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Essonne. Un homme de 20 ans grièvement blessé au volant de sa voiture à Marcoussis

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Le jeune homme de 20 ans a été transporté dans un état d'urgence absolue

Le jeune homme de 20 ans a été transporté dans un état d’urgence absolue (©Actu.fr)

Ce lundi 17 juin, les sapeurs-pompiers de l’Essonne sont intervenus pour un accident de la voie publique mettant en cause un véhicule seul de type utilitaire. A son bord, un jeune homme de 20 ans, a dû être désincarcéré par les secouristes

Après un bilan par les services du Service mobile d’urgence et de réanimation, le SMUR, le jeune homme, en état d’urgence absolue, a été immédiatement transporté au sein du centre hospitalier le plus proche. 

Parallèlement à cela, la circulation sur la N104 dans le sens Melun/Paris s’est effectué sur une seule voie au niveau de Marcoussis, lieu de l’accident.


Comment s'est passé le bac à Dinan ?

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Clément ( au centre ) et Romain ( à sa droite ), sont comme leurs camarades candidats en série STI2D.

Clément ( au centre ) et Romain ( à sa gauche ), sont comme leurs camarades candidats en série STI2D. (©Le Petit Bleu des Côtes d’Armor)

En plein debriefing avec ses camarades, Clément, en série STI2D, au lycée de la Fontaine des eaux, à Dinan (Côtes d’Armor) a choisi de disserter sur le premier sujet de philosophie, du baccalauréat : ‘Seul ce qui peut s’échanger a-t-il de la valeur ?’ Son bilan :

« Ça s’est plutôt bien passé, j’ai choisi une problématique un peu différente […], je me suis appuyé sur la valeur économique, la valeur sentimentale et la valeur du savoir ».

Romain, dans la même section est également plutôt satisfait :

« Ça allait, c’était loin d’être les pires sujets. On avait déjà presque fait la deuxième question (Les lois peuvent-elles faire notre bonheur ?) en devoir ».

Il  a néanmoins fait un autre choix :

« J’ai pris l’explication d’un texte de Montaigne car il y avait des questions qui permettaient de nous guider ».

L’embarras du choix

Shadé, Clémentine, Lola et Avela.

Shadé, Clémentine, Lola et Avela. (©Le Petit Bleu des Côtes d’Armor)

Un peu plus loin, quatre candidates de série Littéraire ont varié les plaisirs. Clémentine s’est interrogée sur la possibilité d’échapper au temps.

Lola, qui s’est lancée dans l’explication d’un texte d’Hegel a trouvé l’épreuve plus compliquée, mais reste assez satisfaite de ce qu’elle a produit.

Quant à elles, Shadé et Avela ont opté pour le deuxième sujet : À quoi bon expliquer une œuvre d’art ? Un choix facile pour elles, qui avaient plus de connaissances et plus de notions à rattacher à ce sujet-là.

Enora et Floriane.

Enora et Floriane. (©Le Petit Bleu des Côtes d’Armor. )

En ce qui concerne les séries scientifiques, Florianne a décidé de composer, un peu par défaut, sur la liberté :

« Je ne voulais pas faire d’explication de texte. On n’avait vu le premier sujet qu’à la toute fin de l’année. C’était plus facile sur la liberté. Je le sens moyen, j’ai peur du hors sujet ».

De son côté, Enora s’est raccrochée à un texte de Freud :

« Je n’avais pas trop de connaissances, ça me semblait le plus facile, je ne sais pas trop quoi en penser ».

Du français aussi

Enora et Hugo.

Enora et Hugo.

Quelques minutes plus tard, ce sont deux autres candidats qui sortent de l’épreuve. Enora et Hugo, tous deux en section Économique et Sociale, ont assez logiquement choisi un sujet sur le travail :

« En ES, on a eu des cours de socio là-dessus donc ça aidait ».

Ludmilla (en gris) et ses camarades.

Ludmilla (en gris) et ses camarades. (©Le Petit Bleu des Côtes d’Armor)

Les séries professionnelles, quant à elles, passaient l’examen de français. Le sujet, La parole en spectacle, a plu à Ludmilla et ses camarades :

« C’était un bon sujet, plus facile qu’on ne le pensait. Je suis surprise, on pensait que ça allait être plus dur ».

Il reste désormais une semaine aux candidats pour boucler l’ensemble des épreuves. 

Yvain Praud

Lire aussi : Dinan : à la Fontaine des eaux, des lycéens protestent contre la réforme du bac

Lire aussi : Baccalauréat. De bons taux de réussite aux lycées des Cordeliers et de la Fontaine-des-Eaux à Dinan

A Domfront, des élèves reconstituent le donjon du château en 3D

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Les élèves de l'atelier de modélisation du patrimoine avec la reconstitution du donjon en 3D.

Au lycée Chevalier à Domfront (Orne), les élèves de l’atelier de modélisation du patrimoine ont reconstitué le donjon du château en 3D.

Sous la houlette de Franck Moisseron, professeur de physique-chimie, les classes de seconde du lycée Auguste-Chevalier à Domfront (Orne) ont mis en place un atelier de modélisation du patrimoine. Les élèves ont tourné un film de 5 minutes sur l’architecture du Domfrontais ancien, avec un micro-trottoir permettant de définir les connaissances des habitants sur certains faits historiques de la construction du château à sa destruction.

Un film de 5 minutes

Tournage, micro-trottoir, mais aussi recherche de documents ont nécessité plusieurs jeudis après-midi du mois de mai de travaux. Léanne Soul, réalisatrice en herbe s’est occupée plus particulièrement du montage, des fonds sonore et de la synchronisation.

Elle explique son travail : 

A partir du logiciel iMovie, j’ai mis en forme ce document sonore et visuel. Cela ne m’a pas semblé très compliqué

Une maquette en 3D du donjon

En parallèle, grâce à un travail de précision et des recherches techniques, sur imprimante 3D, les lycéens ont reconstruit le donjon tel qu’il existe aujourd’hui, à l’échelle 1/200e, avec des matières composites. Les moindres détails, créneaux et ses chemins de ronde…, sont visibles.

Le proviseur, Christian Jenvrin est venu féliciter les élèves pour la qualité de leur travail mais aussi pour leur esprit collaboratif.

Un travail collaboratif récompensé

Ces travaux ont été présentés le 29 mai à Caen Ecolysciences (Campus 2) devant un jury et Cyril Marcilly, archéologue de l’Université de Paris qui effectue notamment des recherches sur les mines de Fleury-sur-Orne, lesquelles ont servi d’abri pendant la Seconde guerre mondiale. Les lycéens domfrontais ont obtenu un badge virtuel pour le travail collaboratif qui leur permet de faire figurer cette mention sur « parcours sup » lors de leur choix de poursuite de leurs études.

La première école privée de théâtre improvisé ouvre en Normandie

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Les comédiens professionnels Vincent Posé et Stéphanie Rausch animeront les cours proposés par l’école Normandie Impro.

Les comédiens professionnels Vincent Posé et Stéphanie Rausch animeront les cours proposés par l’école Normandie Impro. Côté Manche)

Via sa compagnie Com’Une Impro, Vincent Posé – à la fois auteur, comédien et metteur en scène – crée une école d’improvisation théâtrale. Son nom : Normandie Impro.

Lire aussi : Saint-Lô : la Sarl de Vincent Posé, Com’Une Impro, passe au studio

S’il existe déjà quelques écoles privées de ce type en France, ce sera la première du genre en Normandie. Basée à Saint-Lô (Manche), elle ouvrira ses portes fin août 2019.

Dans les cartons depuis un moment

Créer une école privée de théâtre improvisé, Vincent Posé y pense depuis un moment. Les précisions de l’actuel entraîneur des Zimproloco, la troupe de théâtre d’improvisation saint-loise.

Ce projet, je l’avais dans un petit coin de la tête. C’est une suite logique des choses. »

Il exerce dans le milieu de l’impro depuis 2002. D’abord en amateur de 2002 à 2014, puis comme professionnel depuis 2014 avec le lancement de son activité sous le nom de Com’Une Impro.

J’anime des ateliers d’impro et des formations auprès de publics variés : enfants, ados, adultes, salariés en entreprise, personnes en situation de handicap… »

Après avoir mis en place récemment des afterworks (une parenthèse créative après votre journée de boulot), le comédien-improvisateur, qui crée ses propres spectacles, innove encore avec cette école.

Lire aussi : Manche : à Saint-Lô, on a testé pour vous… l’atelier afterwork expression-improvisation théâtrale

Une pratique loisir et découverte

À travers des exercices ludiques et des mises en jeu improvisées, l’école proposera une pédagogie adaptée à une pratique loisir.

L’école n’a pas vocation à faire des spectacles. Ici, on vient pour se détendre et se faire plaisir, le tout sans pression. Le but étant d’allier pratique ludique et découverte d’outils d’expression artistique. Pour les plus passionnés, ce sera l’occasion d’approfondir les techniques du théâtre improvisé, qui consiste à se servir de l’improvisation comme d’une méthode de création et de jeu pour les comédiens. »

Des cours, stages et master-classes

Dans son studio situé 79, rue du Neufbourg, à Saint-Lô (Manche), l’école Normandie Impro proposera des cours jeunes (collégiens-lycéens) et des cours loisirs ouverts à tous les adultes, avec ou sans expérience théâtrale. Ils seront animés par Stéphanie Rausch ou Vincent Posé.

Les cours se déroulent par session de 10 séances (soit une durée de 4 mois) et ils sont limités à 9 participants pour une meilleure qualité de suivi et un temps de jeu optimal par atelier. »

Et ce n’est pas tout : l’école met en place des master-classes, « où on invite des comédiens qui font l’actualité du théâtre improvisé en France et dans le monde francophone », et des stages de perfectionnement.

 

■ Pratique. École Normandie Impro. 79, rue du Neufbourg, à Saint-Lô (Manche). Renseignements et inscriptions à retrouver sur le site internet : www.normandie-impro.fr

Mutuelle communale. Une réduction de 30 % à La Neuve-Lyre dans l'Eure

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Accueilli par le maire Daniel Besnéhard, Jean-Marc Richard, inspecteur conseil a expliqué le sens de la démarche et a répondu aux questions

Accueilli par le maire Daniel Besnéhard, Jean-Marc Richard, inspecteur conseil a expliqué le sens de la démarche et a répondu aux questions

Ce projet de créer une mutuelle communale avait débuté par un questionnaire adressé par boîtage à la population et qui avait pour objet de permettre aux citoyens d’exprimer leur intérêt pour cette mutuelle.

Une trentaine de coupons positifs ont été reçus en mairie et la réunion a rassemblé une vingtaine de personnes. L’assureur Axa a initié ce projet sur la commune et en l’absence de l’interlocuteur local Mickael Chabot, agent mandataire retenu par ailleurs. C’est Jean-Marc Richard inspecteur conseil qui a présenté les aspects techniques et a expliqué le sens de la démarche pour servir les Lyrois avant de répondre aux questions.

Lire aussi : La mutuelle communale attise les curiosités

Ce qui est proposé à tous les retraités de la commune c’est une réduction à vie de 30 % sur le tarif mutuelle santé Axa. Chacun a donc la possibilité sans aucune contrainte d’obtenir une étude comparative gratuite à son domicile dispensée par les représentants de cette compagnie. La démarche est intéressante et singulière car elle consiste à tarifer à l’aveugle sur le prix payé par l’intéressé en ne s’occupant que des garanties détenues par celui-ci et en trouvant avec lui le bon niveau de garantie à proposer parmi 80 disponibles. Les tarifs sont ensuite révélés avec impact de la réduction a vie de 30 % et mise en évidence de l’économie réalisée. L’exercice a été probant et dix rendez-vous individuels à positionner sur les prochaines semaines ont été demandés à l’issue de cette réunion.

Contact, prendre rendez-vous à la mairie de La Neuve-Lyre au 02 32 30 45 27

Saint-Nazaire : des profs font la grève de surveillance du bac

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Ce lundi 17 juin à Saint-Nazaire des enseigants ont fait la grève de surveillances des épreuves du bac

Ce lundi 17 juin à Saint-Nazaire des enseigants ont fait la grève de surveillances des épreuves du bac (©Echo de la Presqu’île)

Ce lundi 17 juin 2019 , premier jour des épreuves du baccalauréat (philosophie pour les classe de terminale, Français pour les classes de première), un peu partout en Franc, des enseignants ont fait la grève de la surveillance. 

A Saint-Nazaire (Loire-Atlantique)  au lycée Aristide Briand, gros centre d’examen, 16 enseignants (selon la Proviseure, les grévistes eux parlent de 25) convoqués n’ont pas assuré la surveillance. 

Toutes les épreuves se sont déroulées normalement, le Rectorat ayant fait appel aux suppléants. 

Grève aussi au lycée de La Baule

Au lycée Grand Air de La Baule (Loire-Atlantique)  des enseignants étaient aussi en grève.

Avec cette réforme, Je n’ai jamais connu une telle saignée

lâche Isabelle Douvisi,  professeure d’Anglais au lycée de la Baule, à un an de la retraite et militante à la CGT Educ Action. 

Les grévistes baulois ont rejoint le rassemblement à midi au lycée Aristide Briand tout comme des enseignants du lycée Expérimental et du collège Anita Conti de Saint-Nazaire.

La surveillance des épreuves du Brevet des 27 et 28 juin pourrait aussi être perturbée par la grève.

« Asphyxie budgétaire », réforme Blanquer, classes surchargées, manque d’effectifs … les revendications sont nombreuses  chez les enseignants

Ils demandent l’annulation de la réforme du bac, le retrait de la loi Blanquer, la « fin de la précarité  dans l’Education nationale » et des effectifs plus importants pour

un vrai service public d’éducation au service de tous.

Nouvelle action vendredi 21 juin avec les Urgences

Vendredi 21 juin, une nouvelle mobilisation est programmée avec un appel à la grève et la participation, à midi devant le centre hospitalier, au pique-nique citoyen de soutien aux personnels des Urgences également mobilisés depuis plusieurs semaines.

Lire aussi : Saint-Nazaire : François Ruffin au soutien des urgentistes en grève de la cité sanitaire

Rugby - Excellence B. Mouguerre file en finale du championnat de France

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L'USM a su se montrer patient devant la ligne de Riom.

L’USM a su se montrer patient devant la ligne de Riom. (©Mélanie Rousseau)

Ce fut dur, mais c’est passé pour l’US Mouguerre en demi-finale d’Excellence B face à Riom où il a fallu beaucoup de patience pour passer l’obstacle Auvergnat. À la pause le tableau de score affichait 0-0 et grâce à sa discipline et sa patience, les Basques ont profité des fautes adverses pour prendre le score à leur compte. Belle récompense pour tout un village qui était en fête ce week-end-là… Pas besoin de donner des détails du dimanche soir sur la place du village !

LIRE AUSSI : Vidéo – Rugby. La réserve de Mouguerre chante encore, elle est en finale !

Les réactions :

Jérôme Etcheverry (entraîneur de Mouguerre) : « Émotions émotions… C’est énorme de gagner une demi-finale de championnat de France et de finir aux fêtes du village ! C’est jouissif pour tous les amoureux de l’USM. Maintenant ce n’est pas fini, il faut être compétiteur et je suis bien placé pour le savoir, avec ma génération que j’adore, une finale ça se gagne ! Quant au contenu du match, on a fait une prestation honorable, mais dans certains secteurs, il faudra être meilleur pour ramener le titre ! »

Jérôme Etcheverry espère lever le bout de bois !

Pour Jérôme Etcheverry « une finale ça se gagne ! » (©Mélanie Rousseau)

Thomas Galdos (pilier de Mouguerre) : « On a affronté une jolie équipe, bien structurée, avec du gabarit, il faut le dire ! La première mi-temps a été très engagée, on a été très discipliné et patient pour finalement se voir récompensé en deuxième mi-temps. Bravo à tous, on a bien fêté ça aux fêtes de Mouguerre en rentrant, c’est là que j’ai peut-être été le meilleur ! »

Mouguerre affrontera Elne en finale, ce dimanche 23 juin à 15h.

Pêche. Jugon attire les carpistes anglais

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La plus belle prise de Dayle à Jugon : cette carpe de 21 kg.

La plus belle prise de Dayle à Jugon : cette carpe de 21 kg. (©Le Petit Bleu des Côtes d’Armor)

La carpe. Plusieurs techniques pour la pêcher : « à l’anglaise » comme la pêche au swing- tip ou encore la pêche au quiver-tip.

Ces méthodes de pêche aux consonances anglaises, deux Britanniques ont voulu les tester en France pendant deux semaines. David et Dayle Hampshire ont rejoint le lac de Jugon, entre Lamballe et Dinan (Côtes d’Armor) pour s’adonner à leur passion.

Lire aussi : À Cahagnes, 11 hectares pour pêcher la truite et la carpe en famille

Un prise à 23 kg

David est un Londonien de 45 ans. Il est accompagné de son fils Dayle, 25 ans, qui réside à Manchester. Tous deux sont mordus de pêche et carpistes depuis très longtemps.

Outre l’Angleterre, ils ont déjà parcourus les rives des étangs et lacs du Canada et d’Amérique pour assouvir leur passion.

David et Dayle Hampshire, les deux carpistes anglais, ne se séparent jamais de leur drapeau « England » lors de leurs périples de pêche hors l'Angleterre.

David et Dayle Hampshire, les deux carpistes anglais, ne se séparent jamais de leur drapeau « England » lors de leurs périples de pêche hors l’Angleterre. (©Le Petit Bleu des Côtes d’Armor)

Ils ont loué des chambres d’hôtes à Jugon-les-Lacs avant d’installer leur fourgon aménagé, leur matériel et accessoires de carpistes (cannes, tentes, bateau amorceur, abris de pêche, sacs de conservation indispensables pour pêcher la carpe en « no Kill » – le poisson est relâché – », matériel d’amorçage, détecteurs de touches et peson (pour peser…). Ils ont choisi l’extrémité de la passerelle du lac pour s’installer.

Pourquoi Jugon ? David explique :

« On cherchait un endroit en France. Nous avons découvert sur internet qu’un carpiste anglais était déjà venu pêcher sur ce lac et avait sorti une carpe de 23 kg. Cela nous a décidés. C’est la première fois que nous pêchons en France. Nous ne regrettons pas. En 2 jours, j’ai sorti deux carpes de 10 kg et 21 kg. Et mon fils Dayle en a fait cinq d’environ 10 kg chacune. »

En fin de semaine, ils ont quitté le lac de Jugon pour s’installer sur la rive du barrage de l’Arguenon pour encore huit jours. Cet autre plan d’eau jugonnais est aussi très réputé pour la carpe.

EN VIDEO : Jugon, station pêche, Maison Pêche et Nature des Côtes d’Armor :


Metz : il fauche une fille de 11 ans en moto-cross et prend la fuite

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Une petite fille de 11 ans a été fauchée par un homme en moto-cross, dimanche 16 juin 2019 à Metz (Moselle). Le pilote est toujours en fuite.

Une petite fille de 11 ans a été fauchée par un homme en moto-cross, dimanche 16 juin 2019 à Metz (Moselle). Le pilote est toujours en fuite. (©Illustration/Adobe Stock)

Une petite fille de 11 ans a été fauchée par un individu en moto-cross, dimanche 16 juin 2019, à Metz (Moselle).

Elle se trouvait sur un trottoir rue du Dauphiné, dans le quartier, à proximité d’une fête tenue dans un centre socio-culturel, vers 20h50, selon une source policière.

Lire aussi : Piéton fauché à Metz : le chauffard en fuite interpellé par la police

Il tombe de sa moto-cross mais parvient à s’enfuir

Plusieurs personnes étaient présentes sur le lieu du choc. Certaines d’entre elles ont tenté d’arrêter l’individu, tombé de sa moto. Mais il est parvenu à prendre la fuite en bousculant quelqu’un qui essayait de l’intercepter.

Lundi après-midi, l’individu était toujours en fuite. La police a ouvert une enquête pour tenter de le retrouver.

La jeune fille a été hospitalisée après la collision. Elle n’est que légèrement blessée mais très choquée. Selon une source policière, elle sortait de l’hôpital ce lundi.

Lire aussi : Enfants fauchés à Lorient : une semaine plus tard, le chauffard toujours en cavale

Essonne. L'autoroute A10 fermée après un accident entre deux poids-lourds

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Les deux poids-lourds ont perdu une partie de leur chargement sur les voies de l'A10

Les deux poids-lourds ont perdu une partie de leur chargement sur les voies de l’A10 (©SDIS 91)

Peu après 13h30 ce lundi 17 juin, les sapeurs pompiers de l’Essonne sont intervenus pour un grave accident mettant en scène deux poids-lourds sur l’autoroute A10. 

Fortement endommagé, le premier d’entre eux, un camion benne, transporte de la terre. Une partie de son chargement s’est déversé sur les voies.

Le second camion transportant des billes plastiques a été éventré par le choc, entraînant également la perte de son chargement sur la chaussée

Un des conducteur a été héliporté vers le centre hospitalier le plus proche en état d’urgence absolue. 

L’accident a donc entraîné la suspension de tout trafic sur l’autoroute A10 dans le sens Paris/Province à hauteur de Villebon-sur-Yvette. Les opérations de nettoyage et dégagement de la chaussée sont en cours et vont durer plusieurs heures. L’heure de reprise de la circulation est pour le moment indéterminée.

A Mayet, l'activité commerciale passée au crible

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L'enquête sur le commerce local a été présentée aux habitants.

L’enquête sur le commerce local a été présentée aux habitants. (©Petit Courrier)

Une quarantaine d’habitants de Mayet (sarthe), mais aussi des commerçants de la ville, ont assisté à une réunion publique sur le commerce local, suite à l’enquête menée par la Chambre de Commerce et de l’Industrie du Mans.

183 réponses

Sur les 1 325 ménages que compte la ville, 183 ont répondu à l’enquête. Soit un taux de participation de 14 %.

« Cela peut sembler peu mais en réalité c’est un très bon échantillon de réponses », explique Angélique Barré de la CCI du Mans.

L’enquête révèle que les habitants de Mayet sont attachés à leurs commerces traditionnels. En effet, concernant les produits de boulangerie, 91,6 % des participants affirment se rendre dans les deux boulangeries de Mayet.

Lire aussi : Une Maison d’Assistantes Maternelles en projet à Mayet

Concernant la viande, 55,9 % se rendent chez le boucher local tandis que 40,9 % des personnes interrogées vont en grande surface.

En revanche, lorsqu’il s’agit de faire le plein de courses, 74,3 % des sondés affirment aller en grande surface, pour les prix pratiqués (83 %).

Les petits commerces tels que le Huit à huit ou le Spar sont plutôt fréquentés en dépannage (74 % des interrogés).

Si les autres commerces de proximité sont appréciés, c’est pour leur proximité (62,1 %), pour la qualité de leurs produits (46 %), pour la relation humaine (40,2 %) ou encore pour le professionnalisme des commerçants (33,3 %).

Des inquiétudes

Cette réunion a également permis de révéler des interrogations et des inquiétudes de certains habitants. La fermeture de plus en plus fréquente de La Poste, due à une baisse de 60 % de son chiffre d’affaires, ennuie les commerçants.

« Avant, les gens allaient à La Poste et ils en profitaient pour faire quelques courses », explique une commerçante locale.

La synthèse rédigée de l’enquête sera prochainement disponible sur le site de la mairie.

Nantes : un tournoi exceptionnel en hommage à Henri Michel, ancien sélectionneur des Bleus, le 29 juin

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Henri Michel a remporté trois titres de champion de France et une coupe de France avec le FC Nantes.

Henri Michel a remporté trois titres de champion de France et une coupe de France avec le FC Nantes. (©cc search)

En hommage à l’ex-joueur du FC Nantes et sélectionneur de l’équipe de France, Henri Michel, décédé le 24 avril 2018, un tournoi de football exceptionnel se tiendra le samedi 29 juin 2019 au palais des sports de Nantes (H-Arena).

Un événement d’envergure

De 17 h à 21 h, quatre équipes s’affronteront lors d’un tournoi bien particulier. D’une part une sélection d’anciens joueurs de l’équipe de France, dont un grand nombre de personnalité de 1998, et, d’autre part, une équipe composée d’ancien joueurs de sélection ivoirienne, ainsi qu’une autre composée d’anciens joueurs de sélection marocaine.

Enfin, la quatrième équipe sera constituée d’une sélection d’ex-Canaris (parmi lesquels Mickaël Landreau, Eric Carrière, Patrice Loko, Eddy Capron, Nicolas Savinaud, Frédéric Da Rocha, Nicolas Gillet, Olivier Quint…).

Organisé par l’association A la Nantaise, l’événement rassemblera également des grands noms du club nantais. 

Jean-Claude Suaudeau, Raynald Denoueix, Jean-Paul Bertrand-Demanes, Loïc Amisse, Vincent Bracigliano, Georges Eo, Vahid Halilhodžić, Gilbert Le Chenadec ou encore Gaby De Michèle seront parties prenantes. Une liste destinée à être enrichie jusqu’au jour J. »

Une statue en projet

Juste avant la finale, toutes les équipes seront invitées à se rendre sur le terrain pour un hommage collectif à Henri Michel. 

L’intégralité des bénéfices engrangés serviront au financement d’un projet de statue à l’effigie de l’ex-capitaine des jaunes et verts. L’association A la nantaise a déjà récolté plus de 6 000 € auprès de 250 donateurs. Les noms des contributeurs seront gravés sur le socle de la statue. 

A la nantaise appelle tous les amoureux du FC Nantes à participer à la réussite de ce financement participatif en se rendant sur le site de l’association. »

Lire aussi : Bernard Laporte, ancien sélectionneur du XV de France de rugby, à Bain-de-Bretagne fin juin

Tarifs : de 10 € à 40 €.

Achille Dupas (stagiaire)

Météo : ce mardi, la Gironde est en vigilance jaune pour risques d'orages

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La Gironde est placée en vigilance jaune par Météo France ce 18 juin 2019.

La Gironde est placée en vigilance jaune par Météo France ce 18 juin 2019. (©allfortof)

Ce mardi 18 juin 2019, le soleil devrait laisser place à des orages, à partir de 19 heures, à Bordeaux et dans toute la Gironde. Le département a été placé en vigilance jaune par Météo France.

La préfète de Nouvelle-Aquitaine invite à rester prudent et à éviter les activités extérieures. Des averses de grêles sont même à craindre en fin de soirée, à partir de 23 heures.

Températures en baisse ce mercredi

À partir de mercredi matin, le ciel devrait se dégager et le thermostat baisser sensiblement puisque la maximale attendue est de 25 degrés, soit 10 de moins que ce mardi.

Municipales 2020 : Paulette Matéo laisse son siège de maire

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Paulette Matéo, devant la mairie des Loges-Marchis, dont elle a les clés depuis près de 20 ans.

Paulette Matéo, devant la mairie des Loges-Marchis, dont elle a les clés depuis près de 20 ans.

Maire depuis 2001, l’élue totalisera 25 années de présence au conseil municipal, dont 19 ans comme premier magistrat de la commune.

« C’est une décision personnelle. Je pense que ce serait le mandat de trop. Je vais avoir 68 ans l’année prochaine et six ans de plus m’entraîneraient jusqu’à l’âge de 74 ans. Je préfère garder mon énergie pour ma famille et mes petits-enfants », sourit la maire, qui avait succédé à Gaston Chapron à l’époque de sa première élection.

Passer le relais sera aussi une manière pour elle de souffler, après avoir été aux responsabilités près de 20 ans, « avec, dans nos communes, une disponibilité qui doit être de 24 heures sur 24 ».

Si Paulette Matéo souhaite aujourd’hui passer le relais, elle « ne regrette rien ». Avec des projets qui ont permis de stabiliser les chiffres de la population d’années en années, autour des 1 100 habitants aujourd’hui.

« Nous avons eu la chance de faire un lotissement qui a contribué à développer la commune. Avec les jeunes qui ont construit, on a eu des enfants qui ont permis à l’école de perdurer ».

L’espace Vallée de l’Airon, le contournement du cimetière : d’autres projets ont fleuri. Avant la fin du mandat, d’autres chantiers devraient être terminés : la création d’un local technique près de l’ancienne salle communale, un programme de voirie et des travaux d’accessibilité à la mairie, l’église et au salon de coiffure qui appartient à la municipalité.

« 2008, meilleur souvenir »

Côté élections, Paulette Matéo garde comme souvenir marquant le scrutin de 2008, « mon plus beau souvenir, où toute la liste est passée au premier tour ».

En deux décennies, la fonction a évolué avec le bouleversement des strates dans l’organisation des collectivités territoriales.

« Avec la communauté d’agglomération aujourd’hui et le nombre de commissions, on pourrait y passer notre vie », considère l’élue.

Paulette Matéo retient aussi son travail avec la secrétaire Joëlle Saliot, « qui est là depuis près de 35 ans. Une collaboration qui a été une chance pour moi ».

Un regret peut-être ?

« J’aurais aimé qu’on intègre la commune nouvelle avec Saint-Hilaire. C’était mon truc, mais le conseil ne le souhaitait pas. »

Quant à ses successeurs potentiels, « il est pour l’instant trop tôt pour en parler ». Une élection que Paulette Matéo devrait observer.

« Je suis née aux Loges-Marchis et je vais y rester », lance-t-elle.

Contrôleuse de gestion, Pauline a changé de voie en devenant sculpteuse sur cuir dans l'Orne

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Une vraie reconversion pour la jeune femme qui, de contrôleuse de gestion est devenue sculpteuse sur cuir

Une vraie reconversion pour la jeune femme qui, de contrôleuse de gestion est devenue sculpteuse sur cuir (©Laurent Rebours)

Dans une chambre à l’étage de la maison d’une amie à Saint-Julien-sur-Sarthe (Orne), Pauline Nivoix s’est aménagée un atelier cosy. De quoi abriter quelques temps son entreprise naissante, Cuir de Lic’Orne.

« Se lever le matin avec envie »

Ses réalisations n'ont de limite que l'imagination

Ses réalisations n’ont de limite que l’imagination, du carquois à la restauration d’une sacoche en passant par un sac à main unique (©Laurent Rebours)

D’ici quelques semaines elle devrait emménager dans un endroit plus adapté à ses projets autour de la création de cuirs mais aussi de bijoux, mais le dossier se peaufine. 

A 35 ans, Pauline a tout simplement décidé de tourner une page professionnelle. Ancienne contrôleuse de gestion dans la Sarthe, elle avait besoin de retrouver des valeurs qui lui tiennent à coeur, de repartir vers des fondamentaux, « qu’est-ce que je veux vraiment… Je voulais me lever le matin avec de l’envie, des passions ».

Elle a immédiatement en tête ce qui l’anime déjà depuis longtemps, les travaux manuels, les loisirs créatifs, les bijoux fantaisie.

Je suis revenu vers mon Orne natale et je me suis dit que je voulais faire quelque chose qui puisse être en relation avec le monde du cheval car je suis cavalière depuis toujours, animatrice de danse country… Et ce stage sur le cuir à Besançon a été un vrai déclic » confie-t-elle.

L’amélioration des techniques

Un vaste panel d'outils pour sculpter le cuir

Un vaste panel d’outils pour sculpter le cuir (©Laurent Rebours)

De son stage dans le Doubs, Pauline revient avec mille idées et surtout l’envie d’aller encore plus loin dans la création autour du cuir. Elle se forme avec un artisan d’art, Eric Deneken à Baugé-en-Anjou (Maine-et-Loire). Une référence dans le domaine de la sculpture sur cuir qui la conforte dans sa démarche. 

Il a accepté que je fasse avec lui une formation complète durant neuf semaines » ajoute Pauline. « J’ai appris toutes les bases et ensuite au coup par coup je vais améliorer telle ou telle technique. »

Des couvertures de livres

Des couvertures de livres… (©Laurent Rebours)

Sur le plus long terme, Pauline aimerait une formation spécifique en sellerie-harnachement. Elle fait déjà des licols mais aimerait aller jusqu’au bout de la démarche.

Lire aussi : Parc d’immersion RustiK en Normandie : l’univers médiéval-fantastique se dévoile peu à peu aux amateurs impatients !

Son univers est quasiment sans limite si ce n’est celle de son imagination ou celle de ses clients. Mais elle affectionne tout spécialement les créations d’inspiration médiévales, celtiques, amérindiennes, ou laissant libre court à la création avec l’héroïc-fantasy par exemple. Ce qui l’a fait se rapprocher des fondateurs du futur parc d’immersion Rustik à Chailloué jusqu’à en devenir membre de la Guilde.

ou d'agendas, siglés de la licorne "maison"

… ou d’agendas (©Laurent Rebours)

Pour ce parc, elle a déjà planché sur des équipements comme des carquois, des fourreaux, des spalières et divers objets inédits comme une gourde frappée du sceau Rustik dont elle ne cache pas sa fierté car elle a nécessité beaucoup de temps et d’astuces pour façonner une forme des plus originales.

Au-delà du cuir elle aime aussi tout spécialement créer des bijoux, toujours avec les mêmes sources d’inspiration que pour son travail sur le cuir. Des bijoux de sacs, des boucles d’oreilles, des bracelets ou encore des boloties (cravates américaines).

en passant par des bijoux

en passant par des bijoux (©Laurent Rebours)

Elle restaure également de vieux objets patinés par le poids des ans tout en conservant leur âme, à l’image de la sacoche Singer de son grand-père qui partait avec réparer les machines à coudre.

Pauline l’admet, elle n’arrête pas en ce moment, les commandes viennent de partout. Ce qui la conforte dans ses choix. Mais lorsque l’on vit de sa passion, on n’a plus l’impression de travailler. Alors elle se perfectionne, expérimente le travail sur divers cuirs, avec diverses techniques, toujours respectueuses de l’environnement avec des tanneries végétales par exemple.

Une filière recyclage des cuirs usagés

Pour ce tressage, la technique vient tout droit d'Australie avec du cuir de kangourou

Pour ce tressage, la technique vient tout droit d’Australie avec du cuir de kangourou (©Laurent Rebours)

Toujours fourmillante d’idées, elle envisage à terme de créer une filière de recyclage pour récupérer les cuirs usagés en collaboration avec les associations qui récupèrent déjà les vêtements. Une démarche en phase avec son approche du métier.

Pour les particuliers, Pauline s’adapte, toujours à l’écoute, et peut offrir du sur-mesure comme pour cette dame qui cherchait une mallette lui permettant de transporter des flacons en toute sécurité. « Je propose toujours des devis comme ça les gens savent où ils vont ».

Des créations d'inspiration ethniques

Des créations d’inspiration ethniques (©Laurent Rebours)

Pour les fans de cosplay (les costumes faisant référence à un univers) elle peut tout à fait créer des équipements, mais pour la partie tissus elle se rapproche alors de l’Atelier de Grith dans le Calvados… qui lui aussi sera bientôt dans le monde Rustik !

█ Pratique : pour contacter Pauline Nivoix : cuir.de.licorne@gmail.com ou 07 83 09 23 57.


Zoophilie : un homme pris en flagrant délit par sa femme à Verneuil dans l'Eure

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Mya a été agresséé sexuellement.

Mya a été agresséé sexuellement.

Un homme a été instruit par la gendarmerie de Verneuil-sur-Avre (Eure) , le 14 juin 2019, pour avoir commis des actes de zoophilie. Il avait violé sa chienne Mya, une Dogue des Canaries âgée de 3 ans. Après l’avoir surpris, sa femme a filmé la scène. 

Les images de la vidéo présentent le mari doigtant sa chienne. Le pauvre animal a été retrouvé la queue relevée scotchée à son dos et les pattes arrière attachées avec des menottes.

Toujours pas de législation

Le Procureur de la République a requis la saisie de l’animal au profit de l’Association Stéphane Lamart « Pour la défense des droits des animaux ». Le diagnostic du vétérinaire a révélé que Mya était anormalement maigre et avait une patte tordue. Elle a été recueillie samedi 15 juin 2019 au Refuge des Orphelins, à Aunay-sur-Odon dans le Calvados (14).

30 000 € d’amende

Aujourd’hui, au XXIe siècle, il n’existe toujours pas de législation condamnant l’ensemble des faits d’origine zoophile. La loi punit seulement une disposition spécifique de la zoophilie dans son article 521-7 du Code Pénal.

« Le fait publiquement ou non, d’exercer des sévices graves, ou de nature sexuelle, ou de commettre un acte de cruauté envers un animal, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende. À titre de peine complémentaire, le tribunal peut interdire la détention d’un animal, à titre définitif ou non. ». 

Lire aussi : Sarthe. Ils adoptent un chien de refuge et l’abandonnent suite à la naissance de leur enfant

Cet article se limite aux actes sexuels seulement, et ne prend pas en compte leur représentation qui est une incitation à commettre un délit. En effet, la diffusion de contenus zoophiles sur internet, ainsi que la commercialisation de contenus zoophiles dans des DVD ou dans des magazines proposés à la vente ou à la location dans les sex-shops sont toujours bel et bien légales en France.  Par ailleurs, les animaux sauvages sont une nouvelle fois exclus des textes de loi visant à protéger les animaux pour des faits de zoophilie.

Bien que la zoophilie soit un sujet tabou, elle existe bien plus que nous le croyons, et cela, dans le monde entier. Ce fléau n’est d’ailleurs pas considéré comme un délit dans certains pays comme la Finlande, l’Islande, la Roumanie, l’Allemagne qui l’autorise si l’animal est consentant, ou encore le Canada qui n’interdit que la pénétration mais pas les autres actes sexuels.

Les animaux ne sont pas des objets sexuels mais des êtres sensibles. Le viol peut provoquer chez l’animal des troubles du comportement comme le renfermement sur soi, l’agressivité, une peur constante d’autrui outre des dégâts extrêmes et internes majeurs.

Yvelines. Coignières : Donnez un nom au city stade et à l'espace jeunes

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Rénové, le city stade sera inauguré le 30 août prochain.

Rénové, le city stade de Coignières (Yvelines) sera inauguré le 30 août prochain.

Dans le cadre de sa politique tournée vers la jeunesse, la municipalité de Coignières (Yvelines) a lancé la rénovation du city stade et la création d’un espace jeunes dédié aux 18-25 ans.

Lire aussi : Yvelines. Municipales partielles à Coignières : Didier Fischer est le nouveau maire de la commune

En vue de leur inauguration prévue le 30 août prochain, un concours est lancé jusqu’au 2 juillet auprès des habitants. Ceux-ci peuvent choisir le nom de ces deux futurs équipements municipaux.

Quatre propositions au choix

Pour l’espace jeunes, quatre propositions sont au choix : « Coing des jeunes », « Cap jeunes », « Maison des jeunes de Coignières (MJC) » et « Point jeunes ». Pour le city stade, les habitants peuvent choisir entre « City sphère », « Olympia stadium », « Stade Coignières » et « City stade ».

Pour ceux qui souhaitent voter, un bulletin est à télécharger sur le site Internet de la Ville, www.coignieres.fr, et à transmettre à l’accueil de la mairie ou par e-mail à : communication@coignieres.fr.

Une chienne victime d'actes de zoophilie et de barbarie commis par son maître, secourue près de Caen

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La pauvre chienne victime d'actes de zoophilie

La pauvre chienne victime d’actes de zoophilie dans l’Eure, recueillie dans un refuge proche de Caen (Calvados). (©DR)

Confiée à l’association Stéphane Lamart, Mya, une femelle Dogue des Canaries âgée de 3 ans victime d’actes de barbarie et de zoophilie perpétrés par son maître a été recueillie samedi 15 juin 2019 au refuge des Orphelins d’Aunay sur Odon près de Caen (Calvados).

Les pattes menottées pendant l’acte

La veille, le vendredi 14 juin, la malheureuse bête avait été retrouvée les pattes attachées par des menottes et la queue scotchée et relevée sur son dos, alors qu’un homme pratiquait une acte de pénétration. Une femme, en l’occurrence la compagne du maître, étant située un peu plus loin filmait la scène.

Lire aussi : Après sa condamnation à Caen, les confessions de l’ingénieur tortionnaire de chats

Ces actes ont été perpétrés dans le département de l’Eure, dans le secteur de Verneuil-sur-Avre. Le procureur de la République a requis la saisie de l’animal  au profit de l’association Stéphane Lamart « Pour la Défense des Animaux ». Examinée par un vétérinaire, la chienne présente une maigreur anormale et une blessure à une patte.

Jusqu’à deux ans d’emprisonnement

L’association de défense des animaux rappelle que la loi punit seulement une disposition spécifique de la zoophilie dans son article 521-7 du Code Pénal. 

Le fait publiquement ou non, d’exercer des sévices graves, ou de nature sexuelle, ou de commettre un acte de cruauté envers un animal, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende. À titre de peine complémentaire, le tribunal peut interdire la détention d’un animal, à titre définitif ou non.

Lire aussi : Foire de Pâques à Caen : l’association Stéphane Lamart demande au préfet d’interdire le manège à poneys

Selon l’association, les vidéos d’actes zoophiles font l’objet d’un marché important sur Internet. Plusieurs pays dont l’Allemagne, la Roumanie ou encore le Canada n’ont d’ailleurs pas qualifié ces actes comme des délits.

Appel du 18 juin 1940 : une cérémonie teintée d'émotion en Seine-Maritime

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Pierre Ternois et Isabelle Vandenberghe, conseillère régionale de Normandie, ont proécéd au dépôt de gerbes ce mardi 18 juin 2019, place du Général de Gaulle à Blangy-sur-Bresle.

Pierre Ternois et Isabelle Vandenberghe, conseillère régionale de Normandie, ont proécéd au dépôt de gerbes ce mardi 18 juin 2019, place du Général de Gaulle à Blangy-sur-Bresle. (©L’Éclaireur du Vimeu)

Ce mardi 18 juin 2019, une trentaine de personnes, principalement des membres des associations d’anciens combattants de Blangy-sur-Bresle (Seine-Maritime), mais aussi de Gamaches (Somme), se sont réunies sur la place du Général De Gaulle, à côté du Manoir de Fontaine. Comme chaque année, elles sont venues commémorer l’Appel du 18 juin 1940. Mais ce mardi, le contexte est un peu particulier.

Les anciens combattants gardent en mémoire Claude Vialaret, leur président d’honneur disparu

En effet, nous sommes trois semaines après le décès de l’ancien maire Claude Vialaret.

Lire aussi : Élu d’une commune de Seine-Maritime depuis 1965, Claude Vialaret nous a quittés à l’âge de 85 ans

Alexandre Gracias, président de l’amicale des combattants et mobilisés de Blangy, a donc tenu à rendre hommage à son ami, qui était par ailleurs président d’honneur de l’amicale depuis sa création en décembre 1979. Il évoque « une vie bien remplie de dévouement auprès des autres », et un « bel exemple d’humanisme ». Le dirigeant de l’amicale poursuit :

Vous parler de Claude, l’ami de tous les anciens combattants, c’est vous parler d’un parent proche que vous venez de perdre. L’émotion est grande.

Alexandre Gracias garde de lui l’image d’une personne compréhensive, accessible, « aux conceptions de vie claires et bien définies ». Avant d’observer une minute de silence, le président de l’amicale conclut :

Nous, anciens combattants, venons de perdre un patron, sage avec les décisions à prendre, efficace avec les résultats obtenus. Merci Claude pour l’exemple d’homme de combat que tu nous laisses, merci Claude pour l’exemple d’une vie dévouée aux autres, merci pour l’exemple de l’amitié partagée que tu savais mettre en application avec ceux qui ne partageaient pas tes convictions mais qui, comme moi, voulaient apporter leur pierre à l’édifice de la paix.

« L’avenir appartient aux audacieux »

Ce 18 juin 2019, une fois l’hommage rendu à Claude Vialaret, et après la remise de gerbes, effectuée par le Blangeois Pierre Ternois et par Isabelle Vandenberghe, conseillère régionale de Normandie, Éric Tellier a procédé à la lecture de l’Appel du Général de Gaulle.

Enfin, Madame Deleau a ensuite rappelé les événements de l’époque, depuis ce fameux Appel du 18 juin 1940 jusqu’à la libération de Strasbourg à l’automne 1944, en passant par la libération de la Corse en 1943 ou encore le Débarquement du 6 juin 1944 en Normandie. Et de conclure :

L’Appel du 18 juin et les victoires qu’il a su susciter montrent qu’il ne faut jamais désespérer et que l’avenir appartient aux audacieux.

Elbeuf : la SAS Grimoin se recentre

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Robin Grimoin a succédé en 1995 à son père, Claude,
à la tête de l'entreprise.

Robin Grimoin a succédé en 1995 à son père, Claude, à la tête de l’entreprise.

Installée depuis 1991, à l’angle des rues Guibert et de la République, la SAS Grimoin faisait partie du paysage à Caudebec-lès-Elbeuf. Désormais, elle a pignon sur rue à Elbeuf, au 22-24, rue Pierre-Brossolette, dans le centre, non loin des cinémas Grand Mercure.

« C’est plus central, il y a du volume (60 m2 contre moins de 40 m2 précédemment), c’est bien, c’est clair », explique Robin Grimoin, depuis 1995 à la tête de l’entreprise créée par son père, Claude, en 1964, à Saint-Aubin-lès-Elbeuf. Pour autant, ce « recentrage » n’était pas anticipé et résulte surtout d’une opportunité : « À Caudebec, nous étions locataires. Quand j’ai su que François Nogueira, un copain artisan peintre, cherchait à vendre ce local, qui lui servait de dépôt, j’ai sauté sur l’occasion pour acheter les murs. »

Le temps de réaliser les travaux d’aménagement, l’ouverture a eu lieu le 1er mars et l’inauguration jeudi dernier, sous le soleil, entre deux averses, en présence du sénateur, Didier Marie, et de Djoudé Merabet, avec lequel Robin Grimoin joue au football, à la Londe, en vétérans, le dimanche matin.

Maçonnerie et football

Avec la maçonnerie, le ballon rond est une tradition chez les Grimoin. Robin est le cousin d’Yves et Frédéric, qui ont joué en Division d’honneur au FASAE, club où leur père, Bernard, maçon dans l’entreprise de son frère, était dirigeant. « Et Olivier Bisson (N.D.L.R. : autre grande famille saint-aubinoise de footballeurs), le mari de Ghislaine, ma secrétaire, joue aussi avec nous à la Londe ! »

Depuis 1964, l’entreprise a bien prospéré. « Mon père a démarré son activité dans le garage de ma grand-mère, dans le quartier des 99 maisons. Il avait ensuite son dépôt dans sa cour à Cléon, où il avait fait construire, avant de s’installer à Caudebec, rue de l’Argilière. » Si la « vitrine » de la SAS Grimoin est désormais à Elbeuf, où ont été transférés le siège et les bureaux, l’entreprise garde son dépôt à Caudebec.

Aujourd’hui, la société compte treize salariés, dont deux apprentis, parmi lesquels Victor, 18 ans, le fils de Robin, qui perpétue la tradition familiale.

De père en fils

« J’ai moi-même commencé comme apprenti et appris le métier avec mon père. Celui-ci et moi-même avons toujours été favorables à l’apprentissage, c’est la relève. Nous avons plusieurs salariés qui ont plus de trente ans d’ancienneté, dont certains ont débuté comme apprentis. S’ils sont toujours là, c’est qu’ils se plaisent. »

Nanou, la demi-sœur de Robin, a également travaillé durant vingt-cinq ans comme secrétaire-comptable, avant de partir à la retraite et d’être remplacée par Stéphanie, son épouse. Quand on vous dit que c’est une entreprise familiale !

Publirédactionnel

Infos pratiques

SAS Grimoin

Maçonnerie générale

22-24, rue Pierre-Brossolette

76500 Elbeuf

Tél. 02 35 77 14 54

sas.grimoin@orange.fr

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