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Paimpol. Les U11 du stade Paimpolais FC contre le Benfica Lisbonne

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Les U11 Paimpolais se sont rendus au Portugal pour y rencontrer, entre autres, le Benfica Lisbonne.

Les U11 Paimpolais se sont rendus au Portugal pour y rencontrer, entre autres, le Benfica Lisbonne. (©La Presse d’Armor)

La période des tournois n’est pas commencée et pourtant les U11 du stade Paimpolais-FC sont allés en disputer un. Et pas n’importe lequel, puisqu’ils se sont rendus à un tournoi international, au Portugal.

C’était vraiment une superbe expérience qu’ont pu vivre ces enfants,

se félicite le duo Anthony Lefèvre et Jean-Jacques Vinat, les deux co-organisateurs du voyage.

Premier voyage

Pour certains, c’était la première fois qu’ils quittaient la France et surtout qu’ils prenaient l’avion.

Un événement rendu possible aussi grâce à l’investissement des parents, aux dons récoltés sans oublier les mairies de Kerfot, Paimpol, Plouézec et Kerbors. 

Tout est parti d’un joueur du club dont l’oncle vit au Portugal et qui fait partie de l’organisation du Tournoi.

 Tout s’est fait facilement finalement. L’organisation sur place était parfaite, et nous avons été bien accueillis. 

Sous 30° C

Partis de Bretagne jeudi matin sous un temps gris froid et humide, les dix pousses paimpolaises et leurs treize accompagnateurs ont atterri au Portugal sous un soleil de plomb et 30° C.

On ne s’en plaignait pas du coup mais il est vrai que cela nous a faits bizarre et a rendu la compétition encore plus difficile pour nous. 

Qui dit compétition internationale, dit forcément de grandes équipes. Et ce fut le cas. « Le niveau était très élevé » ne cache pas Anthony Lefèvre.

Benfica vainqueur

On peut l’imaginer quand on est opposé au club du Benfica Lisbonne, qui gagnera le tournoi, ou encore la Juventus de Turin

Nous avons joué sept matchs pour autant de défaite. Mais il faut dire que techniquement et physiquement, ils sont tous très forts. Nous nous y attendions forcément car déjà c’était un tournoi à sept alors que nous jouons habituellement à huit.

De plus, c’était des matchs de 25 minutes non-stop alors que nous faisons des mi-temps de 12 minutes. Sans compter la chaleur. Ce fut quand même une belle récompense pour ce groupe que nous suivons depuis 2 ou 3 ans maintenant. »

Au tournoi Jean-Michel Le Poulard ?

Dorénavant, ils espèrent entretenir de bonne relation avec ce club. 

Nous allons même tenter de les faire venir pour notre tournoi Jean-Michel Le Poulard.

À l’avenir, le club souhaiterait même continuer à envoyer d’autres catégories d’âge essayer des tournois étrangers.


Dans un mois, le carnaval de Toulouse va proposer un grand défilé sans aucun camion motorisé

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Les camions vont disparaître du grand défilé du carnaval de Toulouse, samedi 28 mars 2020.

Les camions vont disparaître du grand défilé du carnaval de Toulouse, samedi 28 mars 2020. (©Ville de Toulouse / Patrice Nin)

Dans un mois pile, si l’épidémie de coronavirus n’entraîne pas d’annulation de l’événement d’ici là, le carnaval de Toulouse va envahir la Ville rose. Petite nouveauté cependant : le Cocu (Comité d’organisation du carnaval unifié) compte mettre en place un défilé sans aucun camion motorisé (sauf le char de tête qui mènera les festivités avec des concerts et « son lot de surprises »).

Le Cocu explique son choix :

On avait une vraie volonté le réduire le nombre de pots d’échappement qui défilaient à travers la foule et notamment les plus jeunes. On a dû se creuser la tête pour mettre en place d’autres systèmes d’installation, aussi pour transporter les sonos ! 

Les caddys et autres grandes structures roulantes vont donc remplacer le camions. Une façon également « de se rapprocher du public et de le mêler plus facilement aux animations ». D’autant que le Cocu promet des nouveautés et « de belles surprises » à ceux qui se joindront au grand défilé.

Ne plus utiliser de camions était un objectif de longue date, et nous sommes enfin arrivés au bout de notre démarche !

Devenir bénévole lors des animations du carnaval

Le grand défilé dans les rues de Toulouse est prévu pour samedi 28 mars 2020, dans une grande ambiance festive. En 2019, quelques 50 000 carnavaliers avaient célébré l’événement dans le centre de la Ville rose.

Lire aussi : Toulouse : retour en images sur le grand défilé du Carnaval 2019

Sans détailler le parcours du défilé pour l’instant, le Cocu promet cette année des animations « vraiment centrales », au cœur de la ville.

Par ailleurs, les inscriptions sont toujours ouvertes pour devenir bénévole lors de toutes les animations du carnaval, dont le grand défilé. 

Pour s’inscrire, ça se passe par ici : devenir bénévole du carnaval de Toulouse 2020

Les différentes animations en attendant le défilé

Avant de sortir les déguisements à la fin du mois de mars 2020, d’autres animations festives vont occuper les Toulousains.

Une course de caisse à savon dévalera notamment l’avenue de la Colonne, samedi 14 mars 2020. Les inscriptions sont encore ouvertes. L’événement pourra accueillir jusqu’à 50 participants, et le Cocu est prêt à accompagner chacun d’entre eux :

Nous avons un hangar à disposition, avec du matériel de récupération, afin de construire sa propre caisse à savon. Il y a toujours des membres de l’association ou d’autres équipes sur place pour s’aider mutuellement. 

Toujours à la recherche de roues et de roulettes afin de perfectionner les caisses des participants, l’association Cocu a lancé un appel aux dons. Contact à cette adresse : participants@carnavaldetoulouse.fr

Comme ces années passées, la chocolaterie Cacao Fages va aussi s’associer à l’événement pour proposer des animations gourmandes avec les plus jeunes. L’animation devrait se tenir dans le courant du mois de mars.

Nicolas Drusian

Cantal. Municipales 2020 : Loïc Gallot tête de liste à Lafeuillade-en-Vézie

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Loïc Gallot, tête de liste à Lafeuillade-en-Vézie.

Loïc Gallot, tête de liste à Lafeuillade-en-Vézie. (©VDC)

À 39 ans, Loïc Gallot, agent des Finances Publiques, résidant à Lafeuillade depuis 14 ans, marié et 2 enfants, conseiller sortant annonce sa candidature : « Sollicité pour conduire une liste lors des prochaines municipales, j’ai accepté avec comme objectif de redonner un nouveau souffle à notre commune. Avec Gilbert Méral, nous avons réuni une liste de personnes d’horizon divers intitulée « Lafeuillade, une équipe pour un nouvel élan ».

Le projet

Après une période trop calme « nous souhaitons redynamiser le bourg en développant les commerces les entreprises la santé et les services. Le secteur post et périscolaire est à revoir en faisant évoluer la garderie. Notre objectif premier est de faire venir un médecin. Dans la nouvelle communauté de communes nous agirons pour faire entendre la voix de Lafeuillade, qui a perdu beaucoup d’intensité. » Enfin dans une démarche citoyenne « nous envisageons de tenir une fois par an une réunion publique avec les habitants. »

Lire aussi : Aurillac. Municipales 2020 : À vous de voter pour votre candidat avec le sondage d’Actu Cantal

La présentation de notre liste aura lieu le vendredi 6 mars 2020 au foyer municipal.

La liste

Gallot Loïc, 39 ans, agent des finances publiques, Birolini Sophia, 44 ans, Auxiliaire de vie sociale, Bouygues Isabelle, 51 ans, employée, Canis Géraud, 64 ans, retraité, Caranobe Nicolas, 35 ans, menuisier, Carcanague Joël, 60 ans, retraité, Cazal Thierry, 45 ans, technicien, Danto Arnaud, 40 ans, commerçant, Lavigne Henri, 56 ans, électricien, Manas Sylvestre, 58 ans, ouvrier de fabrication, Mas Delphine, 37 ans, employée, Mazars Gilles, 47 ans, chef d’entreprise, Méral Gilbert, 66 ans, retraité, Puech Marie Paule, 64 ans, retraitée, Talon Pierre, 47 ans, chef d’entreprise

Haute-Garonne. St-Bertrand-de-Comminges, en finale du "village préféré des Français"

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Saint-Bertrand-de-Comminges, le Mont-Saint-Michel des Pyrénées, va avoir la lourde charge de faire mieux que Lauzerte, 4e en 2019.

Saint-Bertrand-de-Comminges, le Mont-Saint-Michel des Pyrénées, va avoir la lourde charge de faire mieux que Lauzerte, 4e en 2019. (©France TV)

Qui succédera à Saint-Vaast-La-Hougue, dans la Manche, vainqueur de l’édition 2019 ? Dans quelques semaines, nous connaîtrons le nouveau village préféré des Français. L’émission, diffusée sur France 3, met encore 14 communes en compétition.

Lire aussi : Village préféré des Français : découvrez les 14 prétendants au titre

Chaque année, l’Occitanie fait souvent mouche avec ses candidats. En 2019, Lauzerte (Tarn-et-Garonne) s’était classé 4e. Mais comment ne pas se rappeler les superbes premières places de Saint-Cirq-Lapopie (Lot) en 2012 et de Cordes-sur-Ciel (Tarn) en 2014, mais aussi les belles places de Rocamadour (Lot) en 2016 et de Saint-Antonin-de-Noble-Val (Tarn-et-Garonne) en 2015, troisième ces deux années-là.

Lire aussi : Saint-Antonin-Noble-Val élu troisième « village préféré des Français »

« Le Mont Saint-Michel des Pyrénées »

Cette année, c’est Saint-Bertrand-de-Comminges, en Haute-Garonne, qui va avoir la lourde charge de réitérer cette performance. 

Patrimoine, gastronomie, artisanat…La cité baptisée le « Mont Saint-Michel des Pyrénées » sera passé au crible par Stéphane Bern. Les votes du public vont rester ouvert jusqu’au 19 mars.

En vidéo, le village de Saint-Bertrand de Comminges

Saint-Bertrand a traversé le temps

 

Saint-Bertrand-de-Comminges a été fondée il y a 2000 ans. La cité a traversé le temps dominée par l’imposante Cathédrale Sainte-Marie qui domine avec majesté le village et ses alentours. Une prouesse architecturale, classée au Patrimoine Mondial de l’UNESCO au titre des chemins de Saint-Jacques de Compostelle.

Située sur la colline et surplombant le site antique et la vallée, la vieille ville est un véritable dédale de ruelles. Les portes médiévales succèdent aux maisons à colombages.

Un peu à l’écart de la ville, il est possible d’admirer la Basilique Saint-Just de Valcabrère, l’une des plus belles églises romanes de la région. Avec une vue remarquable sur la ville haute et la Cathédrale de Saint-Bertrand-de-Comminges.

Dans la vallée de la Garonne, on peut distinguer ce magnifique panorama entre l'église romane de Saint-Just-de-Valcabrère et la ville haute de Saint-Bertrand-de-Comminges.

Dans la vallée de la Garonne, on peut distinguer ce magnifique panorama entre l’église romane de Saint-Just-de-Valcabrère et la ville haute de Saint-Bertrand-de-Comminges. (©Tourisme Haute-Garonne)

Voici les prétendants au titre du Village préféré des Français :

Montpeyroux, dans la région Auvergne-Rhône-Alpes
Chablis, en Bourgogne-Franche-Comté
Pont-Aven, en Bretagne
Trôo, en Centre-Val de Loire
Cargèse, en Corse
Hunspach, dans la région Grand Est
Pierrefonds, dans les Hauts-de-France
Montfort-l’Amaury, en Ile-de-France
Les Anses d’Arlet, en Martinique
Giverny, en Normandie
Aubeterre-sur-Dronne, en Nouvelle-Aquitaine
Saint-Bertrand-de-Comminges, en Occitanie
Ménerbes, dans la région Provence-Alpes-Côtes d’Azur
Batz-sur-mer, dans les Pays de la Loire.

Manche : une voiture s'enflamme en pleine route

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Les sapeurs-pompiers de Saint-Jean-de-Daye sont intervenus pour éteindre le feu parti du moteur de la 307.

Les sapeurs-pompiers de Saint-Jean-de-Daye sont intervenus pour éteindre le feu parti du moteur de la 307. (©La Presse de la Manche)

Il était aux environs de 11 h ce samedi 29 février lorsqu’une voiture Peugeot 307 SW, qui roulait au niveau de l’ancienne gare d’Airel (Manche), sur la RD8, s’est enflammée.

Le sinistre s’est déclaré quelques minutes plus tôt par une fumée provenant du moteur en pleine route, ce qui a contraint les deux personnes à bord à stopper immédiatement leur véhicule, et ce quelques secondes avant qu’il ne s’enflamme.

Les deux jeunes femmes qui roulaient depuis Cherbourg sont saines et sauves. La cause de ce sinistre est probablement due à un court-circuit dans le moteur.

De notre correspondant Michel Leguelinel

Heureusement grâce à l’intervention rapide des pompiers et l’ouverture du réservoir d’essence, le véhicule n’a pas explosé.

Heureusement grâce à l’intervention rapide des pompiers et l’ouverture du réservoir d’essence, le véhicule n’a pas explosé. (©La Presse de la Manche)

Yvelines. Hardricourt : le club d'aéromodélisme organise un meeting aérien en salle

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Des démonstrations avec des drones sont au programme du meeting du club d'Hardricourt (Yvelines).

Des démonstrations avec des drones sont au programme du meeting du club d’Hardricourt (Yvelines). (©78 actu)

Pour la quatrième année consécutive, le Modèle Air Club d’Hardricourt (Yvelines), connu également sous le nom de Mach 78, organise un meeting aérien le dimanche 1er mars de 10 h à 17 h au gymnase de la commune.

Cette année, des démonstrations avec des petits avions, hélicos ou encore drones sont au programme.

De nombreuses autres animations et ateliers seront également proposés tout au long de la journée.

« L’aéromodélisme, ce n’est pas plus compliqué en salle car il n’y a pas de vent, ni de pluie, nous expliquait Hervé Dal Pan, le président du Mach 78, lors d’un précédent meeting. Mais comme les murs sont très près, il faut bien maîtriser son espace. »

Créé à Limay il y a 51 ans sous le nom de l’AMCL, le club d’aéromodélisme est basé à Hardricourt depuis 2016.

Pratique

Meeting d’aéromodélisme indoor, le dimanche 1er mars de 10 h à 17 h au gymnase d’Hardricourt, chemin des Gloriettes. Entrée libre.

Municipales 2020 à Nancy : la liste du candidat UPR invalidée par la préfecture

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Le candidat UPR aux municipales 2020 à Nancy, Jason Vanoni, voit sa liste invalidée par la préfecture.

Le candidat UPR aux municipales 2020 à Nancy, Jason Vanoni, voit sa liste invalidée par la préfecture. (©Nancy, c’est vous – Liste UPR pour les municipales de 2020)

Jeudi 27 février 2020, le candidat UPR aux élections municipales à Nancy, Jason Vanoni, célébrait le dépôt de sa liste en préfecture.

Il n’aura toutefois pas fallu bien longtemps avant que l’ambiance ne change radicalement. Vendredi, celui qui soutient François Asselineau a en effet reçu une bien mauvaise nouvelle. Sa liste, qui semblait au départ conforme, a été invalidée par la préfecture en raison de deux cas d’inéligibilité.

Déçu, Jason Vanoni a tenu à s’exprimer au sein d’un communiqué de presse. 

Lire aussi : Municipales 2020 à Nancy : candidats, dates et résultats des 1er et 2e tours

Deux candidats payés par la Ville

Désireux d’apporter des précisions quant à l’invalidation de sa liste, Jason Vanoni explique qu’elle est due « à une entrée quelque peu tardive dans la campagne ». Il avoue également « ne pas être un professionnel de la politique », mais aussi qu’il a été compliqué pour lui de « concilier une vie professionnelle, ses convictions et une campagne intense ».

Pour ce qui est des deux colistiers jugés inéligibles par la préfecture, il informe que ceux-ci sont rémunérés par la Ville de Nancy et regrette de ne pas avoir présenté sa liste plus tôt, ce qui aurait pu éviter ce genre d’ennui.

La tête de liste UPR a terminé sa missive en insistant sur le fait que lui et le parti qu’il représente sont d’ores et déjà concentrés sur les prochaines élections, et notamment les cantonales, les régionales et les présidentielles de 2022.

Municipales 2020 : Gilles Robigo présente « Une autre gauche pour Plouha »

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Une autre gauche à Plouha

« Une autre gauche pour Plouha » (©La Presse d’Armor)

Gilles Robigo, tête de liste de  « Une autre gauche pour Plouha », explique :

Notre équipe s’est construite sur nos valeurs individuelles et partagées de solidarité, de justice sociale, d’égalité des chances, sur notre engagement écologique et sur notre volonté de redynamiser Plouha par l’écoute et l’échange.

La composition : 

En majorité des personnes issues de la société civile qui ont des compétences, un parcours personnel et professionnel riche et varié.

Il poursuit :

Si nous sommes élus en mars prochain, nous redonnerons de la transparence à la vie publique de notre commune, nous associerons tous les Plouhatins aux projets et décisions qui engageront leur avenir et nous jouerons un rôle moteur au sein de Leff Armor Communauté où beaucoup de compétences sont désormais regroupées : transports, développement économique, petite enfance…

Nous développerons ensemble des solutions innovantes pour entamer une transition écologique et pour consolider le bien-être des habitants, quel que soit leur âge.

Il conclut :

Nous dévoilerons la semaine prochaine les grands axes de notre programme issus de notre réflexion collective qui nous guideront pendant la prochaine mandature. Puis nous viendrons à la rencontre des Plouhatins sur le marché, par du porte à porte et lors d’une réunion publique qui se déroulera début mars.

La liste : Gilles Robigo, 51 ans, commercial à EDF ; Christèle Daisey-Mogère, 50 ans, agent à domicile ; Gwénolé Riou, 60 ans, retraité de l’éducation nationale ; Nathalie Stéfaniak-Prigent, 50 ans, responsable d’établissement médico-social ; Simon Le Moullec, 33 ans, comédien-metteur en scène ; Lydie Angenard, 53 ans, employée commerciale ; Christophe Lamiré, 48 ans, magasinier-cariste ; Sandrine Charlès, 39 ans, sage-femme ; Jean-Claude Gautier, 52 ans, ramoneur ; Noémie Prigent, 26 ans, étudiante ; Jean-Michel Beucher, 59 ans, retraité ; Catherine Dureau, 53 ans, professeur-documentaliste ; Serge Mogère, 67 ans, retraité ; Marielle Le Dantec, 51 ans, employée agricole ; Philippe Bécourt, 65 ans, cadre à la retraite ; Danielle Luga, 75 ans, retraitée ; Alain Daniel, 66 ans, retraité secteur social ; Pascale Lescouët, 62 ans, retraitée de l’éducation nationale ; Jean-Yves Le Boëtté, 71 ans, retraité employé bancaire ; Jeanne-Marie Riou, 20 ans, étudiante ; Romain Robigo, 20 ans, étudiant en comptabilité ; Irina Etchebarne, 22 ans, étudiante sage-femme ; Richard Audas, 62 ans, informaticien ; Emilie Le Bars, 39 ans, infirmière ; Loïc Le Corre, 54 ans, technicien d’intervention groupe électrogène ; Solenn Prigent, 41 ans, cadre de santé ; Yannick Rouxel, 57 ans, agent de distribution postal en retraite.


Jardin. Le greffage, pour faire renaître certaines variétés oubliées

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Photo d'illustration

Photo d’illustration (© OFC Pictures – Fotolia)

Qui n’a jamais rêvé de retrouver le goût des fruits dégustés chez les grands-parents que l’on cueillait directement en se baladant dans le verger. Mais quand et quelles espèces peut-on greffer ? Quels en sont les avantages ?

« On greffe surtout les arbres à fruits qu’il soit à pépins ou à noyaux » explique René L., fidèle lecteur et amateur de greffage depuis 15 ans.

Etienne De Winter, qui intervient au Sap pour l’association Le Grand jardin, l’affirme :

le greffage, c’est pour retrouver les variétés oubliées ou que l’on voudrait découvrir. Le greffage, ce sont des méthodes que l’on a perdues ».

Pour apporter toutes sortes de variétés dans le verger, il faut « avoir un porte-greffe sain. On plante le pépin ou noyau du fruit et on obtient un sauvageon que l’on greffe ensuite sur le porte-greffe ».

Pour le poirier, c’est l’arbre que l’on greffe sur plusieurs porte-greffe.

Pour le porte-greffe, on peut prendre trois sortes d’essence : poirier, cognassier ou épine blanche », explique René.

Comme il le précise, « pour le greffage du printemps : couper les greffons début février et les mettre en terre pour les faire jeûner au nord (moins de chaleur sur les greffons). Il y a deux saisons pour mettre en place le greffage : soit l’automne en sève descendante ou le printemps en sève montante ». Certaines précautions doivent cependant être prises

pour éviter que le greffon ne gèle, enrouler le greffon de papier de journal (c’est le protéger du vent) puis mettre une fourchette ou du bois plus grand que le greffon pour que les oiseaux se posent et ainsi éviter la casse du greffon ».

Patience

L’avantage de greffer ses arbres fruitiers, « c’est de pouvoir choisir ses variétés de fruits, pour moi je préfère des vieilles variétés que nous ne trouvons plus sur le marché et cela revient moins cher mais demande du temps » argumente René.

Malheureusement au fil des années, le greffage se complique avec les changements de température. Les arbres n’ont plus de temps de repos, la sève circule bientôt toute l’année : c’est un gros problème »

Pour savourer le fruit de votre travail, il faudra être patient, René l’affirme « entre le moment de la greffe et des premiers fruits, il faut patienter 5 à 7 ans ».

Il n’en reste pas moins que cela ne s’improvise pas, comme l’affirme Etienne.

Il faut connaître le système. Il faut acquérir les bases »

Pour lui le plus facile « c’est la greffe des pommiers. Si l’on suit bien les conseils, c’est 95 % de réussite ».

Si vous voulez en savoir plus, rendez-vous à la journée « taille et greffage » au Sap, samedi 21 mars 2020.

Alors, c’est le moment, de la patience et un bon coup de main et d’ici quelques années, vous récolterez les fruits de vos efforts.

Dictons
Il est trop tard à la Saint-Pépin pour planter les arbres à pépins.
A la Saint Pierre-Damien, l’hiver reprend ou s’éteint.
Bernadette le dit : en février, taille noisetier, poirier et pommier.

Glossaire
Greffer. Mode de reproduction végétative.
Porte-greffe. Un porte-greffe est un arbre sur lequel on implante un greffon qui est donc soudé sur celui-ci.
Sauvageon. C’est un jeune arbre qui n’a pas encore été greffé. Ce peut être un arbre ou un arbuste qui a poussé spontanément dans la nature.
Greffon. C’est un fragment d’une plante que l’on va greffer au porte-greffe pour obtenir une multiplication de la plante.

Lecture. Les affamés et les rassasiés, notre coup de coeur de la semaine

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Timur Vermes.

Timur Vermes. (©Christopher Civitillo.)

Après le « Il est de retour » mettant en scène un Adolf Hitler se retrouvant projeté de nos jours face une Allemagne contemporaine, Timus Vermes nous revient avec un tout nouveau roman « Les affamés et les rassasiés ». L’auteur s’attaque à un sujet tout aussi polémique, les réfugiés.

S’appuyant sur une actualité brûlante qui n’a de cesse de secouer l’Europe, la guerre en Syrie et le flux de migrants qui en découlent, il nous livre un récit ou le cynisme d’une époque se conjugue au voyeurisme d’une société spectacle face à la misère humaine.

Ceux qui se nourrissent de la  peur de l’étranger

Un sujet d’autant plus sensible en Allemagne que la politique d’ouverture des portes vis-à-vis des réfugiés, appliquée un temps par Angela Merkel, a donné aux partis extrêmes de toute l’Europe une excuse pour rivaliser de populisme. L’occasion de réveiller la peur de l’étranger afin de se propulser aux rênes du pouvoir.

Sous la plume de l’auteur, nous suivons en parallèle des politiciens, des médias — dont une ancienne star de téléréalité, voyant dans l’animation d’une nouvelle émission, mettant en avant la misère des migrants, l’occasion de revenir à son firmament — des mafieux, des réfugiés et des quidams.

Un livre chorale dans lequel se déroule le drame d’un peuple pris dans le jeu de ceux qui se nourrissent de sa misère : médias, politiques, passeurs et gouvernements touchant des subventions.

 

Les affamés et les rassasiés de Timur Vermes – éditions Belfond – nb pages : 528 – prix 21 €.

Les affamés et les rassasiés de Timur Vermes

Les affamés et les rassasiés de Timur Vermes
(©éditions Belfond)

Municipales 2020 à Foulognes : une liste en soutien aux élus sortants

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Guillaume Gillette et six habitants sont candidats auxmunicipales en soutien au maire sortant, Alain Lebigre.

Elections municipales à Foulognes (Calvados) : Guillaume Gillette et six habitants sont candidats aux municipales en soutien au maire sortant, Alain Lebigre. (©La Renaissance Le Bessin)

La liste de candidatures groupées menée par Guillaume Gillette vient en soutien à la liste de conseillers sortants de Foulognes (Calvados) aux Municipales 2020. S’ils sont motivés pour être élus, aucun d’entre eux ne brigue la place de maire. Toutefois, ils aimeraient recréer des liens entre les habitants, apporter un peu de leur dynamisme dans le village et surtout conserver la ruralité et l’identité de Foulognes.

Lire aussi : Municipales 2020. Situation inédite à Foulognes : deux listes complémentaires sur la ligne de départ

Les 7 candidats

David Pesquet, 44 ans, gardien de la Paix, Rika Ziddin, 41 ans, mécanicienne, Marine Guytard, 24 ans, étudiante, Anthony Cointe, 41 ans, chauffeur routier, Pauline Deslandes, 35 ans, approvisionneuse, Jean-Pierre Barbier, 57 ans, plombier-chauffagiste-électricien, Guillaume Gillette, 37 ans, agriculteur.

Municipales : à La Bazouge-du-Désert, le maire sortant dévoile sa liste

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De gauche à droite, 1er rang : Marine Heuzé, Cédric Barrain, Angélique Royer, Joseph Boivent, Marie-Thérèse Jourdan, Jessica Harlais, Axelle Doise ; 2e rang : Noël Daligault, Sylvie Galodé, Bertrand Bazin, Franck Rouillé, Henri Rousseau, Claire Mabille. Absents sur la photo : Christophe Brault et Louis-Philippe Boudin. |

De gauche à droite, 1er rang : Marine Heuzé, Cédric Barrain, Angélique Royer, Joseph Boivent, Marie-Thérèse Jourdan, Jessica Harlais, Axelle Doise ; 2e rang : Noël Daligault, Sylvie Galodé, Bertrand Bazin, Franck Rouillé, Henri Rousseau, Claire Mabille. Absents sur la photo : Christophe Brault et Louis-Philippe Boudin. | (©La Chronique républicaine)

Le maire de La Bazouge-du-Désert Joseph Boivent conduit la liste Construire ensemble la commune de demain.

Une équipe largement renouvelée qui comprend six sortants et neuf nouveaux candidats. Elle affiche pour ambition de « faire de La Bazouge-du-Désert une commune où il fait bon vivre ».

Pour cela, elle souhaite « un aménagement du bourg qui permet de concilier la circulation des piétons et des véhicules en toute sécurité ».

L’équipe veut aussi développer des services et des activités économiques avec l’aménagement d’une boulangerie, la reprise du restaurant, la rénovation de la salle des sports.

Elle veut aider au maintien du tissu économique (agriculture , artisanat , commerces …) et proposer une offre résidentielle associant l’accession à la propriété (par un nouveau lotissement ) et le logement locatif ( via des investisseurs ).

Font aussi partie de ses ambitions : le renforcement du lien social via le tissu associatif, une communication dynamique, une mise en valeur du patrimoine naturel et bâti de la commune, une inscription et une participation à l’intercommunalité « pour défendre l’équilibre et la complémentarité entre territoire urbains et territoires ruraux »

En conclusion, la liste affirme :

 L’ambition est de conserver et mettre en valeur les spécificités de notre commune tout en préservant notre environnement et notre patrinoine , sans oublier de favoriser l’accueil de nouveaux habitants en lien avec le développement des activités économiques 

La liste dans l’ordre officiel

Joseph Boivent, agriculteur, 57 ans, maire sortant ; Angélique Royer, employée de commerce, 45 ans, adjointe sortante; Christophe Brault, agriculteur, 50 ans, adjoint sortant ; Marie-Thérèse Jourdan, retraitée, 67 ans, adjointe sortante ; Henri Rousseau, retraité, 71 ans, conseiller sortant ; Sylvie Galodé, aide soignante, 48 ans ; Noël Daligault, menuisier, 44 ans, conseiller sortant ; Claire Mabille, femme au foyer, 46 ans.; Bertrand Bazin, enseignant, 58 ans.; Axelle Doise, chef de planification d’ordonnancement, 25 ans ; Cédric Barrain, contrôle technique automobile, 36 ans ; Marine Heuzé, adjointe administrative, 30 ans; Franck Rouillé, pompier professionnel, 49 ans; Jessica Harlais, assistante technique de planification, 32 ans.; Louis-Philippe Boudin, magasinier cariste, 23 ans.

Municipales 2020 à Monceaux-en-Bessin : Gilles Isabelle, maire sortant, dévoile sa liste de quinze candidats

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Les candidats de la liste « Bien vivre à Monceaux-en-Bessin ».

Les candidats de la liste « Bien vivre à Monceaux-en-Bessin » avec Gilles Isabelle, candidat à sa succession à Monceaux-en-Bessin. (©La Renaissance Le Bessin)

Gilles Isabelle, maire sortant de Monceaux-en-Bessin (Calvados), candidat à sa succession, a pris la tête de la liste « Bien vivre à Monceaux-en-Bessin » aux Municipales de 2020.

« Cette liste est composée de 8 élus sortants et 7 nouveaux colistiers, soudés et unis pour mener à bien le nouveau mandat » commente le maire sortant.

« Nous nous attacherons à la vie communale (maîtriser notre situation financière sans augmentation de l’impôt, création de nouveaux services…), améliorer notre communication (journal, web, réseaux sociaux, affichages…), contrôler notre développement urbain et environnemental, s’attacher au volet social avec le CCAS (solidarité, entraide…) et écouter avec attention nos jeunes comme nos aînés. »

La liste

1er rang : Gilles Isabelle, maire sortant, technicien EDF à la retraite, 59 ans ; Emmanuelle Lemarquand, employée de commerce, 44 ans ; Michel Bonneau, élu sortant, chef d’entreprise retraité, 71 ans ; Évelyne Lelandois, 62 ans ; Gilles Malherbe, coiffeur retraité, 60 ans ; Élise Bader, adjointe relation clientèle, 50 ans ; Alain Souhard, élu sortant, agent des douanes, 54 ans.

2e rang : Aurélie Taillebosq, assistante de direction, 32 ans ; Xavier Guilbert, facteur, 45 ans ; Anne Dujardin, élue sortante, agent territorial, 57 ans ; Bruno Olive, élu sortant, agent territorial, 51 ans ; Mylène Lebarbey, comptable, 36 ans ; Christian Declosmenil, élu sortant, agriculteur retraité, 60 ans.

Absents sur la photo : Bertrand Viard, élu sortant, agriculteur, 51 ans et Wilfried Gorhy, élu sortant, Marbrier, 47 ans.

Brest : les animaux en fourrière au 28 février 2020

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Un chat chat tigré gris et blanc d’environ un an 
mâle non identifié, trouvé le 26 février 2020 à Lambézellec à Brest.

Un chat chat tigré gris et blanc d’environ un an
mâle non identifié, trouvé le 26 février 2020 à Lambézellec à Brest. (©Brest métropole)

La liste des chiens et chats recueillis par le service Animal et ville du service Action sanitaire et santé de Brest métropole et placés à la fourrière.

Le 30 novembre 2019 à Saint-Pierre, Staffordshire Bull Terrier répondant au nom de Lévis, mâle identifié.

Le 30 novembre à Saint-Pierre, Staffordshire Bull Terrier répondant au nom de Haka, femelle identifiée.

Le 31 décembre dans le secteur de Kerangoff, Cané Corso bringé répondant au nom de Narval, mâle identifié.

Le 8 janvier 2020 à Lambézellec, croisé berger australien répondant au nom de Mookie, femelle identifiée.

Le 22 janvier à Plabennec, croisé berger de couleur fauve d’environ deux ans, mâle non identifié.

Le 23 janvier à Plouzané, chat blanc et sable aux yeux bleus d’environ un an, mâle non identifié.

Le 24 janvier à Guipavas, chat type siamois foncé, poils mi-longs, mâle non identifié.

Le 31 janvier à Bellevue, croisé berger noir, poitrail blanc moucheté, d’environ deux ans, mâle non identifié.

Le 3 février dans le centre-ville de Brest,  chat tigré marron avec un collier jaune, mâle non identifié.

Le 3 février à Lambézellec, chat type angora gris/blanc, mâle non identifié.

  Le 5 février dans le quartier Europe, chat crème et gris siamois, d’environ deux ans, femelle non identifiée.

Le 7 février dans le centre-ville de Brest, chaton tigré d’environ cinq mois, femelle non identifiée.

Le 12 février dans le centre-ville de Brest, chat roux tigré roux d’environ un an, mâle non identifié.

Le 13 février à Saint-Pierre, chat type siamois clair, poils mi-longs, mâle non identifié.

Le 14 février dans le centre-ville de Brest, chien Loulou blanc d’environ un an et demi avec une laisse noire, mâle non Identifié.

Le 15 février dans le centre-ville de Brest, croisé épagneul de couleur sable, répondant au nom de Cachemire, femelle identifiée.

Le 17 février au Relecq-Kerhuon, chat noir et blanc d’environ dix ans, femelle non identifiée.

 Le 21 février 2020 à Plouzané « chat tigré gris » mâle non identifié

Le 21 février à Gouesnou, chat noir et blanc, poils mi-longs, mâle non identifié.

Le 21 février dans le quartier Europe, chat type siamois, castré, répondant au nom de Leelo, mâle identifié.

Le 22 février à Recouvrance, chat noir castré, mâle non identifié.

Le 24 février dans le quartier Europe, chat roux et crème aux yeux bleus, castré, mâle non identifié.

Le 24 février à Plougastel-Daoulas, beagle blanc et marron d’environ 12 ans, femelle non identifiée.

Le 25 février à Guilers, croisé griffon beige et marron d’environ deux-trois ans, mâle non identifié.

Le 25 février aux Quatre-Moulins, chat tigré gris à poils longs d’environ quatre-cinq ans, mâle non identifié.

Le 26 février à Saint-Marc, chat gris et blanc, mâle non identifié.

Le 26 février à Lambézellec, chat tigré gris et blanc d’environ un an, mâle non identifié.

Les photos peuvent être consultées sur le site internet www.brest.fr rubrique “Au quotidien”.

Infos pratiques :
Service action sanitaire
16, rue Alexandre-Ribot à Brest.
Tél. 02 98 00 80 80.

Municipales 2020. La liste de Catherine dos Santos, conseillère sortante à Cussy

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Les candidats de la liste de Catherine dos Santos.

Les candidats de la liste de Catherine dos Santos. (©La Renaissance le Bessin)

Catherine dos Santos a présenté sa liste « Ensemble pour Cussy » composée de 6 hommes et 5 femmes représentants les différents hameaux du village de Cussy (Calvados), pour les Municipales 2020.

Cette nouvelle équipe sans étiquette a une moyenne d’âge de 43 ans. L’équipe souhaite être l’écoute des habitants, préserver un service de proximité et faire le lien avec Bayeux Intercom.

Les projets menés seront réfléchis afin de ne pas augmenter les taxes pour ne pas peser sur les administrés. Les premiers projets à mener si l’équipe est élue au terme des deux dimanches de votes seront : les travaux de restauration de la « petite mairie » située tout près de l’église et qui sert de local associatif, les travaux d’aménagement de la vitesse et la transformation et amélioration de l’aire de jeux communale.

Lire aussi : Municipales 2020. Catherine dos Santos tête de liste à Cussy

Les 11 candidats

De gauche a droite. Premier rang : Mickaël Montigny, 41 ans, conseiller sortant, directeur service des sports d’une collectivité ; Martine Leroux, 64 ans, conseillère sortante et retraitée ; Catherine dos Santos, 58 ans, conseillère sortante, secrétaire vendeuse ; Manuela Gruszecki, 46 ans, fonctionnaire de police ; Morgane Tanquerel, 31 ans, infirmière ; Clément Lepoultier, 31ans, chef de quai en transport routier ; Anthony Haudiquet, 36 ans, charpentier en marine.

Deuxième rang : Jean Paul Cardron, 57 ans, retraité ; Sébastien Jeanne, 35 ans, conseiller sortant, pompier professionnel ; Pierre-Henri Wunderlich, 38 ans, graphiste indépendant.

Absente sur la photo : Émilie Hardy, 38 ans, aide médico-psychologique.


Portrait. Bayeux : Hugo Guillochin, un homme pressé

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À 31 ans, Hugo Guillochin a déjà multiplié les expériences dans le domaine de la culture, de la politique et aujourd'hui des médias. Son objectif aujourd'hui : trouver un équilibre entre vie pro bien remplie et vie personnelle épanouie.

À 31 ans, Hugo Guillochin a déjà multiplié les expériences dans le domaine de la culture, de la politique et aujourd’hui des médias. Son objectif aujourd’hui : trouver un équilibre entre vie pro bien remplie et vie personnelle épanouie. (©François Dourlen)

Rendez-vous est pris dans un café de Bayeux (Calvados). Il a de l’avance et discute au bar. Quand on en repartira, il saluera là aussi plusieurs habitués. Hugo Guillochin est connu dans la cité. S’il a grandi dans la campagne du Bessin, il est né et a fait ses études dans sa capitale. Avant de s’y réaliser professionnellement. C’est justement pour parler de son parcours singulier que j’ai demandé à le rencontrer. On a juste une heure devant nous. Va pas falloir traîner. Car s’il n’a que 31 ans, Hugo a déjà connu bien des vies. Il a la bougeotte.

« J’aime bien cette idée du papy qui passe le bac »

Dès la fin du lycée, il est parti en sac à dos passer une année en Angleterre. Il venait de rater son bac. « Mon père voulait que je redouble, mais j’avais envie d’aventure, d’apprendre l’anglais, de faire des rencontres », se souvient-il avec nostalgie. Il y a appris la débrouille. Un sens qui lui sera très utile par la suite.

Cet échec, Hugo l’a longtemps eu en travers de la gorge. Jusqu’à le faire douter de lui. « J’ai pensé que j’étais trop bête pour l’avoir. »

Mais finalement, c’est peut-être justement ce qui l’a poussé à se dépasser.

Je suis quelqu’un qui défend vraiment l’école, et franchement, je pense que je le repasserai un jour. J’aime bien d’ailleurs cette idée du papy qui passe le bac. Mais j’avais peut-être besoin de ça au fond, parce que j’étais sans filet.

Deux leitmotivs : « la passion et l’humain »

Et c’est vrai que ça lui a plutôt bien réussi. Au fil des opportunités, Hugo a suivi son instinct. Avec toujours un mot d’ordre en tête : « faire les choses par passion ». Et un fil rouge : « l’humain ». À son retour dans le Bessin, il ouvre un petit restaurant avec son père. « C’était sympa, mais je savais que je n’allais pas faire de la restauration toute ma vie ».

L’année d’après, en 2010, il organise une fête dans son jardin au Molay-Littry. Sans prétention. Sans imaginer que ce rassemblement qu’il avait appelé « Tout un foin » prendrait l’envergure qu’on lui a connu. « J’en ai eu l’idée en voyant une rediffusion de Grease au cinéma Le Mélies. J’avais beaucoup d’amis d’univers différents, je voulais les réunir ». S’en est suivie une deuxième édition, avec Ours en tête d’affiche.

Avant de se saisir d’une première belle opportunité. Avec l’arrêt de Calvadose de rock à Bayeux, Hugo est passé du jardin familial au site de la Grenouillère. D’artistes essentiellement locaux à des vedettes nationales, grâce à la rencontre de professionnels du secteur. L’aventure a duré trois ans. Trois ans d’adrénaline, de vraies victoires, de vrais déboires aussi. La pluie aura gâché deux de ces trois éditions, en 2013 et 2015.

À partir de là, j’ai réfléchi à changer de vie. Ça me demandait beaucoup d’énergie, et j’avais l’impression de commencer à tourner en rond.

« Sans cet accident, ma vie n’aurait pas été la même »

L’ennui, c’est sa hantise. Pourtant, dès 2014, il avait déjà commencé à porter une nouvelle casquette : celle de conseiller municipal (et de conseiller communautaire). Sur la liste du maire Patrick Gomont, il a été élu et a siégé dans trois commissions pendant (presque) tout le mandat.

Je savais que j’avais envie de ça, de faire de la politique. Je ne pensais juste pas que ça arriverait si vite.

Ni qu’il s’en éloignerait aussi rapidement d’ailleurs. Questions d’opportunité là encore. De chance qu’il ne faut pas laisser filer.

De la politique à la sphère médiatique

Fin 2019, Hugo a été repéré par une société de production après son passage remarqué, en septembre, dans l’émission de France 5, « Échappées belles ».

S’il s’est retrouvé à faire ce reportage, c’est grâce à l’entreprise qu’il a créée en mai 2016. Petite Reine. Après Tout un foin, loin de se laisser abattre, il a fait de sa passion pour le vélo une véritable activité professionnelle, dont, il faut le noter, il ne se lasse pas.

J’avais loué un VTT pour parcourir les montagnes aux États-Unis fin 2015. Ça a été mon plus beau souvenir de ce voyage. Alors au retour, je me suis dit, pourquoi ne pas proposer quelque chose en Normandie ?

Il parlait bien anglais, aimait profondément sa région, les feux étaient au vert. « J’ai fait les plages du Débarquement et le Mont-Saint-Michel, puis j’ai proposé une nouveauté en 2019, les balades gourmandes ». C’est ce qu’il l’a conduit jusqu’à France 5 qui préparait un sujet sur la Normandie Gourmande.

Aujourd’hui, il est chroniqueur pour l’émission « Ensemble c’est mieux » sur France 3 Normandie, chaque matin à 10 h 45. « Depuis janvier, je sillonne les 4 coins de la région à la découverte d’initiatives, de lieux ouverts au public, de savoir-faire… » Un nouveau métier dont il faut apprendre les codes, mais complètement en adéquation avec ce goût du défi qu’il aime tant.

C’est complètement différent de ce que j’ai fait jusque-là, à ceci près qu’on retrouve toujours ce fil rouge de l’humain, mais c’est une expérience très intéressante.

« Je suis parti de la plus belle des façons »

Intéressante mais précaire. Son contrat est de six mois. « J’aimerais faire au moins un an, mais on verra, ça ne m’angoisse pas, je réfléchis déjà à la suite ».

En homme pressé qu’il est, mû par l’adrénaline, il ne regrette aucun de ses choix. Même s’ils impliquent parfois un renoncement un peu piquant. Comme le fait de quitter son poste d’attaché parlementaire. Car oui, Hugo travaillait aussi aux côtés du député Bertrand Bouyx depuis son élection en juin 2017.

J’avais 28 ans quand il m’a proposé le poste, j’aimais la circonscription, j’avais envie d’aider les gens, alors je me suis lancé dans ce nouveau challenge.

À mi-temps, Hugo officiait dans le Bessin. Son énergie débordante lui permettait de tout gérer. Mais son nouveau statut de chroniqueur n’était plus compatible avec des fonctions politiques. Alors il a décidé d’y mettre un terme. Pour le moment du moins. Et sans regret.

En général, on quitte la politique avec pertes et fracas. Là, je suis parti de la plus belle des façons, pour continuer ma route ailleurs. Mais rien ne dit que c’est définitif. Je sens que je pourrais y revenir, même si je ne peux pas dire quand ni comment.

« Je peux m’y brûler les ailes mais j’apprends »

Le retrouvera-t-on un jour candidat à une élection ? Il ne le sait pas lui-même. Et c’est d’ailleurs ce qu’il aime. Avancer, jamais tête baissée, sans réfléchir, mais sans non plus se freiner. Pour se laisser l’opportunité d’avancer, de découvrir, de s’enrichir. Puisqu’il connaît aujourd’hui sa capacité d’adaptation. De rebond. Mais d’ailleurs, d’où lui vient une telle urgence de vivre ?

Certainement d’un grave accident que j’ai eu à 8 ans où j’ai failli perdre la vie. À l’adolescence, j’ai vraiment compris que le gouffre pouvait être assez proche. C’est sûrement pour ça que je fais tout vite, parfois trop. Je peux m’y brûler les ailes mais j’apprends. Et ce qui est sûr, c’est que sans cet accident, ma vie n’aurait pas été la même.

Salon de l'agriculture : la Seine-et-Marne à l'honneur avec la Ferme de Sigy.

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La ferme de Sigy encore primée

La ferme de Sigy encore primée (©LaRep77)

La Ferme de Sigy, située à Sigy près de Luisetaines, route départementale 62 et dirigée par Ottwian Berouk, a remporté 2 médailles d’argent au concours général agricole du Salon de l’Agriculture 2020 pour son yaourt au lait de vache aromatisé au citron et son yaourt au lait de vache sur lit de fruits rouges.

Lire aussi : Ferme de Sigy : bouillonnement d’idées de produits laitiers

La Ferme de Sigy avait remporté une médaille de bronze en 2016 et une médaille d’argent en 2017. Des médailles décernées par le ministère de l’agriculture et de l’alimentation.

Ferme de Sigy, e-mail : ferme.de.sigy@gmail.com Tél : 09 88 28 41 77. Site internet : fermedesigy.fr

 

Municipales 2020 : Gilbert Gérard dévoile sa liste "Ensemble, agissons pour l'avenir de Moussé"

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De gauche à droite. Au premier rang : Jean-François Bréal, Anne-Marie Legourd, LucileChédemail, Laurence Chauvin, Sophie Hunault, Philippe Bachelier. Second rang : RégisRodriguez, Thierry Cado, Gilbert Gérard, Christian Jan, Christopher Demé

De gauche à droite. Au premier rang : Jean-François Bréal, Anne-Marie Legourd, LucileChédemail, Laurence Chauvin, Sophie Hunault, Philippe Bachelier. Second rang : RégisRodriguez, Thierry Cado, Gilbert Gérard, Christian Jan, Christopher Demé (©Le Journal de Vitré)

Gilbert Gérard, maire de la commune depuis 1995, briguera un 5e mandat en mars. La liste Ensemble, agissons pour l’avenir de Moussé est composée de six conseillers sortants et de cinq nouveaux candidats, et souhaite poursuivre le développement de la commune.

Lire aussi : Municipales 2020 à Moussé : Gilbert Gérard vise un cinquième mandat

Une équipe qui se veut « dynamique », avec une moyenne d’âge de 45 ans et une volonté « forte de gérer au mieux les intérêts et les besoins de la commune ».

Aire de jeux

Les futurs projets seront finalisés avec la nouvelle équipe mais certains sont déjà engagés comme « les équipements dédiés à la jeunesse et au sport avec la création d’une aire de jeux découverte pour les enfants et un ensemble d’appareils fitness pour les adultes ».

Avec l’arrivée de la fibre optique très prochainement pour les habitants, un effort va être engagé pour « valoriser l’image et mettre en avant les atouts de la commune au travers du site Internet ».

Une volonté sera également de « soutenir la dynamique de la vie associative et mettre un accent sur l’entretien paysager et patrimonial pour favoriser le développement de la commune ».

La liste dans l’ordre officiel

Gilbert Gérard. 64 ans, directeur de production retraité, maire sortant.

Thierry Cado. 56 ans, agriculteur, adjoint sortant.

Sophie Hunault. 48 ans, assistante commerciale, adjointe sortante.

Philippe Bachelier. 46 ans, gérant d’auto-école, conseiller sortant.

Christian Jan. 55 ans, agent de maîtrise, conseiller sortant.

Christopher Demé. 34 ans, chargé d’affaires, conseiller sortant.

Anne-Marie Legourd. 41 ans, directrice générale des services.

Régis Rodriguez. 46 ans, gestionnaire référentiel.

Lucile Chedemail. 41 ans, opérateur PAO.

Laurence Chauvin. 41 ans, agents des services hospitaliers.

Jean-François Bréal. 30 ans, agriculteur.

Jura. Intempéries : une cinquantaine de pompiers mobilisés, essentiellement sur le secteur dolois

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Pluie et vent : le Jura est placé en vigilance jaune ce samedi 29 février 2020

Pluie et vent : le Jura est placé en vigilance jaune ce samedi 29 février 2020 (©Pixabay illustration)

Avec les intempéries de ce samedi 29 février 2020, en début d’après-midi, les sapeurs-pompiers du Jura étaient très sollicités. Le SDIS 39 comptabilisait ainsi, à 14 heures, 44 interventions en cours sur l’ensemble du département, mobilisant une cinquantaine d’hommes. Le secteur Dolois était alors le plus touché.

En fin de matinée, des rafales de vent ont entraîné des chutes de branches et d’arbres sur des fils électriques, privant environ 900 foyers d’électricité sur le nord Jura, mais aussi le secteur d’Orgelet. Les techniciens d’Enedis, mobilisés, s’affairent à réparer les dégâts.

Des rafales assez violentes ont en effet été mesurées : jusqu’à 104 km/h à 11 heures à Lons-le-Saunier ou encore 103 km/h à Dole Tavaux à 13 heures.

Jusqu’à 21 heures ce soir, le département du Jura est placé en vigilance jaune « vents violents »

Sarthe : un jeune conducteur contrôlé à 171 km/h

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Le jeune conducteur circulait en Sarthe sur l'autoroute A11 à plus de 60 km/heure au-delà de la limite maximum. Il s'est vu retirer son permis et sa voiture a été immobilisée.

Le jeune conducteur circulait en Sarthe sur l’autoroute A11 à plus de 60 km/heure au-delà de la limite maximum. Il s’est vu retirer son permis et sa voiture a été immobilisée. (©Gendarmerie de la Sarthe)

Jeudi 27 février 2020, les gendarmes de la Sarthe ont contrôlé un jeune conducteur circulant sur l’autoroute A11 à 171 km/h pour 110 au niveau de la commune de Courgenard.

En grand excès de vitesse, le jeune homme s’est vu notifier une rétention immédiate de son permis de conduire ainsi qu’une immobilisation administrative de sa voiture, une grosse cylindrée.

22 ans et originaire du département de l’Aube

Les gendarmes précisent qu’il s’agit d’un habitant de l’Aube, âgé de 22 ans et titulaire d’un permis probatoire.

Lire aussi : A 11, entre Paris et Nantes : drogue, excès de vitesse et alcool, en immersion avec le peloton d’autoroute

Il circulait  sur l’autoroute A11 à bord d’un véhicule de Marque Audi de modèle A6. Il est reparti piéton.

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