œuvre a été réalisée en deux temps et achevée dans la nuit du lundi 17 au mardi 18 juin 2019.

Les bandes blanches rappellent les couleurs des associations LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres).

Frédéric Beauchef, maire de la cité mamertine, se propose de conserver les couleurs. Mieux, encore :

Nous allons l’encadrer de pointillés blancs perpendiculaires pour assurer le réfléchissement la nuit et améliorer sa visibilité. »


Nouveau collège Geneviève-De-Gaulle-Anthonioz au Neubourg : la rentrée des 6e aura lieu le 2 septembre

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L'amphithéâtre du lycée agricole du Neubourg affichait complet samedi matin pour cette réunion d'information destinée aux parents des élèves du nouveau collège Geneviève-De-Gaulle-Anthonioz, dont le futur principal est Alain Grégoire (à droite).

L’amphithéâtre du lycée agricole du Neubourg affichait complet samedi matin pour cette réunion d’information destinée aux parents des élèves du nouveau collège Geneviève-De-Gaulle-Anthonioz, dont le futur principal est Alain Grégoire (à droite).

Le nouveau collège du Neubourg (Eure) servira à régler le problème du surnombre d’élèves dans les collèges proches, dont principalement Pierre Corneille, au Neubourg, et André Maurois à La Saussaye. Ce nouveau collège, baptisé Geneviève-De-Gaulle-Anthonioz, accueillera ses premiers élèves dès la rentrée scolaire de septembre 2019.

Samedi matin, une réunion d’information s’est tenue dans l’amphithéâtre du lycée agricole du Neubourg, où les parents des futurs élèves de 6e, 5e, 4e, 3e, ont pu faire connaissance avec le principal, Alain Grégoire, et profiter d’une présentation rapide du nouvel établissement. « C’est avec plaisir, mais aussi une certaine émotion que je vous accueille. C’est le commencement d’une histoire que nous allons écrire ensemble ». Le principal a expliqué que cette réunion se déroulait au lycée agricole, car le nouveau collège, même si les travaux étaient presque terminés, devait attendre le passage de la commission sécurité hygiène, la dernière semaine de juin, pour ouvrir : « J’ai un bel établissement, mais pour l’instant je n’ai pas les clés. J’y suis allé avec un casque sur la tête pour le visiter, mais tant que cette commission n’a pas statué, je ne peux pas ouvrir l’établissement ».

Rentrée le 2 septembre pour les 6e

Mais Alain Grégoire a tenu à rassurer les parents en leur confirmant bien l’ouverture : « Il y a une forme d’interrogation chez les parents qui se demandent si le collège va ouvrir ou pas. Car on en parle beaucoup, mais on ne le voit pas. La rentrée aura bien lieu comme prévu le lundi 2 septembre, ou à 8 h 40 nous accueillerons uniquement les 6e. Une journée leur sera consacrée entièrement. Et le lendemain, mardi 3, nous accueillerons toujours à 8 h 40 les autres niveaux 5e, 4e, 3e, sans les 6e qui resteront chez eux. Et le mercredi 4, tous les élèves reprendront ensemble, selon leur emploi du temps provisoire ».

230 élèves de Corneille

Le principal a précisé que pour répondre au problème d’effectif lié au collège Pierre Corneille : « Ils étaient pratiquement 900 élèves alors que c’est un collège 600 », il y aurait 230 élèves de Corneille qui allaient rejoindre le nouvel établissement. « Donc il y a quatorze suppressions de postes de professeurs. Mais sur les quatorze, treize veulent venir dans le nouveau collège. Vendredi prochain je saurai quels sont les professeurs qui viennent. Mais il y a de fortes chances qu’ils viennent tous ».

Effectif de 438 élèves

Au niveau des effectifs, ils seront 438 élèves à fréquenter le collège Geneviève-De-Gaulle-Anthonioz à la rentrée prochaine. Il y aura 161 élèves de 6e répartis en 6 classes, 81 élèves de 5e en 3 classes, 98 élèves de 4e en 4 classes, et 98 élèves de 3e en 4 classes.

Concernant le planning avant ouverture du collège, le principal a donné quelques éléments factuels. Comme du 17 au 21 juin, la livraison des ordinateurs, du mobilier scolaire et administratif. Du 24 au 28 juin, le raccordement à la fibre optique, l’installation de l’infirmerie. Du 1er au 5 juillet, installation des tableaux et du fonds documentaire du collège Pablo Néruda au CDI. À partir du 15 juillet, installation de Turboself : « La cantine peut accueillir jusqu’à 400 élèves. Un cuisinier vient d’être engagé. La demi-pension concernera une grande partie des élèves, puisque ceux qui habitent au Neubourg vont au collège Pierre Corneille. Cela veut dire que nous allons recevoir en majorité des élèves qui viennent en car, donc qui mangeront au collège », souligne le principal.

La rentrée des agents, des pôles administratifs et vie scolaire, se déroulera à partir du 26 août, et la rentrée des professeurs est fixée au vendredi 30 août.

Une trentaine de professeurs

Pour le personnel de l’établissement, il sera composé d’une trentaine de professeurs, dont 13 enseignent actuellement au collège Pierre Corneille. L’autre moitié doit être nommée : « La nomination se fait jusqu’au 21 juin », précise Alain Grégoire. Il y aura une CPE, une infirmière, et des assistants d’éducation : « Le recrutement est en cours pour 3,5 postes d’assistant d’éducation, et un demi-poste d’assistant pédagogique ».

Au niveau personnels du département, il y aura huit agents : 3 personnels de cuisine dont un chef de cuisine. Un agent d’accueil. Un agent de maintenance et trois agents d’entretien des locaux : « Ces personnes sont recrutées ou son en phase de recrutement », informe le principal.

Calculette offerte pour les 6e

Au niveau des fournitures scolaires, la liste sera fournie au moment des inscriptions (voir encadré). Mais déjà, les parents doivent savoir que le carnet de liaison est fourni par le collège, et que pour les élèves de 6e, la calculatrice est offerte par le département.

Ramassage scolaire : inscriptions en ligne

En ce qui concerne le ramassage scolaire, il se fera avec un décalage de 15 minutes par rapport au collège Pierre Corneille. Les inscriptions se font en ligne, du 18 juin au 31 juillet, sur la plateforme régionale : transports.normandie.fr

Inscriptions au nouveau collège du Neubourg
Les inscriptions pour la rentrée de septembre 2019 se feront dans les locaux du collège Pierre Corneille, selon le calendrier suivant :
Niveau 6e : mercredi 19 juin 2019 de 9 heures à 12 h 30 et de 13 h 30 à 16 heures – jeudi 20 juin de 16 à 19 heures et le vendredi 21 juin de 16 à 19 heures. Niveaux 5e, 4e et 3e : lundi 24 juin 2019 de 16 à 19 heures, inscriptions des élèves issus des collèges Paul Bert et Jean Rostand. Mardi 25 juin, de 16 à 19 heures pour les élèves issus du collège Pierre Corneille. Mercredi 26 juin de 9 heures à 12 h 30 et de 13 h 30 à 16 heures, pour les élèves issus du collège Pierre Corneille et jeudi 27 juin de 16 à 19 heures, toujours pour des élèves issus du collège Pierre Corneille.

Actu Rugby a retrouvé... David Roumieu : "Aujourd’hui, je vis un rêve de gosse"

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David Roumieu dans son restaurant, avec sa spécialité : une gargantuesque cote de bœuf.

David Roumieu dans son restaurant, avec sa spécialité : une gargantuesque côte de bœuf. (©Philippe Kallenbrunn/Actu Rugby)

On l’a retrouvé tel qu’on l’avait quitté : barbu comme un ZZ Top, tanké comme un gorille, blagueur comme à la première heure. La carrière de David Roumieu a pris fin au Stade toulousain à 36 ans, en mai 2018. Un an trop tôt, on le sait maintenant, lui qui a manqué d’un rien la reconquête du Bouclier de Brennus, samedi 15 juin 2019, au Stade de France.

Aussi surprenant que cela puisse paraître, il s’en est fallu de peu, cependant, pour qu’il ne participe à la folle épopée des Rouge et Noir cette saison !

Après les blessures de Julien Marchand et Leo Ghiraldini, Didier Lacroix m’a appelé pour que je revienne à nouveau comme joker médical. Mais cette fois, ce n’était plus possible. J’avais arrêté depuis plus de six mois et je suis trop pris par ma nouvelle activité.

« J’ai toujours voulu avoir mon propre restaurant »

C’est dit : on ne fera plus rechausser les crampons à « la Roume », reconversion oblige. Le 14 juin 2018, l’ancien Bayonnais fêtait en effet l’ouverture de La Belloteka, rue du Centre, à Biarritz. Un établissement joliment décoré au cœur du quartier des Halles où l’ancien talonneur se trouve, depuis lors, au four et au moulin, dès qu’il en termine avec sa séance quotidienne de musculation. « J’ai toujours voulu avoir mon propre restaurant », avoue-t-il. « Là, j’ai eu une opportunité. J’ai repris cette affaire qui ne marchait pas trop et, aujourd’hui, je vis un rêve de gosse. J’aime faire plaisir aux gens, j’aime qu’ils se sentent ici comme à la maison ».

Lire aussi : Top 14. Le Stade Toulousain a essayé de faire sortir de sa retraite… Grégory Lamboley

Son produit phare : une gargantuesque côte de bœuf de Galice à son image, épaisse en dehors, tendre en dedans.

David Roumieu a été sollicité cette saison par le Stade Toulousain pour revenir en tant que joker médical.

David Roumieu a été sollicité cette saison par le Stade Toulousain pour revenir en tant que joker médical. (©Phlippe Kallenbrunn/Actu Rugby)

Il craque pour elle, elle pour lui…

La renaissance de ce lieu pour bons vivants est digne d’une adorable comédie romantique. Flash-back. Elle est italienne, s’appelle Dajana, est employée par un établissement voisin. Il craque pour elle, elle pour lui. Coup de foudre à Biarritz ville. En un tournemain, les deux tourtereaux transforment La Belloteka en un passage obligé de la cité basque. « Elle est du métier, elle m’a fait gagner cinq ans de travail », reconnaît Roumieu.

Lire aussi : Vidéo. Quand les joueurs du Stade Toulousain (et le Brennus) débarquent Chez Tonton

Avec un chef expérimenté en cuisine, l’affaire se taille vite une belle réputation. L’adresse, forcément appréciée par les acteurs du rugby qui s’y pressent, Top 14 et Pro D2 confondus, régale tout autant l’appétit de l’humoriste Bérangère Krief, une habituée, ou du docteur Michel Cymes. La cheffe Hélène Darroze, amatrice de ballon ovale, a, elle aussi, complimenté l’ancien joueur lors de sa venue. Déjà, son deuxième été s’annonce chaud et la tenue du G7 comme un événement commercial majeur.

Il a félicité Didier Lacroix de vive voix

Et le rugby dans tout ça ? « Je n’ai plus le temps de regarder les matches, confie-t-il entre deux coups de téléphone qui n’en finit plus de sonner. J’ai suivi la finale du Top 14 de loin, en jetant un œil de temps en temps à l’évolution du score ». Non content de gérer la relation avec ses fournisseurs, Roumieu assure aussi le service en salle, où sa bonhomie de nounours tatoué fait un tabac.

Je suis heureux parce que des joueurs m’ont dit qu’ils m’associaient à leur parcours cette saison, que j’avais laissé ma marque au Stade toulousain. J’ai gardé contact avec les « Rapetous » (Dorian Aldegheri, Cyril Baille, Julien Marchand), avec Joe Tekori, Maxime Médard, Sofiane Guitoune…

Lundi 17 juin, en fin d’après-midi, il félicitait Didier Lacroix de vive voix, avec lequel il reste en très bons termes. « Ce n’était pas facile de passer après René (Bouscatel) et Guy (Novès), alors je dis un grand bravo à Ugo Mola, au staff, à toute l’équipe. Cette nouvelle génération de champions de France a aussi envoyé un message à Jacques Brunel. On a les joueurs français qu’il faut pour réussir ! »

Philippe KALLENBRUNN

Alençon. Journée portes ouvertes au conservatoire

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Une journée porte ouverte pour découvrir les cours, les instruments...

Une journée porte ouverte pour découvrir les cours, les instruments… (©CUA)

Pour la 2e année consécutive, le Conservatoire à Rayonnement Départemental à Alençon (Orne) organise une opération portes ouvertes mercredi 19 juin 2019..

Venez essayer les instruments, découvrir le déroulement des cours, assister à des animations musicales… »

Le Conservatoire à Rayonnement Départemental (CRD) de la Communauté Urbaine d’Alençon propose l’enseignement de nombreuses disciplines (éveil musical, chant choral, pratique d’instruments, musique d’ensemble, art dramatique…), des formations diversifiées et des cursus adaptés aux envies de chacun.

Mercredi 19 juin 2019 de 14 h à 20 h, Cour Bernadette et Jean Mars (Alençon)

Monchy-sur-Eu : VTT, course à pied, marche et concert pour les Raids Monchois

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Une des équipes des RM mobilisées dimanche pour le balisage et le tracé des parcours (l’Informateur).

Monchy-sur-Eu, 600 habitants, et capitale de la bicyclette pendant 24 heures non-stop : cela commencera samedi 22 juin 2019 à 12h.

Autour de près de 200 participants, les accompagnateurs des inscrits et les spectateurs assisterons à un événement inédit dans le canton : 12 épreuves très variées, allant du cyclotourisme au VTT, en passant par le trail et la marche, sans oublier la Rando Kid des 7 à 14 ans. Cet événement est organisé par l’association des randonneurs monchois (RM)

Samedi 22 juin :
–> La cyclo des RM : Une randonnée cyclotouriste proposée sur 3 circuits : – 150 km départ à 13h – 100 km (14h30) – 60 km (15h30). Retraits des plaques une heure avant.
–> La Rando Kid VTT : Ouverte aux enfants de 7 à 14 ans, et accompagnés d’un adulte responsable.
Dossards à partir de 15h30, pour un départ à 16h30. (8 et 15 km au choix).
–> Concert des « Oxford » pour la fête de la musique
–> Trail nocturne de 13 km (départ 22h), ainsi qu’une rando trail et une marche de 8 km.

Dimanche 23 juin :
–> Les Raids VTT des RM.
4 parcours de VTT, en forêt et/ou bord de mer (105 – 85 – 55 – 35 km), ainsi qu’à une marche (8 ou 13 km). Les départs auront lieu respectivement à 7h, 8h, 9h, et 9h30, avant le départ des Randos marche, fixé à 10h.

La clôture des liste est fixée à ce vendredi 21 juin à minuit, et il sera encore possible de rejoindre les nombreux inscrits dans pratiquement toutes les disciplines proposées.

Infos pratiques : Les inscriptions se font en ligne à l’adresse suivante : lesraidsmonchois.adeorun.com. Plus de détails sur lesraidsmonchois.blogspot.com

JURA Grosse fuite de gaz à Tavaux

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Une canalisation a été percée suite à des travaux

Une canalisation a été percée suite à des travaux (©Archives 76actu)

Les secours interviennent ce mardi 18 juin 2019 après-midi au 15 de la rue de Chalon à Tavaux pour une importante fuite de gaz provoquée par des travaux sur la voie publique.

Un périmètre de sécurité a été mis en place. La fuite se situe sur une conduite de moyenne pression 4 bars. A 16 heures, elle n’était pas stoppée.

Argoules. L'association de Valloires mise sous tutelle

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Cette administration
provisoire vise à garantir le bon fonctionnement des établissements et services

Cette administration provisoire vise à garantir le bon fonctionnement des établissements et services (©Le Journal d’Abbeville)

Les difficultés rencontrées par l’association de Valloires ont contraint la Préfecture, le Département et l’ARS (agence régionale de santé) à prononcer une sorte de mise sous tutelle.

Dans un communiqué de presse, la préfète de la Somme Muriel Nguyen, le Président du Conseil départemental de la Somme Laurent Somon et le directeur général par intérim de l’Agence régionale de santé des Hauts-de-France Arnaud Corvaisier ont fait part de leur décision de placer sous administration provisoire l’ensemble des établissements et services sociaux et médico-sociaux gérés par l’association de Valloires pour une durée de six mois.

Lire aussi : Valloires : l’Abbaye tente de tourner la page d’une difficile année 2018, reste à écrire 2019…

Face aux difficultés de gestion et de prise en charge des populations fragiles accueillies, cette administration provisoire vise à garantir le bon fonctionnement des établissements et services, ainsi que de soutenir et accompagner le personnel.

Le mandat d’administration provisoire est confié à Monsieur Dolle, directeur général de la fondation HOPALE.

Seine-et-Marne. De Yèbles au Bourget, Abac Location donne du souffle aux grands événements !

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Nicolas Mars et ses équipes sont implantés à Yèbles, dans un entrepôt de 1 500 m2  (©MB/LaRep77)

C’est une société qui ne paie pas de mine. Implantée à Yèbles, où ses 1 500 m2 d’entrepôt jouxtent la voie ferrée, Abac Location passe inaperçue. Pourtant, l’entreprise spécialisée dans la location de matériels de chauffage et de climatisation s’est clairement fait sa place dans le monde industriel et événementiel national et international. Et pour cause.

Fondée en 2003, la structure travaille aujourd’hui sur de très grands événements tels que le Salon international de l’aéronautique et de l’espace du Bourget, les 24 Heures du Mans, les défilés des maisons de couture (Dior, Saint-Laurent, Jean-Paul Gauthier, Armani…), mais aussi de prêt-à-porter comme Louis Vuitton.

Par le passé, elle a même équipé la zone onusienne de la COP 21, les fan zones franciliennes de l’Euro 2016 de football ou encore le G8 2011, à Deauville. Une belle reconnaissance pour une structure partie de rien.

Salon du Bourget 2019
Cette année, Abac Location participe une nouvelle fois au Salon international de l’aéronautique et de l’espace du Bourget (Seine-Saint-Denis). Pour l’occasion, l’entreprise Seine-et-Marnaise travaille sur site depuis le mois d’avril, et prépare l’événement depuis janvier.
« On climatise 40 clients, y compris étrangers, ce qui représente une centaine de boxes pour les entreprises, 600 climatiseurs et 60 groupes froids et près de 30 km de tuyaux tirés » explique Nicolas Mars, le PDG de l’entreprise.
L’événement, qui se déroule tout les deux ans, mobilise durant 8 jours une vingtaine de personnes de l’entreprise, dont 15 salariés fixes.

« Avec Olivier Blanès, mon associé, on était dans une entreprise concurrente, raconte Nicolas Mars, co-fondateur d’Abac. Mais on travaillait avec des Anglais et à un moment, ça n’a plus fonctionné. On a donc décidé de monter notre entreprise. » Symbole du chemin parcouru, le nom de la société a été choisi pour faciliter la recherche sur… le Minitel ! « Il fallait débuter par un A pour être premier sur l’annuaire », sourit Nicolas Mars, 15 ans après.

Le drapeau de l'entreprise flotte au Salon du Bourget

Le drapeau de l’entreprise flotte au Salon du Bourget (©SB/LaRep77)

La structure, tournée pour moitié vers l’industrie et pour l’autre vers l’événementiel, s’est d’abord installée à Mormant entre 2003 et 2008, avant de rejoindre Yèbles. Elle compte aujourd’hui dix salariés à temps plein, plusieurs sous-traitants réguliers et fait appel à des intermittents du spectacle.

Un service clés en main

« Nous participons à 350 événements par an, dont tous les défilés de mode de la place de Paris où les gens ne se ventilent pas avec leur programme (rires) », plaisante le Seine-et-Marnais de 48 ans.

Avec à chaque fois des prestations adaptées, livrées clés en main : « L’idée c’est de tout faire pour le client, y compris la permanence technique. Il faut aussi être efficace au niveau écologique et rentable économiquement. Depuis la COP 21 qui a fait beaucoup de bien en France, il faut trouver le meilleur ratio entre apport d’énergie et pollution minime. D’autant que nos clients ont une forte image de marque à défendre. »

Une entreprise internationale
Si Abac Location est un des leaders sur le marché français de l’événementiel, l’entreprise s’exporte également à l’étranger. Certaines agences françaises sélectionnées par des clients internationaux ont déjà fait appel aux services de l’entreprise seine-et-marnaise.
Outre l’inauguration du nouveau port de Libreville au Gabon en octobre 2017, Nicolas Mars et ses équipes se sont notamment rendus à plusieurs reprises du côté de la péninsule arabique. « Nous avons participé à des lancements de projets à Dubaï et en Arabie saoudite, précise le chef d’entreprise. Dans ces cas-là, on envoie nos techniciens et on va chercher le matériel chez nos partenaires locaux. »
Seule exception : l’Exposition Picasso qui s’est tenue en novembre 2013 à Dhahran, dans l’Est saoudien. À cette occasion, le Centre Pompidou y avait envoyé une vingtaine d’œuvres, rassemblées dans une tente climatisée par Abac Location : « Là, les experts ont voulu qu’on emporte notre propre matériel », confie Nicolas Mars.

Ainsi, l’entreprise dresse en amont un bilan thermique pour adapter la puissance nécessaire au lieu et au nombre de personnes prévues. Elle doit également prendre en compte un certain nombre de contraintes : « Pour les lieux au patrimoine sensible, le chauffage électrique est plus indiqué que les canons à air qui fonctionnent en partie avec du fioul, précise Nicolas Mars. L’hiver, on est sur du chauffage pur car il suffit d’aller le chercher le froid à l’extérieur pour climatiser. On s’appuie alors sur la nature. »

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L’entreprise seine-et-marnaise couvre également des défilés de mode, comme la Fashion Week fin janvier, avec notamment un défilé au lycée Carnot à Paris (©Abac Location)

Une nature qu’il faut aussi savoir ménager : « Lors d’un défilé de mode, nous avons dû par exemple fixer la température à 12-13 degrés pour conserver un décor de fleurs, avant de la remonter à 20 degrés au moment du show. »

3,5 millions de chiffre d’affaires annuel

Autre contrainte, concilier confort sensitif et acoustique. Avec une devise : « Le confort ne doit pas se ressentir » : « C’est-à-dire qu’on ne doit pas savoir qu’on est là, résume le patron. Pour les 24 Heures du Mans, où nous travaillons avec des clim’ réversibles et des groupes électrogènes, les pilotes ne doivent rien entendre dans leur salle de repos. »

Pupitre climatisé à l’Élysée
Lors des gros meetings d’un président de la République, l’équipe d’Abac Location a eu l’idée d’installer une clim réglée sur mesure dans le pupitre : « On a mis sur pied cette technique à la demande du président de l’époque, livre Nicolas Mars. Derrière, l’Élysée a inventé une estrade avec clim’ intégrée qu’ils pouvaient emmener partout au gré des meetings. »

Si l’entreprise est tributaire des mesures exceptionnelles de sécurité qui entraînent parfois la suppression d’événements comme le mouvement des Gilets jaunes, ou en 2015 après les attentats, elle semble néanmoins avoir trouvé la recette en dégageant chaque année entre 3 à 3,5 millions d’euros de chiffre d’affaires.

« Ce qu’on gagne, on le réinvestit car nous devons systématiquement avoir du matériel performant », conclut Nicolas Mars. Après le « clés en main », voici celles du succès !

Pratique. www.abalocation.com


Disparition inquiétante : le police lance un appel à témoins en Indre-et-Loire

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Sa disparition remonte au mercredi 15 mai 2019. Elle se trouvait alors près du lac des Bretonnières à Joué-lès-Tours.

Sa disparition remonte au mercredi 15 mai 2019. Elle se trouvait alors près du lac des Bretonnières à Joué-lès-Tours. (©Police Nationale d’Indre-et-Loire)

La police nationale d’Indre-et-Loire a lancé un appel à témoins pour disparition inquiétante d’une personne majeure. Il s’agit de Nathalie Huet. Cette femme a été vue pour la dernière fois près de Tours. Si vous pensez l’avoir vu ou que vous avez des informations vous pouvez contacter le commissariat.

Lire aussi : Les gendarmes d’Indre-et-Loire trouvent 7000 euros cachés dans des chaussures

Les forces de l’ordre rapportent que sa disparition n’a été signalée que le lundi 17 juin 2019  mais que cette habitante de Tours âgée de 46 ans a été vue pour la dernière fois le mercredi 15 mai 2019 aux abords du lac des Bretonnières à Joué-lès-Tours.

Description physique

Cette femme mesure 1,68 mètre, a des yeux marrons, a les cheveux noirs qu’elle porte mi-longs et est de corpulence assez forte. On ignore les vêtements qu’elle portait au moment de sa disparition.

Si vous avez des informations à son sujet veuillez prendre contact avec le commissariat de police de Tours : 02 47 33 80 69.

L’appel à témoin lancé par la police sur les réseaux sociaux : 

[APPEL A TEMOINS] Aidez nous !Madame Nathalie HUET demeurant à Tours a disparu depuis le 15 mai 2019. Elle a été vue…

Publiée par Police nationale d'Indre et Loire sur Mardi 18 juin 2019

Val-d'Oise. Basket : le Cergyssois Adam Mokoka bientôt en Nba ?

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Adam Mokoka avec l'équipe de France des moins des moins de 18 ans. © Fiba

Adam Mokoka avec l’équipe de France des moins des moins de 18 ans. © Fiba

Adam Mokoka (1,96 m, 20 ans) se présente bel et bien à la draft NBA, vendredi 21 juin. Son agent Misko Raznatovic a confirmé à la chaîne de télévision sportive américaine Espn que le nouvel espoir du basket français maintenait son inscription, ce qui signifie qu’il aurait de bonne chance d’être enrôlé par l’une des prestigieuses franchises. Le jeune homme qui a grandi dans le quartier des Chênes, à Cergy (Val-d’Oise) , où sa famille vit toujours, a donc bon espoir de croiser son idole, Russell Westbrook, sur le parquet.

Adam Mokoka a débuté le basket avec le club de Cergy-Pontoise avant de signer professionnel à Gravelines-Dunkerque (Pro A, Nord) puis au Kk Mega Bemax, en Serbie, où il tournait à 11 points de moyenne. Double champion d’Europe (U16 et U18), cet arrière athlétique réputé très bon défenseur entretient toujours des contacts réguliers avec d’autres basketteurs originaires de Cergy : Luc Loubaki, Mamadou Sy, ou encore Modibo Niakate.

Lire aussi : Adam Mokoka : l’avenir du basket français

Jo.C.

Sous les couleurs de Graveline-Dunkerque.

Sous les couleurs de Graveline-Dunkerque. (©Cc Timan)

Ciné concert au cinéma de Guingamp : les gagnants

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Ciné concert vendredi 21 juin au cinéma de Guingamp.

Ciné concert vendredi 21 juin au cinéma de Guingamp. (©DR)

Voici les gagnants pour « le ciné concert », le vendredi 21 juin, à 20h30, au cinéma Les Korrigans à Guingamp :

Cadic Huguette – Louargat
Jourand Josette – Tréglamus

Les places sont à retirer directement au cinéma Les Korrigans. Se munir d’une pièce d’identité.

Le Courrier de la Mayenne rejoint la plateforme actu.fr

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Francis Gaunand (Publihebdos), Jean-Baptiste de Guébriant et Loïk de Guébriant, PDG du groupe Edit-Ouest, ont signé le contrat de partenariat mardi 18 juin à Laval.

Francis Gaunand (Publihebdos), Jean-Baptiste de Guébriant et Loïk de Guébriant, PDG du groupe Edit-Ouest, ont signé le contrat de partenariat mardi 18 juin à Laval. (©Courrier de la Mayenne)

Le partenariat entre Edit-Ouest, société éditrice du journal mayennais et Publihebdos, éditrice d’actu.fr, a été signé ce mardi 18 juin 2019.

Il permettra au 4e hebdomadaire d’information locale de France, propriété du groupe familial Edit-Ouest, de bénéficier de la plateforme technique et de la marque actu.fr pour une meilleure visibilité et un référencement renforcé.

« Il faut nous unir »

« Pour réussir à conserver une place à côté des géants du numérique, il faut nous unir, additionner nos forces pour changer d’échelle et chasser en meute, tout en conservant notre indépendance », explique Jean-Baptiste de Guébriant représentant du groupe Edit-Ouest.

Plus que jamais en numérique, les médias locaux doivent coopérer pour se consolider au sein d’une plateforme unique qui héberge toutes les marques locales dans un fonctionnement en réseau.

« La presse locale est la plus vitale pour la démocratie mais c’est aussi la plus fragile face aux transformations numériques. Nous sommes convaincus qu’il y a un avenir pour ces médias locaux à condition qu’ils se constituent en réseau, c’est tout le sens de la démarche avec actu.fr », estime Francis Gaunand, président du directoire de Publihebdos, propriétaire d’actu.fr.

Deux autres titres à venir

D’ici quelques mois, les deux autres titres de Edit-Ouest, le Haut-Anjou et l’Echo d’Ancenis, rejoindront la plateforme actu.fr.

Cette collaboration permettra aux deux groupes de créer le premier réseau de médias d’informations locales en ligne en Pays-de-la-Loire.

Yvelines. Carrière de Brueil-en-Vexin : les ministres officialisent le périmètre d'exploitation

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Vendredi 7 juin, 70 personnes se sont réunies devant la mairie de Sailly (Yvelines), empêchant la tenue d’une permanence dans le cadre de l’enquête publique sur le plan local d’urbanisme.

Un nouveau pas a été fait en faveur du très contesté projet de carrière à Brueil-en-Vexin (Yvelines). Ce 18 juin 2019, le permis exclusif, dit « Permis de Brueil-en-Vexin », a été publié au Journal officiel.

Cet arrêté du 4 juin dernier, signé des mains de Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie et François de Rugy, ministre de la Transition écologique et solidaire, officialise le périmètre d’exploitation de 109 hectares à Brueil-en-Vexin, pour une durée de dix ans, et désigne un exploitant : le cimentier Calcia.

Étape suivante, l’autorisation d’exploitation. La validation ultime doit être rendue par le préfet des Yvelines dans les jours qui viennent.

« On peut penser que le préfet donnera son accord vu que la Commission départementale de la nature, des paysages et des sites des Yvelines a émis un avis favorable, explique un fin connaisseur du dossier. Même si un préfet n’est jamais lié, dans le cas où il s’opposerait, il faudrait que ce soit motivé. »

Bruno Caffin, maire de Brueil-en-Vexin : « C’est la défaite du dialogue et de la démocratie. »

Les opposants, qui voient en ce projet une menace pour l’environnement, ne se montrent pas surpris que l’État valide le projet. Même si cette décision des ministres leur laisse un goût amer.

« Avant d’être une défaite pour moi, c’est la défaite du dialogue et de la démocratie, réagit Bruno Caffin, le maire de Brueil et fervent opposant. C’est une grave erreur. C’est assez dramatique de voir comment ça s’est passé. Ni les quelque 350 élus territoriaux opposés à la carrière, ni les habitants n’ont été écoutés. »

Même son de cloche du côté de Dominique Pélegrin, présidente de l’Association vexinoise de lutte contre les carrières cimentières (AVL3C) : « Les ministres n’ont pas regardé nos arguments. La Driee (Direction régionale et interdépartementale de l’environnement et de l’énergie ndlr) s’est rangée derrière ceux de l’industriel. Le ministère derrière l’avis de la Driee, indique-t-elle. On nous impose de manière brutale une vision de la société datant des années 70, qui n’est plus adaptée à l’urgence environnementale. »

L’association et l’élu envisagent déjà de contester cet arrêté devant le tribunal administratif.

Les élus manifesteront devant le ministère

Ce projet de carrière fait l’objet localement l’objet d’une fronde importante. Une pétition a réuni 2 200 signatures et près de 1 700 personnes se sont exprimées contre sa réalisation durant l’enquête publique. Le commissaire enquêteur a néanmoins rendu un avis favorable avec des réserves.

« On ne peut pas dire qu’il n’y a pas eu de concertation dans ce dossier, confie une source préfectorale. Les préconisations des uns et des autres ont été entendues et d’ailleurs le projet a été amélioré en ce sens, en ce qui concerne notamment l’aspect paysager et la hauteur du forage par rapport à la nappe phréatique. »

Pour marquer leur colère, depuis plusieurs semaines, les opposants multiplient les manifestations. Prochaines en date : jeudi 27 juin au matin, des élus du Vexin iront exprimer leur colère devant le ministère de la Transition écologique. L’après-midi, l’AVL3C se fera entendre à Gargenville, lors du conseil communautaire.

L’entreprise Calcia exploite les sols depuis 1995 à Guitrancourt pour alimenter sa cimenterie implantée à Gargenville. La carrière actuelle bientôt épuisée, l’industriel compte étendre son activité à Brueil-en-Vexin, au sein de la Zone 109, un périmètre délimité par l’État dans les années 90 et consacré à cette activité.

Nucléaire à Flamanville : des comprimés d'iode distribués aux 135 000 Cotentinais

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Les trois générations de pastilles.

Les trois générations de pastilles d’iode.

En 2016, le gouvernement avait pris la décision d’étendre le rayon des plans particuliers d’intervention (PPI) autour des centrales nucléaires de 10 à 20 kilomètres. Il s’agissait, à la suite de l’accident nucléaire de Fukushima en 2011, de réviser le dispositif de protection des personnes.

Selon la préfecture de la Manche, « l’extension de ce rayon permet d’améliorer la réactivité des pouvoirs publics et de mieux sensibiliser et préparer la population à réagir en cas d’alerte nucléaire ».

Le 29 janvier dernier, le préfet a signé la mise à jour du PPI de la centrale EDF de Flamanville.

Lire aussi : Centrale nucléaire de Flamanville : 3 sous-traitants légèrement contaminés

135 000 personnes concernées 

Elle implique une nouvelle campagne de distribution de comprimés d’iode. L’iode permet, en cas de rejet radioactif accidentel dans l’atmosphère, de protéger la thyroïde. La distribution se fait de manière préventive : les comprimés ne doivent être ingérés que sur instruction du préfet.

Les 17 000 riverains de l’ancien rayon du PPI de Flamanville (de 0 à 10 kilomètres) ont déjà été dotés de comprimés d’iode lors de la campagne de 2016. Ces comprimés ont une validité de sept ans.

Il faut maintenant en distribuer dans un rayon allant jusqu’à 20 kilomètres, soit 118 000 personnes en allant de Cherbourg-en-Cotentin au nord, Sottevast à l’est et Barneville-Carteret au sud…

Lire aussi : Le nucléaire en Normandie : satisfaisant, mais peut mieux faire

A retirer en pharmacie 

« Dans le courant du mois de juin, les foyers concernés recevront un courrier les informant de l’extension du rayon du PPI », explique la préfecture. « Puis en septembre, un nouveau courrier leur sera adressé pour la nouvelle campagne de distribution de comprimés d’iode. » Ces comprimés seront à retirer gratuitement en pharmacie.

Dans le même temps, une campagne d’information sera organisée par les pouvoirs publics et EDF. Elle vise à expliquer les risques associés à la présence d’une centrale nucléaire, la prévention de ces risques et la conduite à tenir en cas d’alerte nucléaire.

Lire aussi : Nucléaire : la visite décennale va se prolonger à Flamanville

 

Pour en savoir plus, un numéro vert (0 800 96 00 20) et un site internet (www.distribution-iode.com) sont à la disposition du grand public depuis le 3 juin.

Yvelines. Carrières-sur-Seine : ces lycéens des Pierres Vives sont à la tête d'une mini-entreprise

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Léna, Adam et Naïma avec Bruno Seux, parrain entrepreneur de cette mini-entreprise nommée « Zelena », présentent leurs tote bags, des sacs en toile souple à deux anses.

Léna, Adam et Naïma avec Bruno Seux, parrain entrepreneur de cette mini-entreprise nommée « Zelena », présentent leurs tote bags, des sacs en toile souple à deux anses.

« Pour que la jeunesse puisse aller vers l’entreprise, encore faut-il qu’on lui en donne la possibilité. » Cette phrase, signée Francis Sevin, le président du Groupement des entreprises des Boucles de Seine (Gebs), illustre parfaitement l’esprit du dispositif des « mini-entreprises ».

Jeudi dernier, de jeunes entrepreneurs étaient conviés à la « Fête de l’entreprise », la grand-messe de l’entrepreneuriat orchestrée par le Rotary Club du Vésinet et de celui de Houilles-Sartrouville-Bezons (voir ci-contre). Ces collégiens et lycéens étaient venus recevoir le diplôme récompensant leur labeur dans la salle des mariages de l’hôtel de Ville de Sartrouville (Yvelines).

« Cette année, c’était du concret »

Il s’agit pour eux d’un projet au long cours, auquel ils ont consacré une année scolaire.

Trois projets pédagogiques ont vu le jour cette année : l’un au collège Louis-Paulhan de Sartrouville, un autre au collège Maupassant de Houilles et enfin un dernier au lycée des Pierres-Vives de Carrières-sur-Seine.

Léna, une lycéenne des Pierres-Vives, a créé avec ses camarades une mini-entreprise commercialisant des t-shirts en coton bio et des « tote bags ». « Ce sont des sacs en tissu qui remplacent les sacs plastiques », explique la jeune femme. Une gamme très « écoresponsable » et tendance qu’ils commercialisent à Auchan Houilles, ainsi que sur le marché de cette ville sous la marque « Zelena ».

150 t-shirts et 100 tote bags leur ont été livrés, notamment grâce au soutien financier (1 000 €) d’une entreprise mécène (Le Crédit agricole de Montesson). Les bénéfices générés seront reversés à une association de leur choix œuvrant dans la protection de l’environnement. Une plongée dans le monde de l’entreprise et une expérience sur la base du volontariat qui les a métamorphosés. Le mercredi après-midi, de 13 h 30 à 15 h, quand leurs camarades rentraient des cours, eux planchaient sur leur projet.

Études de marché, marketing, élaboration d’un plan de commercialisation… Ils ont suivi le processus de création de A à Z.

La sérigraphie des sacs s’est faite en France, mais ils ont été conçus au Bangladesh. Faute de moyens, ils n’ont pu assurer leur production dans l’Hexagone. C’est d’ailleurs peut-être leur seul regret.

 Ça m’a beaucoup plu. Cette expérience était très enrichissante. Elle m’a permis de développer mes compétences », assure Naïma, 17 ans, qui participe à ce dispositif pour la deuxième fois.

 Nous sommes vraiment contents car cette année c’était vraiment du concret. On a eu une idée et on a eu la chance de pouvoir la mener à bien », se félicite Adam Rauchois, 15 ans, lui aussi élève de seconde aux Pierres-Vives.

Un chef d’entreprise de Chatou comme parrain

Pour les épauler dans cette création, ils ont pu compter sur la participation de deux de leurs professeurs, ainsi que sur Bruno Seux, patron de Iceb Sas, une entreprise de Chatou spécialisée dans l’édition de logiciels

 L’engagement pour moi, c’était déjà d’être présent et de pouvoir figer mon agenda toutes les semaines. Mon rôle c’était de les accompagner dans cette démarche de création d’entreprise, de la recherche d’idées à la commercialisation en passant par le bilan comptable », confie ce chef d’entreprise bénévole.

Lors de cette cérémonie de prix, un hommage appuyé a aussi été rendu à Jean-Luc Debrie, professeur de technologie à Guy-de-Maupassant, qui nous a quittés brutalement le mois dernier. L’enseignant s’était particulièrement investi dans le projet de création d’entreprise de cosmétiques naturels dans laquelle s’étaient aventurés ses protégés.


CHU d'Angers : un patient décède après s'être présenté aux urgences

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CHU Angers, décès, urgences

La personne d’une quarantaine d’année se serait présentée à l’accueil accompagnée d’un proche (©Wikimedia commons/Émeric)

Samedi 15 juin 2019 vers 19 h, un homme s’est présenté aux service des urgences du CHU d’Angers (Maine-et-Loire). Ne pouvant pas être pris en charge dans l’immédiat, il a décidé de se rendre en voiture à la clinique de l’Anjou.

Il est décédé à son arrivée sur le parking de l’établissement. 

Lire aussi : Loire-Atlantique : non-voyant, Patrick Beuzelin retrouvera-t-il un chien guide ?

Le manque d’effectif mis en cause

Une seule infirmière était présente à ce moment là aux urgences, cette dernière étant en charge d’un autre patient.

Les syndicats SUD, FO et CGT soulignent dans un communiqué :

Ce samedi à 18 h 30, l’infirmière remplaçante termine sa journée de 12 h, sa collègue infirmière se retrouve seule à l’accueil jusqu’à 21 h 20 alors que l’organisation du travail prévoit normalement deux infirmières d’accueil et une aide soignante sur l’équipe du soir. »

Selon la direction, la personne en question est restée une dizaine de minutes avant de décider de repartir.

Un contexte de crise

Les syndicats ajoutent :

Cet événement se produit dans un contexte de manque d’effectif dénoncé depuis plusieurs mois. »

La veille du drame, vendredi 14 juin 2019, le comité de grève des urgences du CHU d’Angers publiait un communiqué alertant sur le non-remplacement du personnel infirmier et aide-soignant durant le weekend. « […] Nous condamnons fermement les rappels à domicile, l’absence d’anticipation des arrêts programmés depuis des semaines, entraînant, pour ce weekend (15 et 16 juin), le manque de deux aides-soignantes ainsi que trois infirmières ! ».

Le service des urgences du CHU d’Angers, en grève depuis le 2 mai 2019, dénonce le manque d’effectif et la dégradation des conditions de travail liées aux restrictions budgétaires

Pour le moment, aucun terrain d’entente n’a été trouvé avec la direction, précise le communiqué. 

Publiée par Syndicat SUD CHU Angers sur Mardi 11 juin 2019

Lire aussi : Bretagne/Pays de la Loire : le gang des voleurs de cartes bancaires devant la justice

Achille Dupas (stagiaire)

Fédérale 3. Jean-Michel Gonzalez, passé par Biarritz, entraînera les avants de Larressore la saison prochaine

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Jean-Michel Gonzalez sera sur le banc de Larressore en Fédérale 3 la saison prochaine.

Jean-Michel Gonzalez sera sur le banc de Larressore (Pyrénées-Atlantiques) en Fédérale 3 la saison prochaine. (©Icon Sport)

Il entraînait les féminines de l’AS Bayonne depuis 2012. Jean-Michel Gonzalez n’avait plus d’équipe depuis 2018. Une erreur réparée pour la saison prochaine, puisque celui qui est passé par le banc du Biarritz Olympique (2008-2011) ou encore par l’équipe de France féminine (2015-2016) s’occupera des avants de L’Inthalatz Larressore (Pyrénées-Atlantiques) selon nos confrères de Sud Ouest. Il cohabitera avec Didier Darjo pour les arrières.

Objectif haut de tableau ?

Après une saison très mitigée et une huitième place de la poule 14 de Fédérale 3, L’Inthalatz Larressore mise sur un entraîneur avec une expérience du plus haut niveau pour l’aider à franchir un cap… Rendez-vous dans exactement un an pour savoir si le pari a fonctionné ?

Garorock : la billetterie s'affole !

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La méga-foule est attendue à Marmande pour Garorock, à partir du jeudi 27 juin.

La méga-foule est attendue à Marmande pour Garorock, à partir du jeudi 27 juin. (©Le Républicain/archives/Maxime Elies)

A J-9, le festival Garorock a publié la situation de la billetterie sur son compte Twitter avec un petit message:

Vous êtes fous mais on aime ça »

Les pass 4 jours avec camping sont bientôt épuisés, et à part les pass 2jours avec camping pour le jeudi et le vendredi, il sera désormais impossible de dormir sous la tente à la Filhole…

Epuisés, épuisés…

Du coté des billets sans camping, là aussi, la billetterie explose: tous les pass sont épuisés, à part le pass 2 jours pour jeudi-vendredi.

Enfin, le samedi, c’est complet: les pass 1 jour sont épuisés.

Pour tous les autres pass 1jour, il reste apparemment encore des places… mais pour combien de temps?

Daniel Benquet, le maire, déclarait la semaine dernière, lors de la réception des Nouveaux Marmandais, que le festival attendait « près de 200.000 personnes; Garorock est pour l’heure le second festival de France, les organisateurs ont pour ambition de devenir les premiers ». 

Le premier magistrat de Marmande pourrait bien ne pas se tromper…

Nord de Nantes : Lidl se fait construire une plate-forme logistique géante, Amazon toujours évoqué

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Le groupe allemand Lidl, spécialiste du Discount dans la grande consommation, serait le "client mystère" pour la plate-forme logistique géante du parc d'activité Erette-Grand'Haie au nord de Nantes (Loire-Atlantique).

Le groupe allemand Lidl, spécialiste du Discount, serait le « client mystère » pour la plate-forme logistique géante du parc d’activité Erette-Grand’Haie au nord de Nantes (Loire-Atlantique). (©Illustration Wikipedia)

C’est le journal Presse Océan qui a révélé l’information dans un article paru le 14 juin 2019. Le projet de plate-forme logistique géante porté par le promoteur Pitch promotion dans le parc d’activité Erette-Grand’Haie, à cheval sur les communes d’Héric et Grandchamp-des-Fontaines (Loire-Atlantique), est finalement destiné au groupe allemand Lidl, spécialiste du discount.

Si les principaux élus de la Communauté de communes d’Erdre et Gesvres concernés n’ont pas voulu répondre à nos sollicitations, cette information a été confirmée par une source officieuse.

Lidl plutôt qu’Amazon ?

En décembre 2018, nous faisions état du projet de Pitch promotion de réaliser une plate-forme logistique de plus de 46 000 m2 dans cette zone. La rumeur évoquait alors une installation du géant américain Amazon, très intéressé pour s’implanter dans l’ouest de la France. Amazon avait toutefois démenti tout projet d’implantation à Grandchamp-des-Fontaines via un communiqué.

Un rapport de la MRAE (Mission régionale d’autorité environnementale), daté du 28 novembre 2018, indiquait pourtant bien que la future structure était destinée à du stockage de produits pour la grande consommation :

Au terme du chantier de construction d’une durée estimée à un an, l’établissement aura pour principale activité le stockage et l’expédition de produits de grande consommation. »

Une nouvelle base logistique de Lidl était pourtant annoncée pour 2020 sur le site de l’ancienne usine Seita à Carquefou, en périphérie de Nantes. Mais les conditions de circulation souvent difficiles dans ce secteur auraient incité le géant du discount à s’implanter dans un parc d’activité beaucoup plus facile d’accès pour des poids lourds, puisque situé en bordure de quatre voies entre Nantes et Rennes.

Lire aussi : Loire Atlantique : acheter un logement sans acheter le terrain, c’est désormais possible !

Les travaux annoncés pour septembre 2019

« L’accord de la Préfecture pour le démarrage des travaux doit tomber durant la première semaine de juillet », explique notre informateur.

Les travaux ne devraient donc pas commencer avant septembre 2019. »

Quant à Amazon, malgré le démenti, la rumeur persiste car une autre plate-forme logistique, de 75 000 m2 cette fois, est annoncée pour 2023 dans cette même zone d’activité. Elle pourrait prendre place plus précisément sur des parcelles « situées près du terrain de motocross, sur la commune d’Héric. Ces terrains potentiels ont été gelés par la Communauté de communes Erdre et Gesvres mais ne lui appartiennent pas encore. »

Amazon jouerait-il sur les mots – et la particularité géographique du parc d’activité – en prétendant n’avoir aucun projet à Grandchamp-des-Fontaines ?

Lire aussi : Après les Figolu, une pétition lancée pour le retour de l’ouverture facile sur les paquets Prince de LU

Nancy : le Flambock, un nouveau restaurant de flammekueches et de bières, vient d'ouvrir

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Ce restaurant est un comptoir à 
Flammekueches dans le centre-ville de Nancy.

Ce restaurant est un comptoir à flammekueches situé dans le centre-ville de Nancy. (©Illustration/Adobe Stock)

Un nouveau concept de restauration débarque dans le centre-ville de Nancy. Après l’ouverture de nombreux restaurants italiens consacrés à la pizza ces derniers mois, place désormais à l’un des plats les plus connus de la région Grand Est : la flammekueche

Le Flambock a ouvert ses portes ce mardi 18 juin au 4 Grande Rue dans l’hyper-centre nancéien dans un secteur particulièrement dynamique pour manger et boire un verre. Juste à côté de la place Vaudémont et quelques mètres de la place Stanislas juste en face du bar chez Cerise, devenu un incontournable de l’apéro dans le quartier. 

Lire aussi : Villes les plus attractives : Metz devance Nancy, selon un classement du Point

Des bières locales et du vin de Lorraine et d’Alsace

Le concept incite à la détente tendance « afterwork ». On y partage un repas autour d’un verre, d’une pinte entre amis ou en famille.

La maison propose des recettes de tartes flambées, salées ou sucrées, des bières pression brassées chez Kronenbourg et des bières « bouteilles » élaborées par la fabrique des Grô située à Maxéville, dans la métropole de Nancy.

Les amateurs de vin y dégusteront des vins de Toul, d’Alsace ou de Moselle. Le plus souvent, les recettes sont basées sur des produits du terroir régionaux, promet la nouvelle enseigne de restauration qui vient compléter l’offre déjà bien riche du secteur. 

Le nouveau restaurant est ouvert tous les jours du lundi au dimanche de 18h30 à 23h30

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