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CARTE. Travaux du tramway à Caen : au pied du château la rue de Geôle est fermée deux nuit

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A Caen, en raison des travaux du futur tramway, la rue de Geôle sera fermée la nuit du 19 au 21 juin.

A Caen, en raison des travaux du futur tramway, la rue de Geôle sera fermée la nuit du 19 au 21 juin. (©Nicolas Claich/Liberté le bonhomme libre)

A Caen (Calvados), le nouveau tramway prendra son service le samedi 27 juillet 2019. Si l’essentiel du chantier est terminé, il reste néanmoins encore des travaux. Dans le centre de Caen et à Hérouville saint-Clair.

Lire aussi : À Caen, le nouveau tramway roulera avec un mois d’avance !

Rue de Geôle fermée

La rue de Geôle sera ainsi fermée la nuit du 19 au 21 juin de 20 h à 5 h de la rue Montoir Poissonnerie à la place de la Mare. Des déviations seront mises en place.

Gaillon : ça rouvre

Rue des Carrières Saint-Julien : les carrefours avec la rue du Gaillon sont rouverts.

Attention : les essais ont commencé

La communauté urbaine Caen la mer qui a en charge ces travaux, rappelle que  : « depuis le vendredi 4 janvier 2019, les essais ont débuté. La zone s’étend jusqu’aux terminus CAEN Campus 2, CAEN Presqu’île, IFS Jean Vilar et HÉROUVILLE Saint-Clair. 

Sur les secteurs réouverts (de Fleury-sur-Orne à Caen Nord Campus 2 ; Ifs Jean Vilar ; Presqu’île et Hérouville Saint-Clair), la plateforme est réservée au tramway. Les véhicules ne sont pas autorisés à l’emprunter.

Notre carte interactive ci-dessous


À Quimper, elle intervient dans les familles pour aider les jeunes parents

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Sophie Luszezinski est éducatrice de jeunes enfants depuis 2011. © Déclic par l'image

Sophie Luszezinski est éducatrice de jeunes enfants depuis 2011. © Déclic par l’image.

Beaucoup de jeunes parents sont parfois démunis face au comportement de leur enfant. Ils ne savent pas vers qui se tourner. Il existe des structures publiques pouvant les secourir mais elles sont souvent débordées. « Moi, je peux intervenir très rapidement à Quimper et dans un rayon de 20-25 km », avance Sophie Luszezinski, Quimpéroise de 32 ans.

Depuis octobre 2018, elle exerce à temps partiel comme éducatrice de jeunes enfants en libérale. Elle travaille par ailleurs au relais petite enfance de Quimper Bretagne occidentale. Les éducatrices libérales sont peu nombreuses dans le Finistère. À Quimper, elles seraient simplement deux.

Comprendre le langage de l’enfant

Sophie Luszezinski a posé un cadre assez précis à son activité : « J’interviens sur les questions d’éducation. Pour le handicap ou les pathologies, il faut faire appel à d’autres professionnels. » Elle peut être contactée pour un comportement agressif dans une fratrie, une mauvaise intégration dans le milieu scolaire, un mal-être suite à une séparation, une sensibilité exacerbée…

Sophie Luszezinski se rend au domicile de la famille et rencontre dans un premier temps les parents. Elle revient ensuite pour un moment de jeu ou d’échanges avec l’enfant. Une troisième séance d’une heure (non remboursée) peut suffire.

J’écoute ce que l’enfant a à dire. J’essaye de comprendre son langage corporel et verbal. J’aide les parents à décrypter ce langage. Ils pourront ainsi se positionner différemment et observer les changements.

Des ateliers

L’éducatrice libérale veut aussi faire évoluer certaines représentations bien ancrées sur le rôle des parents, des enfants… Sophie Luszezinski aide les enfants à gérer leurs émotions, à les verbaliser. Le but final est de développer la confiance en eux, nécessaire pour grandir.

Dans sa pratique, la jeune femme s’inspire des écrits de la pédiatre Françoise Dolto, « notamment de l’importance de considérer l’enfant comme une personne, de comprendre ses besoins ». Par ailleurs, elle se forme à la PNL, la programmation neurolinguistique. Cette méthode permet d’agir sur le comportement par le langage.

L’éducatrice intervient essentiellement auprès d’enfants jusqu’à 6 ans. Elle propose par ailleurs des ateliers parents-enfants en lien avec l’école démocratique La clé des champs (Plonéis). « Il se peut aussi que je reçoive les familles dans un cabinet », projette-t-elle.

 

Infos pratiques
sophie.luszezinski@gmail.com
06 72 11 85 04.
Tarif : 60 euros la séance.

Pour échapper à la police, elle se jette dans l’Arques à Dieppe

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La femme, âgée de 29 ans, espérait pouvoir rester cachée dans les hautes herbes jusqu’à ce que les recherches s’arrêtent.

La femme, âgée de 29 ans, espérait pouvoir rester cachée dans les hautes herbes jusqu’à ce que les recherches s’arrêtent. (©Les Informations Dieppoises)

Dimanche 16 juin 2019, la police de Dieppe (Seine-Maritime) est appelée vers une heure et demie du matin pour un accident de voiture avenue de Bréauté.

S’il n’y a aucun blessé, l’une des protagonistes serait passablement éméchée selon les témoins. Mais en se rendant sur place, les forces de l’ordre reçoivent un deuxième appel.

La femme en question, âgée de 29 ans, vient de prendre la fuite à bord de sa Audi.

Une heure et demie dans l’eau

Elle a été suivie par les autres victimes de l’accident et est désormais stationnée route de Bonne-Nouvelle.

Une fois sur place, la patrouille de police ne la trouve toujours pas. L’une des personnes qui a suivi la voiture explique aux agents que la femme s’est jetée dans l’Arques, manifestement pour leur échapper.

Lire aussi : Une victime dans un feu d’appartement à Dieppe

Durant une heure et demie, les forces de l’ordre vont se mettre à sa recherche. Une équipe de plongeurs des sapeurs-pompiers a même été mobilisée pour la retrouver.

Cachée au milieu des herbes hautes

C’est le passage d’une voiture avec les phares allumés qui va permettre de la retrouver : elle était cachée au milieu des herbes hautes. La femme attendait là en espérant que les recherches allaient être abandonnées.

Positive au contrôle d’alcoolémie, elle a été envoyée à l’hôpital par la police afin de vérifier son état de santé après cette heure passée dans l’eau.

Elle n’était pas connue des services de police. Elle sera reconvoquée au commissariat de Dieppe pour s’expliquer sur les conséquences de l’accident.

Montagny-en-Vexin. 400 personnes conquises par le concert du groupe Soldat Louis

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Soldat Louis au côté de Loïc Taillebrest, maire de Montagny-en-Vexin (Oise).

Soldat Louis au côté de Loïc Taillebrest ‘à droite), maire de Montagny-en-Vexin (Oise). (©La Gazette du Val-d’Oise)

Des retrouvailles réussies.

Environ 400 personnes ont assisté au concert donné en plein air par le groupe Soldat Louis, à Montagny-en-Vexin (Oise), samedi 8 juin.

En première partie, le duo voix et guitares Accorder les Guitares a réalisé une excellente prestation, très made in France.

Groupe créé en 1988

On ne pouvait mieux faire que d’accueillir par une bordée d’applaudissements Soldat Louis et ses partenaires qui fêtent cette année la 31e année d’existence du groupe.

Il a été créé en 1988 par Renaud Detressan, compositeur des chansons du groupe et guitariste, Serge Danet (Soldat Louis) et un certain Loïc Taillebrest, aujourd’hui maire de Montagny-en-Vexin, qui a débuté l’aventure avec eux.

Il est resté huit années avec cette formation avant d’intégrer le groupe I Muvrini dans lequel il joue depuis vingt-deux ans.

C’étaient de sympathiques retrouvailles et un merveilleux concert, avec les succès du groupe qui furent plusieurs fois ovationné.

Football. Les frères Lhéron et Pierre Le Floc'h de retour à l'AS Servel-Lannion

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Julien et Anthony Lhéron vont retrouver le maillot sans et or de l'AS Servel-Lannion.

Julien et Anthony Lhéron vont retrouver le maillot sang et or de l’AS Servel-Lannion. (©Le Trégor. Bernard Guilcher)

C’est signé : Julien et Anthony  Lhéron quittent l’US Perros-Louannec (R2) où ils auront passé une saison pour revenir à l’AS Servel-Lannion reléguée en D1 mais qui entend bien reprendre l’ascenseur pour la R3.

Les zèbres, qui vont ainsi retrouver leur buteur et un milieu de terrain offensif, récupèrent également Pierre Le Floc’h qui vient de terminer ses études en région parisienne. Homme du couloir gauche, il a demandé à être nommé en Bretagne pour son premier poste de commercial.

Antoine Le Coz indique :

D’autres joueurs vont venir. Mais on ne le dira que quand leur licence sera signée. »

Baptiste Le Moigne à l’US Perros-Louannec

Le co-président de l’ASSL confirme par ailleurs le départ du défenseur Baptiste Le Moigne pour l’US Perros-Louannec.

VIDÉO. Le survol de l'Armada de Rouen par la Patrouille de France comme si vous étiez dans l'avion

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Les Alpha Jet de la Patrouille de France ont survolé l'Armada de Rouen (Seine-Maritime) dimanche 16 juin 2019.

Les Alpha Jet de la Patrouille de France ont survolé l’Armada de Rouen (Seine-Maritime) dimanche 16 juin 2019. (©DR)

Quand la Patrouille de France survole l’Armada de Rouen (Seine-Maritime), elle en garde un souvenir. Les deux passages des Alpha Jet et de leurs traînées bleu-blanc-rouge ont été filmés depuis les avions, puis diffusés après sur les réseaux sociaux de la patrouille, dimanche 16 juin 2019. 

Lire aussi : Revivez la Grande parade des bateaux de l’Armada de Rouen, comme si vous y étiez

VIDÉO. Revivez les passages de la Patrouille de France au-dessus de l’Armada de Rouen :

VIDÉO. Une éleveuse de Nozay exposera ses chiens des Pyrénées à Châteaubriant fin juin

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Karine Bouhier et l'un de ses six Chiens pyrénéens à Nozay (Loire-Atlantique).

Karine Bouhier et l’un de ses six Chiens pyrénéens à Nozay (Loire-Atlantique). (©L’Éclaireur/Cécile Rossin)

Qui n’a jamais lu ou vu, ou au moins entendu parler de Belle et Sébastien, roman de Cécile Aubry adapté en plusieurs versions pour le petit et le grand écran ? L’histoire attendrissante de cette amitié entre un petit montagnard et un énorme chien blanc… Belle, ce molosse que l’on voyait porter le garçonnet sur son dos (dans la version animée au moins), est ce qu’on appelle un chien pyrénéen ou « pastou » (prononcez « patou »).

C’est ce type de chien qu’a choisi d’élever, voici 16 ans, Karine Bouhier, désormais installée dans un hameau isolé à Nozay (Loire-Atlantique) avec son mari et leurs six chiens, entre autres compagnons à quatre pattes ! Elle sera à l’Exposition canine nationale toutes races le 30 juin 2019 à Châteaubriant.

Un chien gardien pouvant dépasser les 80 cm au garrot !

Tout a commencé en 1994. Avec mon époux, on voulait un chien de type « gardien ». Mon mari avait envie d’un Saint-Bernard mais pas moi. On s’est finalement mis d’accord pour un Chien des Pyrénées. Mais à l’époque, on ne pensait pas du tout à l’élevage. »

D’autant plus qu’alors, cette employée du Service public – elle travaille pour la mairie de Guémené-Penfao – réside à Nantes. Pas idéal, pour cohabiter avec une race de chien pouvant atteindre plus de 80 cm au garrot et peser une cinquantaine de kilos ! Le couple a cependant, en parallèle, le projet d’acheter et rénover une longère en campagne.

Jaspy, la chienne championne de France de Karine Bouhier.

Jaspy, la chienne championne de France de Karine Bouhier.

Une rencontre décisive avec la Société centrale canine

Finalement, ils déménagent à Blain (Loire-Atlantique), en campagne, en 2000. Entre temps, leur première chienne pyrénéenne est malheureusement morte, empoisonnée sans doute par une personne mal intentionnée. Installés dans un espace désormais plus vaste, les époux Bouhier décident de racheter non pas un mais deux chiens des Pyrénées !

Nous avons acquis un mâle et une femelle. L’éleveuse nous avait demandé d’aller les faire confirmer (pour obtenir leur pédigrée, NDLR) et c’est comme cela que nous avons rencontré M. Kerhuel, trésorier de la Société centrale canine. »

La Société centrale canine est une fédération reconnue d’utilité publique et qui a pour but « d’assurer l’amélioration et la reconstitution des races de chiens d’utilité, de sport et d’agrément en France et de fédérer les différentes Sociétés et les différents Clubs français qui s’occupent des races de chiens ».

Installation en 2013 à Nozay

C’est en échangeant avec ce passionné qu’est venue l’envie à Karine Bouhier de passer de simple propriétaire à éleveuse, et de produire ses chiens en exposition et concours. Son élevage, implanté désormais à Nozay – où le couple a déménagé en 2013 – reste toutefois à taille humaine puisqu’il ne compte que six compagnons : un mâle reproducteur, « Run », qu’elle est allée chercher en Espagne en 2011 ; et cinq femelles.

Elle élève une seule portée par an. « L’une des filles de Run est championne de France », s’enorgueillit l’éleveuse. Elle profitera de la régionale d’élevage organisée le samedi 29 juin à Châteaubriant par la RACP (Réunion des amateurs de Chiens pyrénéens) pour faire coter deux de ses chiots : une femelle et un mâle.

Cela doit aussi me permettre d’augmenter encore la cotation du papa, Run, déjà de niveau 4 (sur 6) et champion international. »

Entre 900 et 1300 € pour un chien des Pyrénées confirmé

Ces cotations, reportées sur le pédigrée d’un chien, sont « une garantie de bonne santé » pour les acheteurs et pas seulement un motif de fierté pour les éleveurs ou de valeur marchande pour le chien. Karine Bouhier vend les siens « généralement entre 900 et 1300 € ».

Mais une fois que l’on enlève tout ce que coûte l’élevage d’un chiot, le puçage, les premiers vaccins, les tests ADN et médicaux, etc, le bénéfice réel n’est au maximum que de 500 € par animal. »

L'élevage de Chiens pyrénéens de Karine Bouhier a déjà remporté de nombreux prix.

Les Chiens pyrénéens de Karine Bouhier ont déjà remporté de nombreux prix. (©L’Éclaireur/Cécile Rossin)

« Une fois, un client m’a dit qu’il pourrait trouver moins cher sur Le Bon coin… », relate-t-elle. « Mais passer par un éleveur est essentiel pour être sûr que le chien est en bonne santé et bien éduqué. »

Le Chien pyrénéen, sous ses airs de gros nounours, nécessite une main de fer dans un gant de velours car il a un caractère très indépendant. C’est un très bon gardien mais il faut une bonne éducation. Si on commence à céder sur quelque chose, c’est quasiment impossible à rattraper. »

Se renseigner avant d’acheter

L’éleveuse fait aussi attention à ce que le caractère du chiot soit compatible avec son futur milieu de vie. « On ne mettra jamais un chien peureux dans une famille qui a des enfants, par exemple ».

Tous ces conseils, les gens pourront justement les récolter à l’occasion de l’Exposition nationale canine toutes races ouverte au public dimanche 30 juin 2019 sur le site de Béré, à Châteaubriant.

Lire aussi : Châteaubriant : un millier de chiens attendus pour une exposition nationale toutes races le 30 juin

Évreux. Vol à main armée dans une boulangerie du quartier de la Madeleine

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Un vol à main armée a eu lieu dans la boulangerie Le pétrin de la Madeleine à Evreux.

Un vol à main armée a eu lieu dans la boulangerie Le pétrin de la Madeleine à Evreux. (©Illustration / actu.fr)

Dans la nuit du 16 au 17 juin 2019, à 1 h 38, deux individus, gantés, cagoulés et armés d’un couteau, ont pénétré dans la boulangerie Le Pétrin de la Madeleine, rue de Rugby à Évreux (Eure). Ils ont menacé l’employé qui était à son poste depuis 30 minutes. 

Selon les premiers éléments de l’enquête, les deux individus ont demandé à l’employé de s’allonger par terre puis ont tenté d’ouvrir les trois caisses-coffres, sans succès. Ils ont alors arraché les coffres à l’aide d’un tournevis avant de les emporter avec eux. 

Lire aussi : Vol aggravé à Évreux : un commerce du centre-ville pillé par trois hommes déterminés

Ils ont ainsi dérobé près de 15 000 € en liquide ainsi que des chéquiers, des tickets restaurants et des documents importants. 

Les policiers, arrivés vers 3 h du matin, n’ont pu que constater le vol. L’employé n’a pas été blessé. 

L’enquête est en cours pour identifier les auteurs de l’attaque. Les onze caméras de vidéosurveillance dans et autour du commerce sont en cours de visionnage par les enquêteurs. Le patron de la boulangerie a porté plainte. 


Procès. Enlevé à Toulouse, séquestré en Espagne, il avait été dépouillé de plus d'un million d'euros

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Les quatre kidnappeurs avaient été interpellés à Marbella (Espagne) lors d'une opération des forces spéciales.

Les quatre kidnappeurs avaient été interpellés à Marbella (Espagne), en septembre 2015, lors d’une opération des forces spéciales. (©Ministère de l’Intérieur espagnol)

Ce Toulousain a tutoyé l’enfer de la séquestration. Il a passé sept interminables semaines entre les mains de geôliers déterminés et aguerris. A la merci totale de figures du banditisme qui l’ont dépouillé de plus d’un million d’euros. Le procès de ses kidnappeurs s’ouvre ce lundi 17 juin 2019, devant la cour d’assises de Bordeaux (Gironde).   

L’enlèvement

Vendredi 22 mai 2015. Un entrepreneur toulousain a rendez-vous avec des clients pour la vente d’un terrain à Drémil-Lafage (Haute-Garonne). A son arrivée, il est kidnappé, fusil dans le dos, cagoule sur la tête. Le commando lui retire son téléphone et ses papiers avant de le jeter dans un coffre de voiture. Le piège s’est refermé.

Le transfert

L’otage franchit ainsi la frontière franco-espagnole. Direction la Catalogne, où il possède un pied-à-terre. Puis l’Andalousie. Il est changé régulièrement de planque à bord d’un camping-car. Ses ravisseurs l’accusent de financer le terrorisme. Il doit payer pour redevenir un homme libre. Un lavage de cerveau en règle. 

La séquestration

Attaché à un radiateur, enchaîné dans un sous-sol, l’homme doit rassurer régulièrement ses proches au téléphone, sous la menace d’une arme. Eux ignorent tout de la situation.  

Lire aussi : Enlèvement et séquestration d’un homme d’affaires : dix kilos d’or retrouvés près de Toulouse

Le dépouillement

Les criminels sont gourmands d’argent. Et méthodiques. Ils font acheter de l’or via Internet à leur otage. Beaucoup d’or.

En mars 2017, les gendarmes de la Section de recherches (SR) de Toulouse mettront la main sur 12 kg d’or, des pièces, des lingots, cachés dans une villa de Saint-Orens (Haute-Garonne). Une grosse partie de la rançon dont a dû s’acquitter la victime pour recouvrer la liberté. Au total, il aura versé plus d’un million d’euros. 

La libération 

Le 12 juillet 2015, les ravisseurs finissent par libérer leur otage, à Marbella (Espagne), après sept semaines en enfer. Le lendemain, l’homme séquestré rejoint Toulouse à bord de son propre véhicule. Fracassé psychologiquement. 

Une fois dehors, il continue… de payer, totalement traumatisé, se croyant espionné, surveillé. C’est finalement son banquier qui alerte le Parquet. Une opération des forces spéciales, en septembre 2015, permet d’interpeller quatre individus. Des truands chevronnés.

Lire aussi : Quatre Français arrêtés en Espagne pour avoir séquestré un Toulousain pendant 7 semaines

Le procès

Le procès des trois de quatre malfrats présumés (l’un d’eux s’est pendu lors de sa détention provisoire) s’ouvre ce lundi 17 juin 2019, devant la cour d’assises de Bordeaux.

Bien que présumés innocents, André Heintz, 57 ans, Alain Raspaut, 54 ans et François Decline, 46 ans, braqueurs chevronnés et habitués des cours d’assises, encourent la détention criminelle à perpétuité. 

Morbihan : près d'une centaine d'apprentis récompensés au concours départemental

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La photo finale des 98 médaillés

La photo finale des 98 médaillés (©Actu Morbihan)

C’est le visage fier accompagné des regards émus de la famille que 98 jeunes ont reçu la médaille des apprentis du Morbihan à l’hôtel du département à Vannes (Morbihan).

Vendredi 14 juin 2019, ils ont défilé les uns après les autres pour recevoir un diplôme et une médaille. « C’est un bon moyen de rappeler que la voie professionnelle peut être une voie pour contrer le chômage chez les jeunes », explique Serge Gaujour, président des meilleurs apprentis de France.

Tous ont passé un concours où ils devaient réaliser quelque chose en rapport avec leur spécialité. C’est le moment de la cérémonie de remise des médailles.

Ce concours a d’ailleurs été créé dans le Morbihan. Les 33 médaillés d’or et les 23 médaillés d’argent sont qualifiés pour le concours régional.

Après l'annonce des résultats, tous ont défilé devant les photographes sur le podium

Après l’annonce des résultats, tous ont défilé devant les photographes sur le podium (©Actu Morbihan)

Le palmarès complet :

Meilleurs apprentis Morbihan

Meilleurs apprentis Morbihan (©CONCOURS « UN DES MEILLEURS APPRENTIS DE FRANCE » 2018/2019)

Meilleurs apprentis Morbihan

Meilleurs apprentis Morbihan (©CONCOURS « UN DES MEILLEURS APPRENTIS DE FRANCE » 2018/2019)

Meilleurs apprentis Morbihan

Meilleurs apprentis Morbihan (©CONCOURS « UN DES MEILLEURS APPRENTIS DE FRANCE » 2018/2019)

Meilleurs apprentis Morbihan

Meilleurs apprentis Morbihan (©CONCOURS « UN DES MEILLEURS APPRENTIS DE FRANCE » 2018/2019)

Meilleurs apprentis Morbihan

Meilleurs apprentis Morbihan (©CONCOURS « UN DES MEILLEURS APPRENTIS DE FRANCE » 2018/2019)

Meilleurs apprentis Morbihan

Meilleurs apprentis Morbihan (©CONCOURS « UN DES MEILLEURS APPRENTIS DE FRANCE » 2018/2019)

Emploi. Journée portes ouvertes de l'Afpa à Brest

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Le centre Afpa de Brest ouvrira ses portes jeudi 20 juin 2019

Le centre Afpa de Brest ouvrira ses portes jeudi 20 juin 2019 (©Afpa Brest).

Jeudi 20 juin 2019, l’Afpa (agence nationale pour la formation professionnelles des adultes) ouvre les portes de son centre de Brest de 9h à midi et de 14h à 16h. L’occasion pour les jeunes, les seniors, demandeurs d’emploi en quête de qualification ou personnes en situation de handicap, de découvrir des métiers, des formations et de s’informer.

Les portes ouvertes sont une opportunité pour chacun de visiter les plateaux de formation, de rencontrer les formateurs et les stagiaires en situation réelle d’apprentissage, d’aborder toutes les informations pratiques et de se voir proposer des conseils personnalisés. 

Pour tous les profils

Demandeurs d’emploi, personnes en situation de reconversion professionnelle ou en situation de handicap, jeunes ou seniors : l’Afpa adapte ses conseils aux qualifications, demandes et attentes de chaque profils. Dans cette démarche de suivi personnalisé, des rencontres avec des professionnels et des conseillers pouvant accompagner dans les démarches, les doutes et les questionnements sont également proposées.

Une journée consacrée à la découverte des métiers, des formations et des contrats mais également à la concrétisation d’un projet et des compétences : grâce à l’offre de dispositifs d’accompagnement, il est possible de sécuriser son profil et son parcours professionnel afin d’accéder à l’emploi.

L’Afpa propose des préparations pour les Validations des acquis de l’expérience (VAE), effectuer un bilan de compétences et d’aider à la construction d’un CV et d’avoir plus facilement accès aux outils d’aide à la recherche. Des conseillers seront également présents pour tous les aspects concernant la préparation de la retraite ou le maintien de l’emploi.

L’AFPA, UN OPÉRATEUR MAJEUR
En 2018, 68% des stagiaires formés à l’Afpa ont retrouvé un emploi, six mois après la fin de leur formation. Insertion, reconversion, professionnalisation sont les missions de l’opérateur majeur de la formation professionnelle et du service public de l’emploi.
De plus, l’Afpa est également le partenaire formation et conseil de plus de 6000 entreprises en France et est le premier organisme de formation des personnes en situation de handicap.
Les portes ouvertes seront l’occasion d’exposer une gamme étendues de formations pour tous les publics ainsi que des offres d’hébergement et de restauration proposées par l’Afpa.

Infos pratiques :
Portes ouvertes jeudi 20 juin 2019
de 9h à 12h et de 14h à 16h
au centre Afpa
15, rue du Petit-Spernot à Brest.
www.afpa.fr

350 élèves de l'école de danse Nathalie Durand s'empare du Zénith de Caen

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Nathalie Durand et ses élèves vous donnent rendez-vous le samedi 22 juin 2019, au Zénith de Caen (Calvados).

Nathalie Durand et ses élèves vous donnent rendez-vous le samedi 22 juin 2019, au Zénith de Caen (Calvados). (© Mathieu Girard et DR)

Habituellement, le Zénith, la plus grande scène de Caen (Calvados), accueille des vedettes en tournée nationale, voire internationale, ou des spectacles s’appuyant sur une très grosse production. Samedi 22 juin 2019, ce sera une toute autre ambiance, puisque ce sont les 350 élèves de l’école de danse de Nathalie Durand située à Mondeville qui prendront possession du plateau. Et ils n’en sont pas à leur coup d’essai !

Une école de 600 élèves, âgés de 4 à 80 ans !

La danse et vous, ça remonte à quand ?
Nathalie Durand : J’ai commencé à 14 ans avec le danse de couple sportive de compétition : rock, danse latine, etc. Après, j’ai fait des études de chimie des arômes et des parfums, ce qui n’a rien à voir, puis j’ai travaillé en labo de recherches, et en l’an 2000, on m’a proposé de gérer une école de danse à Caen. 

Vous n’aviez jamais envisagé une carrière dans le danse avant ?
Non, pas vraiment. Je travaillais à Paris, et je rentrais au Havre, dont je suis originaire, pour participer à des compétitions le week-end. 

Comment a évolué votre école au fil des ans ?
Nous avons passé de longues années boulevard Leroy, où j’ai constitué mon équipe et développé l’activité petit à petit. Nous sommes passés de deux à huit professeurs, qui enseignent le modern jazz, la danse classique, le danse de couple, rock, hip-hop, ragga-dancehall, break-dance, house, tonic dance, zumba, bollywood, etc. Aujourd’hui, nous avons 600 élèves, âgés de 4 à 80 ans !

Le Théâtre de Caen était devenu trop petit

La danse intéresse-t-elle autant les hommes que les femmes ?
Ça dépend des disciplines. Pour le modern jazz par exemple, nous avant essentiellement des filles. Pour le hip-hop et le breakdance, c’est l’inverse. Et pour tout ce qui est danses de couple, par définition, c’est moitié-moitié. 

Vous avez quitté vos locaux historiques pour rejoindre Mondevillage en 2013…
Oui, nous disposons de la même surface, 450 m2, mais c’est beaucoup mieux agencé, avec trois salles au lieu de deux. Et c’est plus pratique pour les parents qui déposent leurs enfants, qui en profitent souvent pour aller faire leurs courses dans les magasins à côté. 

Comment avait germé l’idée d’organiser votre gala de fin d’année au Zénith ?
La première fois, c’était en 2001. Nous y sommes restés 4 ou 5 ans, avant d’opter pour d’autres salles moins onéreuses, comme le Théâtre de Caen ou le Centre de congrès. Puis nous y sommes revenus il y a 6 ans, car les autres options devenaient trop petites pour nous ! 

Une succession de 34 tableaux chorégraphiés

Pour vos élèves, notamment les plus jeunes, cela doit être quelque chose !
Oui, c’est une salle très impressionnante. Cela nous demande beaucoup d’organisation. L’équipe technique prend possession des lieux la veille, pour installer les lumières et le son. Et les élèves commencent leurs répétitions dès le lendemain, de 8h à 18h30. 

À quoi ressemble ce spectacle ?
Il n’y a pas de thème, pour laisser un maximum de liberté aux professeurs, ce qui permet d’avoir un spectacle très varié. Il prend la forme d’une succession de 34 tableaux chorégraphiés, sur des musiques d’aujourd’hui. On va beaucoup voyager, mélanger les adultes et les enfants, bref, ça bouge tout le temps. C’est très moderne, avec des chorégraphies de haut niveau. Avant, nous faisions aussi venir des artistes extérieurs, mais l’équipe du Zénith m’a dit que notre show suffisait et qu’il n’y avait pas besoin d’y ajouter des professionnels. 

Infos pratiques :
Samedi 22 juin 2019, à 20h,
au Zénith, 6 rue Joseph-Philippon, à Caen (Calvados).
Tél : 08 91 67 00 17. Tarifs : 11 à 21 euros. 

Les collégiens d'Ailly-le-Haut-Clocher et Flixecourt ont chanté devant 80 000 personnes

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Après l'effervescence de la pelouse, Bigflo et Oli passent du temps avec leurs jeunes choristes de Paris, Ailly-le-Haut-Clocher et Flixecourt

Après l’effervescence de la pelouse, Bigflo et Oli passent du temps avec leurs jeunes choristes de Paris, Ailly-le-Haut-Clocher et Flixecourt (©Le Journal d’Abbeville)

Incroyable soirée pour une quarantaine de collégiens d’Ailly-le-Haut-Clocher et de Flixecourt, qui ont chanté avec Bigflo et Oli au Stade de France, à l’occasion de la finale du Top 14 de rugby.

Retour en images sur ce moment inoubliable…

Du Stade de France vide aux 80 000 spectateurs de la finale

 

Retrouvez notre reportage dans Le Journal d’Abbeville du mercredi 19 juin.

Jeanne Thual, de Nantes, couronnée Miss 15/17 ans Loire-Atlantique 2019

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De gauche à droite, Rachel Bielle Jardin, Alyssia Bel, Jeanne Thual et Marion Gadais ont brillé samedi soir aux élections des miss 15/17ans.

De gauche à droite, Rachel Bielle Jardin, Alyssia Bel, Jeanne Thual et Marion Gadais ont brillé samedi 15 juin 2019 aux élections des miss 15/17 ans Loire-Atlantique.

Ce samedi 15 juin 2019, à Touvois, elles étaient onze candidates en lice pour le titre de Miss 15/17 ans Loire-Atlantique 2019.

Et c’est Jeanne Thual, jeune fille originaire de Nantes, qui a eu l’honneur d’être couronnée. Passionnée de mode et de gymnastique, elle a impressionné l’assemblée par son naturel et sa présentation orale, récitant un poème « ça commence… ». Après son élection, la jeune fille avoue :

Je me suis présentée pour vaincre ma maladie, me donner du courage… Tout commence comme ça, petit à petit.

Sa première dauphine est Marion Gadais, originaire de Saint-Lumine de Clisson et sa deuxième dauphine, Alyssia Bel, est originaire de La Grigonnais. Une quatrième jeune fille est élue Miss coup de cœur, Rachel Bielle Jardin, originaire de Machecoul Saint-Même. L’aventure continue donc pour ces quatre jeunes filles. Elles iront aux élections Miss 15/17 ans Pays de la Loire 2019 le samedi 21 septembre, en Mayenne.

« Magnifiques, courageuses ! »

Cette soirée de gala sur le thème « les plumes en folie » a été menée tambour battant par Bérengère Gilbert, présidente du comité Miss 15/17 ans national.

Les jeunes filles se sont présentées sur quatre tableaux, elles ont défilé puis se sont présentées oralement. « Elles sont magnifiques, courageuses ! Qui dans la salle, à leur âge, aurait relevé le défi, interpelle la présidente. Pour beaucoup d’entre elles, elles sont là pour vaincre leur timidité, affirmer leur personnalité. »

Organisé par Touvois animations, le gala a fait salle comble avec plus de trois heures de spectacle mettant en scène les onze prétendantes et Océane, miss Loire-Atlantique 15/17 ans 2018, et ses dauphines, Carolina et Ludmilla, et la participation exceptionnelle de Ranitéa, miss 15/17 ans national.

Cherbourg-en-Cotentin : des transports à la demande pour relier les communes périphériques

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0 (©La Presse de la Manche)

L’Agglomération du Cotentin veut faciliter l’accès au cœur de ville depuis les communes périphériques, notamment celles située sur la partie Est du territoire.

Jean-Louis Valentin, Président de la Communauté d’Agglomération Le Cotentin, détaille ce projet : 

Avec les transports à la demande, nous entendons commencer à étirer les liaisons entre l’agglomération cherbourgeoise et les communes périphériques et palier les problèmes de mobilité dans les zones à faible densité de population.

En l’occurrence, l’expérimentation va toucher à partir du 1er juillet et pour une période de six mois le pôle de proximité de la Saire. Arnaud Catherine, maire adjoint de Cherbourg-en-Cotentin en charge des Energies et de la Transition énergétique, et Evelyne Mouchel, présidente de la commission du territoire du Val de Saire, ajoutent :

Les habitants de Bretteville, Digosville ou du Mesnil-au-Val pourront, en réservant leur trajet, rallier Tourlaville et le réseau urbain au tarif en vigueur, tandis que les habitants de Cherbourg-en-Cotentin auront l’opportunité avec ces navettes de prolonger leur trajet jusqu’à lacôte de Bretteville-en-Saire.

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22 points d’arrêts matérialisés 

Arnaud Catherine résume l’objectif de ce projet : 

C’est une offre à la demande dynamique grâce à des innovations technologiques élaborées par une Start-up (Padam Mobility). Il n’y a plus de notion de ligne fixe et d’horaire précis, 22 point d’arrêts seront matérialisés physiquement mais aussi numériquement.

Le maire adjoint de Cherbourg-en-Cotentin ajoute : 

C’est une réponse très intéressante pour le Cotentin car ce système, qui pourra être étendu à d’autres bassins de mobilité, permet de rallier des territoires très hétérogènes.

Lire aussi : Cotentin : l’agglomération va bientôt proposer une centaine de vélos à la location

 

Pour avoir accès au service (le véhicule aura une capacité de neuf places), il y aura plusieurs façons : un site internet (zephirbus.com), une application smartphone (La Saire TaD) ou une ligne téléphonique (0 810 810 050).


Saint-Malo. Bac de philo : les sujets ont inspiré les lycéens

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Les sujets du bac de philo semblent avoir inspiré les candidats cette année. (photo d'illustration - © Flickr)

Les sujets du bac de philo semblent avoir inspiré les candidats cette année. (photo d’illustration – © Flickr)

À la sortie des épreuves de philosophie du bac au lycée général et technologique Maupertuis de Saint-Malo, ce lundi 17 juin 2019, une question revient plus que les autres : « Ça s’est bien passé ? ». Et il semblerait que oui.

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La philosophie, c’est l’une des épreuves reines du baccalauréat. Depuis 1808 et la création du bac par Napoléon Bonaparte, chaque année les élèves s’arrachent les cheveux sur les essais de Freud, Socrate ou Descartes.
Pourtant, ces épreuves du 17 juin 2019 semblent y avoir fait exception. De l’avis de plusieurs d’entre eux rencontrés après l’épreuve, c’était même « plutôt cool ».

Des sujets inspirants

Au programme cette année, des sujets comme « La morale est-elle la meilleure des politiques ? », « Le travail divise-t-il les hommes ? », « Reconnaître ses devoirs, est-ce renoncer à sa liberté ? », « Est-il possible d’échapper au temps ? », « À quoi bon expliquer une œuvre d’art ? », « Seul ce qui peut s’échanger a-t-il de la valeur ? », « Les lois peuvent-elles faire notre bonheur ? ».
Et il faut croire qu’ils ont inspiré les candidats…

Guillaume attendait cette épreuve de philosophie de pied ferme. Même si les sujets ne correspondaient pas à ce qu’il espérait, l’élève de terminale scientifique dit « avoir pris du plaisir » lors de l’épreuve. Pour lui, la philosophie est tout un art :

« Il faut donner son avis sans trop le donner pour ne pas rentrer dans du jugement de valeur ».

Lucie, elle aussi élève en filière S, est quant à elle arrivée « un peu paniquée le matin » mais elle repart finalement avec le sourire à midi. C’était même « plutôt cool », confie la jeune fille.

Des sourires se dessinaient aussi sur les visages des élèves de terminale technologique à la sortie des salles d’examen. « Ça s’est bien passé dans l’ensemble » nous explique Julia, élève en ST2S. Même sentiment chez ses camarades Sarah et Maïwenn qui sont maintenant « en attente des résultats. »

Place aux révisions des autres matières

Désormais, les élèves se concentrent sur les épreuves à venir. Pour les « scientifiques » Lucie et Guillaume, l’épreuve de mathématiques est celle qu’ils redoutent le plus. C’est « dans cette matière que le coefficient est le plus élevé. »
Chaque élève, en fonction de sa filière, devrait en effet orienter ses révisions vers une matière en particulier.

Vidéo. Quand les joueurs du Stade Toulousain (et le Brennus) débarquent Chez Tonton

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Des champions de France… et un Brennus ont débarqué chez Tonton, lundi 6 juin 2019

Des champions de France… et un Brennus ont débarqué chez Tonton, lundi 6 juin 2019 (©Quentin Marais / Actu Toulouse)

Sept ans que la Ville rose l’attendait : Toulouse avait soif de Brennus. Mais le Brennus avait visiblement aussi… soif de Toulouse ! Les joueurs du Stade Toulousain – équipe au complet – ont débarqué Chez Tonton Pastis Ô Maître, célèbre bar de la place Saint-Pierre, à Toulouse, lundi 17 juin 2019, en milieu d’après-midi. En vacances depuis la finale du Top 14 et leur titre de Champions de France, les joueurs du Stade Toulousain n’en oublient pas pour autant les fondamentaux d’une vie en bord de Garonne : une bonne virée Chez Tonton, une institution à Toulouse !

Lire aussi : Toulouse : les débuts de l’incontournable bar « Chez Tonton » qui fête ses 40 ans

Le Brennus au comptoir

Sofiane Guitoune, Antoine Dupont, Alban Placines, Dorian Aldegheri, Julien Marchand, Charlie Faumuina, Arthur Bonneval, Cyril Baille, Pierre Pages, Lucas Tauzin, Guillaume Marchand, Thomas Ramos, Cheslin Kolbe, Zack Holmes, Peato Mauvaka, Gillian Galan, Carl Axtens, Joe Tekori, François Cros, Pierre Fouyssac, Yoann Huget et Romain Ntamack… Les champions de France – dont certains pourraient être appelés mardi par le sélectionneur du XV de France, pour disputer la prochaine Coupe du Monde – étaient au complet ou presque Chez Tonton, et ils ne sont pas venus les mains vides… Ils ont en effet ramené le Brennus place Saint-Pierre !

Escale dans le petit train

Avis aux Toulousains : vous risquez de les croiser cette après-midi… Ils viennent de partir pour un petit tour dans le train touristique, après s’être offert une escale (amicale)… dans une voiture de police !

Chez Tonton et le Stade, c’est une longue histoire

Le Stade et Chez Tonton, c’est de la longue histoire. Toujours prompt à faire le buzz, le bar n’en est pas à son coup d’essai avec les Rouge et Noir cette saison. En avril 2019, pour la réception de l’ASM Clermont Auvergne (tiens donc !) en championnat, Chez Tonton avait organisé « Le derby du jaune ». Depuis le début de la saison, le bar anime également une tribune d’Ernest-Wallon. Objectif : ramener des étudiants pour mettre l’ambiance au stade. En mars dernier, le bar avait même installé un jacuzzi dans les tribunes… Jacuzzi dans lequel avait plongé – tout habillé et crampon visé aux pieds l’ailier Arthur Bonneval, dès le coup de sifflet final ! Quand on vous dit que ces deux-là se sont bien trouvés…

Lire aussi : Toulouse. Le bar « Chez Tonton » va offrir des bourses de 200 euros à plusieurs étudiants

Vidéo. Les joueurs du Stade chez Tonton

Vidéo à suivre dans quelques minutes sur Actu Toulouse

Une vente de vêtements au kilo spéciale enfants samedi 22 juin à Lille

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Une vente au kilo de vêtements pour enfants est organisée à Lille samedi 22 juin 2019.

Une vente au kilo de vêtements pour enfants est organisée à Lille samedi 22 juin 2019. (©Illustration / Pixabay)

Alerte bon plan. Samedi 22 juin 2019, une vente au kilo de vêtements vintage est prévue à Lille (Nord). Comme d’habitude, cet événement se déroule à l’étage du Mother, le bar de JB Lebas, et est organisé par l’équipe de Funny Vintage, une boutique de fripes située rue Gambetta.

Après les baskets, les maillots de foot, Funny Vintage lance « Kids need vintage », une nouvelle vente est entièrement dédiée aux vêtements d’enfants.

Lire aussi : Hoppa, une nouvelle boutique dédiée à la mode streetwear des années 80 et 90 ouvre à Lille

Le kilo à 25 euros

Comme ces chères petites têtes blondes grandissent bien trop vite, remplir leurs placards avec des vêtements à la bonne taille revient cher. Mais, cette fois, vous allez pouvoir faire le plein d’habits à moindre coût. 

Le vintage et la mode, ce n’est pas que pour les grands. C’est pourquoi Funny Vintage déballe ses valises débordant de fringues vintage de 0 à 10 ans pour les filles et les garçons : salopettes, barboteuses, marinières, sportswear… », annoncent les organisateurs sur la page Facebook de l’événement.

Le kilo de vêtements est vendu 25 euros, et cela peut valoir vraiment le coup en fonction des pièces que vous prenez. Certaines perles rares seront cependant vendues à la pièce. Il y aura également des chaussures et quelques accessoires.

Après cette session shopping, vous pourrez boire un coup ou déguster un burger, la cuisine du Mother reste ouverte toute la journée.

Infos pratiques :
Samedi 22 juin 2019, de 13 h à 18 h
Au Mother, 29 boulevard Jean-Baptiste Lebas à Lille
Règlement « Kids need vintage » en espèces uniquement
Plus d’infos sur la page Facebook de l’événement

Municipales 2020. Josselin Chouzy investi par La République En Marche à Mayenne

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Josselin Chouzy est investi par LREM pour les municipales à Mayenne. (Archives)

Josselin Chouzy est investi par LREM pour les municipales à Mayenne. (Archives) (©Publicateur)

Le parti d’Emmanuel Macron, La République En Marche a dévoilé lundi 17 juin à Paris, une première liste de 19 noms investis pour les prochaines élections municipales.

Parmi eux, Josselin Chouzy, sapeur-pompier professionnel, conduira une liste LREM à Mayenne. Déjà candidat sous la bannière En Marche aux élections législatives de 2017, il avait poussé Yannick Favennec au second tour.

Lire aussi : 1er tour des Législatives en Mayenne. Yannick Favennec en ballotage avec Josselin Chouzy pour la 3e circonscription

En 2015, il avait brigué le conseil départemental cette fois sous les couleurs de la droite.

Josselin Chouzy est âgé de 41 ans, il est adjoint au maire de Belgeard depuis 2014.

Courrier : les tournées modifiées dans 33 communes de l'est de l'Ille-et-Vilaine

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D'après les syndicats, la Poste de Cherbourg-en-Cotentin a prévu d'externaliser la distribution des colis à compter du 18 juin.

Une nouvelle organisation du travail à La Poste va décaler les horaires de passage des facteurs dans 33 communes de l’est de l’Ille-et-Vilaine. (©La Presse de la Manche)

À compter du mardi 25 juin, les agents de la plateforme de distribution courrier de Liffré vont voir leur organisation du travail évoluer.

Désormais, la prise de service se fera, au plus tôt, à 7h30 au lieu de 6h30 actuellement.

De fait, l’horaire de passage des 58 facteurs sera décalé dans le temps sur les 33 communes de l’est de l’Ille-et-Vilaine desservies par ce site.

A savoir : Andouille-Neuville, Aubigné, Chasné-sur-Illet, Chauvigné, Chevaigné, Dourdain, Ercé-Près-Liffré, Gahard, Gosné, La Bouëxière, La Chapelle-Saint-Aubert, Landavran, Liffré, Livré-sur-Changeon, Mecé, Mezières-sur-Couesnon, Mouazé, Romazy, Saint-Aubin-d’Aubigné, Saint-Aubin-du-Cormier, Saint-Christophe-de-Valains, Saint-Georges-de-Chesné, Saint-Germain-sur-Ille, Saint-Hilaire-des-Landes, Saint-Jean-sur-Couesnon, Saint-Marc-sur-Couesnon, Saint-Médard-sur-Ille, Saint-Ouen-des-Alleux, Saint-Sulpice-la-Forêt, Sens-de-Bretagne, Val-d’Izé, Vendel, et Vieux-Vy-sur-Couesnon.

« Pas d’obligation d’horaires »

Comme lors de la mise en place de l’actuelle organisation du travail, en juin 2017, certains particuliers et entreprises vont constater que leur facteur passe un peu plus tôt ou un peu plus tard dans la journée.

La direction de l’établissement en profite pour rappeler que

dans le cadre de ses missions de service public, La Poste n’est pas tenue à des obligations d’horaires de passage de ses facteurs mais seulement à une obligation d’assurer une distribution quotidienne du courrier, 6 jours sur 7, en tout point du territoire.

Il est également à noter que cette nouvelle organisation ne modifiera pas les horaires de levée du courrier déposé dans les boîtes aux lettres jaunes et dans les établissements postaux de ce secteur.

Pourquoi une nouvelle organisation du travail ?

« À la plateforme de distribution courrier de Liffré, comme partout sur le territoire national, La Poste fait ponctuellement évoluer l’organisation et les horaires de travail de ses facteurs », explique la direction.

L’objectif est notamment de prendre en compte l’évolution des volumes de courrier (-6,31% sur ces 33 communes depuis juin 2017), de colis et petits paquets Internationaux à distribuer sur la zone desservie, les évolutions locales (créations de lotissements, implantations d’entreprises,…), l’heure d’arrivée du courrier sur le site et « la volonté de l’entreprise de proposer, par l’intermédiaire de ses facteurs, un ensemble de nouveaux services au domicile de ses clients. »

A ce sujet, la direction précise :

En effet, les facteurs de la plateforme de distribution courrier de Liffré sont en capacité de réaliser, pendant leur tournée, et pour le compte de tiers, des activités de portage de produits médiathèques, de médicaments, de relevage de compteurs (gaz, eau et électrique), de veille sociale, de collecte de papiers de bureau ou de colis expédiés depuis les boîtes aux lettres des particuliers, de validation d’Identité Numérique… Ces nouveaux services ont vocation à simplifier la vie des clients, font évoluer et pérennisent le métier de facteur.

 

25855. C’est le nombre d’objets (25087 lettres et 768 colis dont des Petits Paquets Internationaux) qui sont distribués quotidiennement dans les 25500 boîtes aux lettres de ces 33 communes.

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