
En tout, sept obus non-explosés et munitions datant de la Première Guerre Mondiale ont été retrouvés à Annesse-et-Beaulieu (Dordogne) par un pêcheur à l’aimant. (©Facebook : Gendarmerie de la Dordogne)
On ne le dit jamais assez souvent mais la pêche peut être un sport avec des risques ! Même pour ceux qui pratiquent la pêche à l’aimant.
L’histoire est racontée par la gendarmerie de la Dordogne, via sa page Facebook, et date du début du mois d’été, à Annesse-et-Beaulieu (Dordogne). Un pêcheur à l’aimant a récolté sept obus non explosés et munitions datant de la Première Guerre Mondiale.
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Un périmètre pour exploser les engins
Ainsi, dans sa prise du jour, on pouvait citer des grenades à fusil 1914 et des obus de 37mm, non explosés. Rapidement, la communauté de brigades de Saint-Astier, la préfecture de la Dordogne et la mairie d’Annesse-et-Beaulieu ont entrepris les démarches afin de détruire par explosion les découvertes réalisées par le pêcheur.
Ce sont les services de déminage de Bordeaux-Mérignac qui sont intervenus, le 1er juillet au matin, sur un terrain isolé, après la mise en place d’un périmètre de sécurité à distance des habitations. Les riverains proches avait été informés de ce début de journée sans doute un peu bruyant.
En tout, six militaires de Saint-Astier ont ainsi réalisé les opérations de bouclage du site, en attendant que les démineurs fassent leur travail, avec succès.
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Publiée par Gendarmerie de la Dordogne sur Dimanche 4 août 2019