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Dans la Manche, le coronavirus impacte aussi l'économie

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À Saint-Vaast-la-Hougue, l'huître Ostré'or de la famille Hélie est expédiée en Chine et à Hong Kong.

À Saint-Vaast-la-Hougue, l’huître Ostré’or de la famille Hélie est expédiée en Chine et à Hong Kong. (©La Presse de la Manche)

C’est un sujet sur lequel plusieurs entreprises préfèrent rester discrètes. Pourtant, le coronavirus a certains effets sur les échanges économiques.

Lire aussi : Coronavirus : le bilan passe de 38 à 57 cas en France, annonce le gouvernement

Dans la Manche, des secteurs comme l’industrie agroalimentaire ou l’ostréiculture ont établi des partenariats avec la Chine, dont l’économie tourne au ralenti depuis plusieurs semaines.

Spécialisée dans le commerce international à la Chambre de commerce et d’Industrie de Normandie, Stéphanie Dolpierre, a fait le point avec la majorité des entreprises exportant vers La Chine.

Certaines structures ont ressenti immédiatement les effets, avec une baisse des commandes. D’autres déplorent une baisse de 50 % de leurs ventes dans les pays d’Asie, mais ce n’est pas général. »

D’après les données de la CCI Normandie réalisées fin 2017, 15 % des exportations normandes se font vers l’Asie. Environ 3 700 entreprises exportent.

Pas d’huîtres en Asie

Chez les ostréiculteurs aussi, on suit l’actualité de près, explique Thierry Hélie, président du Comité régional de la conchyliculture. Une quinzaine de producteurs normands exportent en Asie.

Cela peut représenter entre 20 et 50 % du chiffre d’affaires total. En Chine, l’huître est un produit d’exception, qui se consomme très majoritairement dans les restaurants. Avec les mesures de confinement, les restaurants sont fermés et la consommation est stoppée. »

Au Salon de l’agriculture, le Manchois a profité de son déplacement pour rencontrer des membres du cabinet du ministre de l’Agriculture, pour les alerter de la situation. « Nous sommes identifiés comme une filière exportatrice, qui plus est excédentaire. Nous ne sommes pas les seuls impactés, mais on sait que c’est pris en compte. »

Lire aussi : Coronavirus à bord d’un navire : les passagers ont été rassurés, la croisière reprend son cours

Vigilance

Pas d’alarmisme dans les parcs ostréicoles, mais une vigilance. « Pour le moment, on fait ce qu’on peut, avec nos permanents, et on limite les recours aux CDD ou intérimaires. »

Mais si la situation se prolonge, les chiffres d’affaires seront moins importants. Et les charges restent identiques. »

Le professionnel saint-vaastais connaît particulièrement ce marché pour y distribuer une huître particulière, l’Ostré’or. « Elle est de calibre 1 et d’une typologie différence de ce qu’on vend en France, où on privilégie plutôt les calibres 3. C’est difficile de trouver des débouchés sur ces produits précis. »

Impossible d’anticiper l’évolution dans les prochaines semaines.

Nous conseillons aux entreprises de garder contact avec leurs clients chinois, de prendre de leurs nouvelles, explique Stéphanie Dolpierre. Quand l’activité pourra reprendre, ce sera ensuite plus simple de redémarrer les échanges. »

Lire aussi : Coronavirus en Normandie : un cas confirmé près de Rouen, 41 « personnes contact » identifiées

Difficultés à l’import aussi

Si beaucoup d’entreprises exportent leurs produits en Asie, d’autres, au contraire, en importent. C’est par exemple le cas de la société Oreka, à Cherbourg, qui développe des outils numériques 3D, en réalité virtuelle ou augmentée. Elle commence à ressentir certaines difficultés concernant l’approvisionnant, certains composants venant de Chine ou du Japon sont bloqués en raison des restrictions liées à l’épidémie de coronavirus.

Ces approvisionnements sont destinés à nos clients, explique Didier Duffuler, le gérant d’Oreka. Pour les dépanner, nous leur prêtons dans certains cas notre propre matériel. Mais cela a des limites, nous en avons aussi besoin. »

Lire aussi : Coronavirus : le gouvernement annonce des mesures pour les entreprises et les salariés


Seine-et-Marne. A Jouarre, le salon de coiffure Hair DS créé un nouvel espace bien-être

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Pour Fernande et Stéphanie de Oliveira, le bien-être est une histoire de famille.

Pour Fernande et Stéphanie de Oliveira, le bien-être est une histoire de famille. (©LPB)

Chez Hair DS, le bien-être est une histoire de famille. Tout commence en 2014 lorsque Stéphanie de Oliveira ouvre son salon de coiffure à Jouarre.

Elle est rapidement rejointe par sa mère, Fernande de Oliveira qui complète l’offre avec ses services de prothésiste ongulaire. Pendant un temps, cette dernière jongle entre son poste de surveillante dans un établissement scolaire et l’onglerie le week-end. Et puis, il y a deux ans, elle suit une formation et se lance dans une reconversion complète.

J’ai toujours voulu faire ça. Plus jeune, je voulais être coiffeuse mais j’ai dû arrêter ma formation pour gagner ma vie, raconte la cinquantenaire.

« Aujourd’hui c’est le moment. Si je ne le fais pas maintenant, je ne le ferai jamais », poursuit-elle. À l’issue de sa formation, Fernande de Oliveira travaille dans un institut à Coulommiers pour se perfectionner mais elle préfère être à son compte et « prendre le temps pour (ses) clientes ».

C’est ainsi que né l’institut « Beauté douce » en octobre 2019, dans les locaux du salon Hair DS.

Fermetures de commerces en cascade

Mère et fille s’accordent sur l’importance d’un tel service à Jouarre.

« C’est une petite commune qu’il faut dynamiser. Les jeunes peuvent venir ici et n’ont plus à se rendre à Val d’Europe ou même à Paris pour se faire du bien », livre Fernande de Oliveira.

Ici les habitants ont envie de consommer local, ils veulent faire travailler les commerces du coin, ajoute Stéphanie qui constate malgré tout les nombreuses fermetures des commerces de Jouarre.

« Il y a deux ans, le temps de mon congé maternité le fleuriste, l’hôtel Le plat d’étain et la charcuterie ont fermé. Là je rentre de vacances et je constate que le PMU a mis la clé sous la porte… C’est triste », conclut-elle.

Tenir bon

Alors Stéphanie de Oliveira s’accroche, jongle entre le téléphone qui ne cesse de sonner – période de vacances scolaires oblige, et ses clients qui s’enchaînent. Elle travaille en continue et parfois de 9h à 20h lorsque la demande l’exige.

C’est dur de concilier l’activité du salon avec ma vie personnelle. Il y a deux ans j’ai embauché une coiffeuse à la fin de ma grossesse mais c’est un gouffre financier et puis les clients me réclamaient et ne voulaient pas venir tant que ce n’étais pas moi qui les coiffais, explique-t-elle, un mug de soupe instantanée dans la main.

Le temps de prendre une gorgée et un nouveau client franchi la porte. Son planning est serré, aujourd’hui 18 clients passeront sous ses ciseaux.

Infos
Hair DS et Beauté Douce
17, grande place à Jouarre
Tel. 01 64 33 00 71 (coiffure) et 06 70 72 00 31 (institut)

Municipales 2020. A Montcuq dans le Lot, Alain Lalabarde, candidat à un 2e mandat pour une ruralité vivante

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Alain Lalabarde entouré de ses colistiers, candidat pour un nouveau mandat municipal à Montcuq en Quercy Blanc.

Alain Lalabarde entouré de ses colistiers, candidat pour un nouveau mandat municipal à Montcuq en Quercy Blanc. (©DR)

Nous avons interrogé Alain Lalabarde, maire de Montcuq-en-Quercy-Blanc, dans le Lot, candidat à sa succession, à la tête d’une équipe en partie renouvelée de 25 candidats. Il s’agit pour l’heure de la seule liste en lice, à l’heure où nous écrivons, à une semaine du dépôt des listes.

Succès de la commune nouvelle

Actu Lot – Un des événements institutionnels majeurs de la dernière mandature fut la constitution de la Commune Nouvelle de Montcuq-en-Quercy-Blanc. Êtes-vous satisfait de cette décision collective ?

Alain Lalabarde – Oui, sans hésitation. J’englobe tous mes collègues maires. Aujourd’hui, on ne repartirait pas en arrière. Les collectivités, les élus doivent apprendre à travailler ensemble. C’est l’esprit de l’équipe qui m’entoure. Il faut vivre ensemble, mais aussi avancer ensemble. Les habitants ont conservé leur nom de village, mais ont une âme de Montcuquois. La grande majorité des concitoyens a adhéré à la Commune Nouvelle, aux services qu’on leur propose. Je remercie tous les employés de la commune, pour avoir bien suivi les changements d’organisation, qui se sont faits avec leur aval. Ils ont mis de leur temps, de leur énergie.

Quels sont les principaux projets que vous avez menés à bien, au cours de ce mandat ?

Pour nous élus, le principal projet fut la constitution de la Commune Nouvelle, qui a nécessité un an et demi de travail, de réunions, de consensus. Sur le terrain, entre autres, nous avons restauré la salle des fêtes et l’église St-Aignan à Valprionde, réalisé une salle polyvalente et trois logements communaux à Lebreil. À Montcuq, nous avons agrandi et mis aux normes l’école maternelle, réhabilité le centre-bourg, projet structurant, inévitable pour le développement du tourisme, de l’économie locale, qui reprendra à l’automne 2020. La salle de danse, refaite à neuf, et le gymnase ont été mis en conformité. Ce sont des projets, qui ont été bien accompagnés, financièrement, par l’État, le Département, la Région, la Communauté de Communes.

Finaliser les actions entamées

Pour quelles raisons, avez-vous décidé de vous représenter à la tête de Montcuq-en-Quercy-Blanc ?

Pour plusieurs raisons. Je prends du plaisir à ce poste, où je suis entouré d’une bonne équipe. J’ai envie de finaliser ce qu’on a mis en place, notamment les travaux de Cœur de Village de Montcuq, de faire avancer le commerce, le tourisme. J’ai envie de donner à la collectivité. On a envie de sauver la ruralité, de garder nos services, de les développer, pour que le village ne s’éteigne pas demain. Je crois aux politiques de proximité. Je rêve que Montcuq soit à la tête du wagon.

Pour le prochain mandat, quels seront vos principaux projets ?

Nous finirons de développer le quartier St-Jean, et notamment la zone entre le gymnase et l’actuel camping, en mêlant commerces, habitat et services à la personne, avec un parking. Nous continuerons de développer le lac, en insistant sur l’accueil des personnes. Je souhaiterais mener la réfection totale de l’espace d’animations, qui à 30 ans, est usé. Il faut le remettre à l’ordre du jour, notamment s’agissant de l’isolation. L’autre projet important sera la ferme photovoltaïque, à Lebreil, mais ce sont les services de l’État qui ont les cartes en main. Si ce projet se fait, Montcuq-en-Quercy-Blanc serait une commune active, dans la transition énergétique. Cela apportera des changements perceptibles aux habitants, pour leur consommation énergétique.

Comment voyez-vous l’évolution de la Communauté de Communes du Quercy Blanc, dont le président actuel Jean-Claude Bessou ne se représente pas ?

Je la vois bien. Nous sommes à une bonne échelle, de taille humaine, avec deux pôles, Montcuq et Castelnau-Montratier. L’intercommunalité a de plus en en plus de compétences, octroyées par l’État. Sans la Communauté de Communes, plusieurs investissements n’auraient pas été faits, comme les travaux de voirie, la crèche, ou le nouvel Office de Tourisme, dont les travaux vont démarrer en ce début d’année. La Communauté de Communes est indispensable à l’évolution de la commune. Il y a une belle représentativité de tout le territoire. On a, actuellement, un président équitable, qui gère bien. Comme au sein de la Commune Nouvelle, avec l’intercommunalité, la mutualisation sert à mieux travailler ensemble, à travailler différemment.

Vous satisfaisez-vous de la situation d’être la seule liste en lice, à ce jour ?

Je regrette qu’il n’y ait pas deux listes.

J’espère qu’il n’y a pas de désintéressement de la collectivité. Il ne faut pas que cela démotive les gens à aller voter. Même s’il y a qu’une liste, il faut qu’elle soit soutenue, afin qu’on se sente légitimes, en tant qu’élus.

Trois membres du conseil municipal élus en 2014, issus de la liste de l’opposition, figurent sur votre liste. Êtes-vous satisfait de ce fait ?

Je les remercie. Ils ont travaillé, durant ce mandat, ont voté les décisions. Il me semblait logique, s’ils acceptaient, qu’ils fassent partie de la nouvelle équipe, par reconnaissance de leur travail. Ils sont repartis, sans réfléchir. Cela fait plaisir.

Les membres  de la liste

La liste : 1er rang : Martial Barrau (Lebreil) ; Olivier Meynen (Montcuq, élu sortant) ; Dominique Saurt (Montcuq) ; Bernard Roux (maire délégué de Lebreil, adjoint sortant) ; Adrien Laplanche (Montcuq, élu sortant) ; Jean-Luc Muret (Montcuq, élu sortant) ; Jérôme Arnal (Montcuq, élu sortant). 2e rang : Patrice Caumon (maire délégué de Valprionde, adjoint sortant) ; Patrick Doche (Montcuq, élu sortant) ; Edith Lafage (Montcuq, élue sortante) ; Camille Bertholet-Fraunié (Montcuq) ; Valérie Demon (Montcuq, élue sortante) ; Yannick Lapèze (Belmontet, élu sortant) ; Arianne Reche (Montcuq, adjointe sortante) ; Gérard Ferré (Valprionde, élu sortant). 3e rang : Patricia Parayre (Montcuq) ; Ludovic Lagard (Ste-Croix, élu sortant) ; Anna Saurat (Valprionde, élue sortante) ; Isabelle Ficat (Valprionde). 4e rang : Roland Barres (Belmontet, élu sortant) ; Jocelyne Mathieu (Belmontet, adjointe sortante) ; Stéphanie Mathiere (Montcuq) ; Edwige Le Quillec (Lebreil) ; Marie-José Sabel (maire déléguée de Ste-Croix, 1re adjointe sortante) ; Alain Lalabarde (maire sortant, tête de liste).

Propos recueillis par DIDIER QUET

Réunions publiques : le vendredi 6 mars 2020, à 17 h, à Lebreil, puis à 18 h 30 à Valprionde ; le lundi 9 mars 2020 à 18 h 30 à Belmontet ; le vendredi 13 mars 2020 à 18 h 30, à l’espace d’animations de Montcuq.

Coupes de cross du Pays de Bray. Ils se retrouvent 50 ans après la 1re édition

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Quasiment cinquante années séparent ces deux clichés. Sur celui en noir et blanc pris en janvier 1971 par un journaliste du Réveil à l’occasion du 1er podium de l’histoire des coupes de cross du pays de Bray, on peut y voir, Jean-Louis Flahaut (2e en partant de la gauche), Sylvie Boucher (3e en partant de la gauche) et Philippe Leclerc (4e en partant de la gauche). On les retrouve en dessous, précisément de la 3e place à la 5e place en partant de la gauche. Ils sont encadrés, à droite, par Daniel Corroy, le chef d’orchestre de ces coupes de cross et par Hubert Tabur et Nadine Boucher (à gauche). Hubert Tabur a remporté 11 courses sur les 12 qu’il a couru aux Coupes de cross.

Quasiment cinquante années séparent ces deux clichés. Sur celui en noir et blanc pris en janvier 1971 par un journaliste du Réveil à l’occasion du 1er podium de l’histoire des coupes de cross du pays de Bray, on peut y voir, Jean-Louis Flahaut (2e en partant de la gauche), Sylvie Boucher (3e en partant de la gauche) et Philippe Leclerc (4e en partant de la gauche). On les retrouve en dessous, précisément de la 3e place à la 5e place en partant de la gauche. Ils sont encadrés, à droite, par Daniel Corroy, le chef d’orchestre de ces coupes de cross et par Hubert Tabur et Nadine Boucher (à gauche). Hubert Tabur a remporté 11 courses sur les 12 qu’il a couru aux Coupes de cross. (©Le Réveil de Neufchâtel)

Les coupes de cross du pays de Bray fêtent cette année leur 50e anniversaire. La première course, à l’initiative de Christian Félix, s’est déroulée samedi 30 janvier 1971 à Neufchâtel-en-Bray (Seine-Maritime). A l’époque, n’étaient organisées que cinq courses. Trois pour les garçons (benjamins, minimes et cadets) et deux pour les filles (minimes et cadettes). Les explications de Daniel Corroy, le Monsieur coupes de cross du pays de Bray : 

En 1971, on ne faisait pas courir les benjamines. On pensait que les filles de cette catégorie-là ne pouvaient pas faire aussi bien. Trois ans plus tard, on les a autorisées à courir ».

Des souvenirs plein la tête

Une autre époque dont se souviennent parfaitement Nadine et Sylvie Boucher, les deux sœurs, Philippe Leclerc, Jean-Louis Flahaut et Hubert Tabur. Ces cinq-là ont participé à la toute première épreuve de ces coupes de cross.

On n’avait pas de pointes à l’époque. On courrait avec de simples baskets. Quand il y avait de la boue, ça glissait ».

Quant aux deux sœurs, elles ont un souvenir particulier : 

Notre maman conduisait de nombreux jeunes à ces courses. Elle avait le permis et faisait le ramassage pour permettre à d’autres jeunes d’aller courir ».

Certains ne s’étaient pas revus depuis plusieurs dizaines d’années. Grâce à Daniel Corroy, Le Réveil a pu les réunir le jeudi 20 février 2020 pour se rappeler des bons souvenirs. Pour le plus grand plaisir de Daniel Corroy :

Je suis vraiment content de les revoir. Je n’aurai jamais pensé que les coupes de cross, qui étaient totalement informelles, sans structure, existeraient encore aujourd’hui. On n’a pas de budget. Tout ce qui se fait est bénévole ».

L’amour du sport comme ADN

Pendant plus d’une heure, les cinq coureurs ont pu échanger, se rappeler quelques anecdotes. Mais en quelques minutes, on comprend tout de suite qu’ils ont un point commun, grâce à ces coupes de cross : l’amour du sport.

Tous ont poursuivi leur carrière pendant des années. Certains ont décroché des titres de champion de Seine-Maritime et de Normandie en athlétisme. A 63 ans, Sylvie Boucher continue de jouer au tennis et dispute encore des compétitions officielles. Ou bien encore Philippe Leclerc : 

C’est grâce à ces coupes de cross que j’ai découvert que j’avais des qualités sportives ».

Daniel Corroy précise : 

Le but essentiel était de ramener le sport en milieu rural. Christian Félix a eu une super idée de les créer. Il y a 50 ans, il n’y avait pas de sports en pays de Bray mis à part le football. Il n’y avait rien pour les filles. Avec ces épreuves, cela leur a permis de découvrir l’athlétisme et le sport en général ».

Et un demi-siècle plus tard, ce sont des générations entières qui s’en félicitent.

Une expo, une soirée et un repas

Si les finales se déroulent le 14 mars à Bailleul-Neuville, Daniel Corroy proposera en parallèle le même jour une exposition (photos, articles de presse…) à l’occasion du 50e anniversaire des coupes de cross. Elle sera visible à la salle des fêtes de Clais de 14 h à 19 h. Une soirée et un repas seront organisés sur invitation, toujours à la salle des fêtes de Clais. Rens. Daniel Corroy : 02 35 93 82 91.

Vannes : il grille un stop, renverse un cycliste et prend la fuite

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Île-de-France mobilité a lancé ce jeudi 20 février 2020 sa plateforme pour effectuer les demandes d'aides à l'achat de vélos électriques.

Le cycliste a du être arrêté cinq jours pour des douleurs au dos notamment. (©Illustration. FM/76 Actu)

Les faits remontent au 27 juillet 2019. Un homme de 30 ans comparaissait devant le tribunal correctionnel de Vannes mercredi 26 février 2020 pour avoir grillé un stop et renversé un cycliste au volant d’une Citroën. 

Rapidement, le conducteur, déjà condamné à plusieurs reprises, reconnaît les faits mais se défend « d’avoir été aveuglé par le soleil ». Lorsqu’il a entendu le choc, il assure être descendu de sa voiture, échangé brièvement quelques mots avec le cycliste avant de reprendre sa route. 

Je me suis assuré que tout allait bien. Il s’est relevé. Il ne me paraissait pas blessé. 

« J’ai mal réagit »

Un temps insuffisant selon la victime et plusieurs témoins qui ont ensuite appelé les pompiers. « Le cycliste était ensanglanté et avait des douleurs au dos », précise la procureure de la république Louise Debleds appuyée par des témoignages ayant vus la scène. Il a subi cinq jours d’ITT (interruption temporaire de travail).

Grâce à la plaque relevée par le cycliste, la police a pu retrouver sa trace. Lorsqu’ils toquent à la porte, l’homme ne répond pas. « J’ai mal réagit sur le moment », avoue t-il. 

Si j’avais vu ses blessures, je me serais arrêté.

Plus de 200€ d’amende

Son avocat le défend en disant qu’il n’a pas volontairement fuit. « Ce n’était pas possible. En plus il y avait des bouchons donc la volonté de fuir rapidement ne peut pas être requise ». Il regrette de ne pas avoir vu les images de la vidéo surveillance. 

Le tribunal retient finalement comme décision de le condamner à deux amendes de 100€ et une autre de de 8€ par jour sur 120 jours. Si son permis a été conservé, il doit effectuer un stage de sécurité routière dans les 6 mois.

Municipales 2020. L'ordre d'affichage des candidats à Flers sur les panneaux électoraux

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Le tirage au sort de l’ordre d’affichage des listes sur les panneaux électoraux pour les municipales 2020 a eu lieu vendredi 28 février à la préfecture de l’Orne.

Le tirage au sort de l’ordre d’affichage des listes sur les panneaux électoraux pour les municipales 2020 a eu lieu vendredi 28 février à la préfecture de l’Orne. (©L’Orne Hebdo)

Dans quel ordre les candidats aux élections municipales sont-ils affichés ? C’est le hasard. Pour les communes ornaises de plus de 1 000 habitants et dans lesquelles deux listes ou plus sont en concurrence, le tirage au sort a eu lieu ce vendredi 28 février à la préfecture de l’Orne, comme le relate L’Orne Hebdo. C’est Charles Barbier, le secrétaire général, qui l’a effectué.

Lire aussi : Municipales 2020. L’ordre d’affichage des listes sur les panneaux électoraux tiré au sort

A Flers, Jean-François Brisset (Fiers de Flers) figurera sur la panneau 1, Pascal Catherine (Faire entendre le camp des travailleurs) sur le panneau 2 et Yves Goasdoué (Flers, forte, solidaire et novatrice) sur le panneau 3.

Lire aussi : Municipales 2020. 6 618 candidats déclarés dans l’Orne

Des aides de la région Normandie ont aidé la reprise de la boucherie Cyril Soyer à Bretteville-sur-Odon

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La boucherie Cyril Soyer, à Bretteville-sur-Odon (Calvados), fêtera ses 1 an le 1er mars 2020.

La boucherie de Cyril Soyer à Bretteville-sur-Odon a bénéficié d’un prêt de la Région pour se lancer. (©Lucas Rapi)

La boucherie du 43 route de Bretagne, à Bretteville-sur-Odon (Calvados), a changé de nom il y a un an. Cyril Soyer s’y est installé à la suite de Robert Marinier. La reprise des boucheries est parfois longue. « Certains mettent deux à trois ans pour vendre », confirme le nouveau boucher. Son installation a été facilitée par quelques aides de la région. 

Un prêt de la Région Normandie pour financer des travaux

« Je vais bientôt fêter mon anniversaire car j’ai ouvert le 1er mars 2019 ». La boucherie qui va fêter ses 1 an n’était pas encore tout a fait opérationnelle. « Des travaux étaient nécessaires dans l’arrière-boutique. » Pour ce faire, il a bénéficié d’un prêt d’honneur (10 000€) octroyé par la région Normandie.  

« On a refait la pièce et racheté du matériel », détaille Cyril Soyer

Le prêt, à taux nul lui a permis de faciliter l’achat de son matériel. « Pour les outils spécialisés, les taux d’intérêt peuvent être importants », confie Cyril Soyer. 

Une cinquantaine de prêts ont été octroyés par la région aux différents porteurs de projets depuis septembre 2018. Ces montants varient entre 5 000 et 50 000€. 

Toutefois ce prêt est réservé à ceux qui se lancent dans l’entrepreneuriat pour la première fois.

Coronavirus : le CHU de Rouen rassure les patients et leur famille

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Alors qu'un patient souffrant du coronavirus y a été admis, le CHU de Rouen rassure les patients et leurs proches.

Alors qu’un patient souffrant du coronavirus y a été admis, le CHU de Rouen rassure les patients et leurs proches.

Alors qu’un patient souffrant du coronavirus, le premier cas avéré en Normandie, a été hospitalisé ce vendredi au CHU de Rouen (Seine-Maritime), l’hôpital communique afin de rassurer les patients et leurs proches.

Nous souhaitons rassurer les familles de nos patients et de nos résidents : elle peuvent bien sûr venir visiter leurs proches. Cependant, compte tenu de l’actualité, il est essentiel qu’elles respectent les conditions d’hygiène, qui leur seront rappelées dans les services, précise le CHU.

Les consignes rappelées dans les services

Dans l’essentiel, ces consignes indiquent notamment que les patients comme les visiteurs souffrant de toux doivent se munir d’un masque chirurgical. Il est également rappelé la nécessité de l’usage de solution hydroalcoolique au sein des établissements. 

Les seules limitations qui s’appliquent donc concernent les personnes de retour de voyage dans les zones à risques définies par Santé publique France. À ce jour, il s’agit de la Chine (Chine continentale, Hong-Kong, Macao), de la Corée du Sud, de Singapour, de l’Iran et de l’Italie pour les régions de Lombardie, de Vénétie et d’Emilie-Romagne.

Lire aussi : VIDÉO. Nouvel espace, tests… Comment le CHU de Rouen se prépare au coronavirus

« Seulement 5% des cas sont graves »

La veille, la directrice de l’ARS (Agence régionale de santé) rappelait, concernant le coronavirus, que « seulement 5% des cas sont graves » et qu’un seul cas est à l’heure actuelle enregistré en Normandie. 

Cette dernière a également souligné l’importance des « gestes barrières » à adopter au quotidien : se laver les mains régulièrement, éternuer ou tousser dans son coude, utiliser un mouchoir à usage unique et porter un masque jetable, mais « seulement quand on est malade », assurant que porter un masque quand on n’est pas malade, « ne sert strictement à rien ».

Lire aussi : Coronavirus en Normandie : un cas confirmé près de Rouen, 41 « personnes contact » identifiées


Un concert aux sources du gospel à Condé-sur-Huisne

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Les choristes de Saint-Quentin Gospel seront en concert à l'église de Condé-sur-Huisne.

Les choristes de Saint-Quentin Gospel seront en concert à l’église de Condé-sur-Huisne. (©Philippe Bouric)

L’âme du gospel va envahir le chœur de l’église de Condé-sur-Huisne (Orne) lors d’un concert de la chorale Saint-Quentin Gospel le dimanche 1er mars. La chorale de Guyancourt, composée de 60 à 80 choristes et de 5 musiciens, est l’invité de la commune de Sablons-sur-Huisne pour un concert qui s’annonce vibrant d’émotions.

Assister à un concert de Saint-Quentin Gospel c’est remonter aux sources du Gospel, passer du Negro Spiritual au Gospel contemporain, mêler chants et danse, partager avec eux leur énergie, leur joie de vivre et surtout leur amour du chant. Fondée en 1994, la chorale Saint-Quentin Gospel a déjà donné plus de 100 concerts dans les Yvelines, elle a participé trois fois au Festival International de Gospel de Paris, au 1er Festival de Gospel de Chartres, ou encore au festival de Stockholm.

Les voix de Saint-Quentin gospel sont de retour en terre percheronne pour un moment unique de partage entre le public et les artistes.

Pratique
Concert Saint-Quentin Gospel le dimanche 1er mars 2020 à 16 h à l’Église de Condé-sur-Huisne. Entrée 15 €, tarif réduit 10 €, de 12 à 18 ans 5 €, gratuit pour les moins de 12 ans. Billetterie à l’Agence Postale Communale 02 33 25 69 31 et à Office du Tourisme du Perche Rémalardais 02 33 73 71 94.

Yves Jégo veut une gare TGV dans le sud Seine-et-Marne

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Yves Jégo aimerait voir le TGV s'arrêter dans le sud Seine-et-Marne

Yves Jégo aimerait voir le TGV s’arrêter dans le sud Seine-et-Marne (©IIllustration-Wikipedia)

Une gare TGV dans le sud Seine-et-Marne ? C’est le souhait d’Yves Jégo, l’ancien député-maire, actuellement dans la course aux municipales. 

Sur sa page Facebook, il indique que sur sa proposition, la communauté de commune du Pays de Montereau a sollicité la SNCF pour que « l’étude de transformation de la gare TGV technique de Marolles-sur-Seine en Gare TGV voyageurs soit reprise ».

« Cette étude m’avait été promise, en son temps, par Guillaume Pepy l’ancien président de la SNCF », indique Yves Jégo qui a lancé une pétition.

Pour lui, « ce projet doit absolument être repris car il est réaliste et permettrait de relier le pays de Montereau en 30 minutes à la Gare de Lyon ».

« Une gare TGV de voyageurs dans le pays de Montereau permettrait d’apporter un regain de dynamisme à toute notre région », ajoute-t-il.

Lire aussi : Seine-et-Marne. Projet de Parc Napoléon : Cinq associations écologistes disent « Non ! »

S’il est élu maire, il annonce que dès le mois d’avril, il ira rencontrer Valérie Pecresse ainsi que le ministre des Transports « afin de plaider pour la reprise de ce dossier malheureusement enterré ».

 

Bain de foule pour Carles Puigdemont, en meeting ce samedi à Perpignan

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La foule venue accueillir Carles Puigdemont à Perpignan le 29 février 2020. (©AFP/LLUIS GENE)

L’indépendantiste catalan Carles Puigdemont, qui a fui en Belgique après la tentative de sécession de 2017, va rassembler ce samedi 29 février 2020 des dizaines de milliers de partisans à Perpignan, dans le sud de la France.

Les organisateurs ont réservé 600 bus et estiment qu’entre 70 000 et 100 000 militants séparatistes feront le déplacement d’Espagne pour ce meeting qui doit commencer à 12h00 sur l’esplanade du parc des expositions de Perpignan.

C’est la première fois que l’ancien président régional catalan se rend ainsi aux portes de l’Espagne depuis son départ à Bruxelles pour échapper aux poursuites de la justice espagnole qui a condamné en octobre à la prison pour sédition plusieurs anciens membres de son gouvernement régional.

Lire aussi : Carles Puigdemont à Perpignan : avis et craintes à la veille du meeting de l’indépendantiste catalan

« A Perpignan, c’est comme être à la maison »

Jusqu’à l’obtention récente, à la suite d’une longue bataille judiciaire de son immunité d’eurodéputé, Carles Puigdemont ne s’était pas risqué à faire le voyage en France, pays dont la collaboration policière et judiciaire est étroite avec Madrid. 

Mais maintenant qu’il ne risque plus l’extradition, les indépendantistes catalans vont lui offrir un bain de foule dans cette ville du sud de la France toute proche de la frontière et que les indépendantistes catalans considèrent comme la capitale de la « Catalogne nord ». « Pour moi, c’est comme être à la maison », avait-il ainsi confié mercredi M. Puigdemont au quotidien La dépêche du Midi.

La principale figure de la tentative de sécession de 2017 sera reçue samedi par le maire de Perpignan, Jean-Marc Pujol, et par la présidente du département des Pyrénées-Orientales, Hermeline Malherbe, après avoir assisté vendredi à un match de l’équipe de rugby locale, porte-drapeau de l’identité catalane.

Des réceptions dénoncées par l’ancien Premier ministre français Manuel Valls, candidat malheureux l’an dernier à la mairie de Barcelone, sa ville natale.

Un contexte sensible en Catalogne

Ce meeting de Carles Puigdemont intervient dans un contexte politique sensible en Catalogne.

Son successeur à la tête du gouvernement régional, Quim Torra, a en effet annoncé fin janvier la tenue prochaine d’élections régionales anticipées en raison des tensions entre les deux partis séparatistes contrôlant la région: Ensemble pour la Catalogne (JxC) de M. Puigdemont et Gauche Républicaine de Catalogne de son ancien numéro deux Oriol Junqueras (ERC), condamné à 13 ans de prison pour la tentative de sécession.

Ces tensions découlent des divergences stratégiques entre ces deux formations, ERC étant favorable à un dialogue avec le gouvernement espagnol du socialiste Pedro Sanchez tandis que JxC prône toujours la désobéissance.

Ce dialogue, fixé par ERC comme une condition à son appui à Pedro Sanchez au parlement, vient de commencer mercredi à Madrid entre le gouvernement central et le gouvernement catalan pour tenter de trouver une solution à ce conflit qui envenime depuis des années la politique en Espagne.

Mais il est vu d’un mauvais oeil par Carles Puigdemont et ses partisans. « L’expérience nous conseille résolument de ne pas faire confiance », a affirmé récemment l’ancien président régional qui réclame toutefois d’être un interlocuteur de Madrid dans ces négociations.

Lire aussi : Carles Puigdemont arrêté par la police à la frontière allemande

Source : © 2020 AFP

Municipales à Montpellier : Djamel Boumaaz en piment de la liste d'Olaf Rokvam

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Quelques-uns des colistiers d'Olaf Rokvam pour le Rassemblement National.

Quelques-uns des colistiers d’Olaf Rokvam pour le Rassemblement National. (©CN)

Olaf Rokvam a présenté sa liste du « Rassemblement pour Montpellier » à la presse vendredi matin. Une liste, qu’il annonce avoir déposé à la Préfecture le 21 février et validée dès le lendemain, sur laquelle figure à la troisième position le conseiller municipal d’opposition Djamel Boumaaz.

La liste

« Cette liste je l’ai voulu relativement d’ouverture. Un tiers sont encartés au RN et le reste sont des gens qui soutiennent tout ou en partie les idées du RN et qui ont la même idée que moi de ce que l’on veut faire de Montpellier », explique Olaf Rokvam satisfait de compter « des anciens LR, des DLF et des PCD, ainsi que beaucoup de personnes issues du milieu pieds-noirs ».

Lire aussi : Municipales / Montpellier : retour sur le Face à la presse avec Olaf Rokvam

Autre mise au point du candidat : « Ne me parlez pas de connotation religieuse, je ne l’accepterais pas. On a de très “bonnes gens” dans tous les partis religieux quels qu’ils soient. De ce côté, j’ai été ouvert à tous et dans les dix premiers de la liste, on a des personnes issues de l’immigration et ce sont des gens de valeurs ».

Djamel Boumaaz en numéro 3

Après avoir présenté quelques-uns de ses colistiers, l’attention s’est portée sur la toute relative surprise de la liste. Si on pouvait se douter qu’il n’était pas loin derrière le compte Twitter d’Olaf Rokvam, Djamel Boumaaz sort de l’ombre et occupe la troisième place de la liste en prenant également sa carte au Rassemblement National. « Du moment que Philippe Saurel est un danger potentiel pour la ville, avec son bilan exceptionnel, je continuerais à m’engager politiquement » annonce-t-il ainsi offensivement..

Il y a quelques mois, ce dernier avait joué la provocation en tapant à la porte de NousSommes. « Je n’étais pas intéressé. J’avais postulé à l’appel à candidature car ils se disent “liste citoyenne”. Je suis un citoyen lambda, j’ai donc postulé. Cela a fait polémique au sein de NousSommes car ils ne savaient pas s’il fallait maintenir cette candidature. C’était pour voir jusqu’où cette logique citoyenne allait » explique-t-il.

Loin des valeurs affichées par le mouvement, la candidature n’avait pas été prise au sérieux par les organisateurs et fut écartée rapidement. « Je les ai mis en porte-à-faux sur leur idéologie et leur mouvement citoyen qu’ils annonçaient d’ouverture. J’ai donc bien compris que NousSommes n’était pas un mouvement citoyen » conclut Djamel Boumaaz.

Borderline avec des limites

Djamel Boumaaz et Olaf Rokvam.

Djamel Boumaaz et Olaf Rokvam. (©CN)

Numéro 2 sur la liste de France Jamet en 2014, Djamel Boumaaz avait pris ses distances avec le Front National durant le mandat préférant jouer les francs-tireurs. « Il y a eu quelques accroches mais il est resté un fidèle », justifie Olaf Rokvam qui lui a posé comme condition de rejoindre le RN, « Djamel est quelqu’un de clivant. On l’aime ou on le déteste. Nous, on a beaucoup apprécié, pendant cinq mois, de travailler comme des malades ensemble ». Il y a encore quelques semaines, interrogé par les journalistes, le candidat RN se montrait plutôt réticent sur le sujet .

 

Lire aussi : Municipales / Montpellier : Olaf Rokvam a « l’intention d’être un bon maire de famille »

« Dans la vie on a le droit de faire des erreurs. J’ai fait des erreurs. Et en tant que bon “maire de famille”, il m’a pardonné » plaide Djamel Boumaaz. Olaf Rokvam se porte ainsi garant de son colistier : « Il a étudié ses erreurs et il ne refera plus les mêmes. On a le droit d’être borderline mais dans des limites à ne pas dépasser ».

Novice en politique et peu connu dans le paysage montpelliérain, la tête de liste du RN connaît la nécessité de s’entourer de personnalités qui peuvent l’aider à s’imposer : « Je crois qu’il a bien compris et qu’aujourd’hui c’est une nouvelle étape dans sa vie politique. Et moi, en tant que bon maire de famille, j’ai besoin d’avoir des gens qui savent faire de la politique comme Djamel Boumaaz et Thierry Tsagalos ». Des tempéraments qu’il va devoir sans doute devoir cadrer.

Le drapeau LGBT

Djamel Boumaaz aura multiplié les coups d’éclat durant le mandat jouant la carte de la provocation à outrance. « On peut me critiquer sur la forme, ne pas entendre le fond, mais j’ai fait pendant six ans mon boulot d’opposition face à Philippe Saurel, parfois isolé mais jusqu’au bout », défend le conseiller municipal qui a accumulé les procès. L’un d’eux a failli le mettre à terre politiquement. Après avoir été condamné en février 2019 par le tribunal correctionnel à six mois de prison avec sursis et 5 ans d’inéligibilité pour l’affaire du drapeau LGBT (ndlr : en février 2016, Djamel Boumaaz avec démâté et enterré le drapeau LGBT derrière la mairie), la cour d’appel a annulé les poursuites en juillet dernier.

« Je n’aurai pas dû l’enterrer. Je ne suis pas homophobe, je suis lobbyphobe. J’ai un vrai problème avec les lobbys. Je regrette ce geste », explique aujourd’hui Djamel Boumaaz qui en tire une leçon toute relative, « Je n’ai pas vu arriver la manipulation de l’information de mon message politique pour n’en retenir que le geste. Si je devais le refaire, je ne le referais pas de la même façon. Je m’arrêterais au démâtage et j’aurai ramené le drapeau au conseil municipal ».

Dieudonné au passé

Sa proximité avec Dieudonné ont également agité le mandat. « Je défends la liberté de penser et la liberté d’expression » martèle Djamel Boumaaz : « Je n’ai jamais soutenu Dieudonné, j’ai soutenu la liberté d’expression ». En juillet dernier, il affichait encore fièrement sa Quenelle d’or 2019, récompense créée par l’humoriste, obtenue grâce à ce geste antisystème, à connotation, lors du conseil municipal.

 

Lire aussi : Montpellier : l’élu ex FN Djamel Boumaaz fait trois quenelles en plein conseil municipal

Il clarifie la démarche : « C’est de la provocation envers Philippe Saurel. Il a annoncé qu’il portait plainte contre Dieudonné par rapport à sa quenelle (ndlr : Dieudonné avait adressé un message au maire de Montpellier lors d’un spectacle). Après vérification des dossiers, je n’ai trouvé aucune plainte. Je l’ai donc interpellé sur une affaire concernant la protection juridictionnelle des élus, dont moi je n’ai pas droit contrairement à lui, et, pour être sûr qu’il aille jusqu’au bout de son coup de communication, je lui ai fait la quenelle. Aujourd’hui il n’a toujours pas déposé plainte ».

Désormais, Djamel Boumaaz l’assure, Dieudonné « c’est du passé ».

La nécessité d’exister

Reste l’analyse froide que fait Djamel Boumaaz de son action politique : « J’ai dû exister durant ce mandat alors comment exister quand on n’est pas un peu borderline dans cette société de buzz ? On n’est plus dans une société où les gens réfléchissent en tant que citoyen. Les gens réfléchissent en tant que consommateur. On prend un produit, on consomme et on jette. J’ai existé grâce à France Jamet et au Front National parce que j’étais numéro 2. Mais pour pouvoir exister quatre ans seul, j’ai dû me masturber le cerveau. Et derrière ce que l’on appelle le buzz, il y avait un message politique. Peut-être brouillon car je ne suis pas un professionnel de la politique. Je suis un simple chauffeur de bus, ancien délégué syndical. Mais j’ai compris le fonctionnement du système ». Au point de s’inscrire dans un collectif et de délaisser la forme pour se concentrer sur le fond ? Seul l’avenir le dira.

Aujourd’hui, Djamel Boumaaz fait volontairement son mea culpa : « Si certains messages politiques ont été mal compris et que j’ai heurté des gens, je m’en excuse. Parfois, je n’ai pas pris la mesure de certains messages politiques. Je suis aussi un père de famille, je regarde mes enfants, et il faut savoir pardonner. Donc je m’en excuse et je demande aux gens de bien vouloir pardonner ces écarts qui ont heurté. Aujourd’hui, on est dans une nouvelle ère politique et on est dans un projet pour l’avenir de Montpellier ». Un nouveau Djamel Boumaaz comme une promesse de campagne.

Le Mans : la justice valide la fermeture temporaire de la discothèque après la mort d'un jeune de 19 ans

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Le jeune homme est mort à la sortie de la discothèque.

Le jeune homme est mort à la sortie de la discothèque. (©Adobe Stock)

Le juge des référés du tribunal administratif de Nantes a rejeté la requête des gérants de la société qui gère La Riviera, la discothèque du Mans (Sarthe) d’où était sorti le jeune de 19 ans qui était mort dans une chute, il y a six mois, après avoir reçu une gifle d’un ami qui voulait le « calmer ».

Suite à ces faits dramatiques, survenus le 7 septembre 2019, la société Main Events Productions avait en effet fait l’objet le 9 janvier 2020 d’une fermeture administrative d’un mois.

Mais cet arrêté préfectoral « disproportionné » a « de graves répercussions financières » sur l’entreprise, selon son avocat : elle « n’a ouvert que le 14 juin 2019 » et compte « neuf salariés », avait-il souligné devant le juge des référés pour faire suspendre en urgence la décision.

Lire aussi : Sarthe. Mort après avoir reçu une gifle de son ami en sortie de discothèque

Surtout, il avait un « doute sérieux » sur la légalité de la mesure préfectorale, dans la mesure où « l’exploitant [de la discothèque] ne peut être regardé comme ayant favorisé le comportement des mis en cause ». « La victime et son entourage n’étaient pas sous l’emprise de l’alcool à leur arrivée dans l’établissement », soutenait l’avocat. « Ils ont été rejoints par d’autres personnes et n’ont pas consommé en totalité la bouteille de vodka achetée. »

« Ils étaient arrivés bien alcoolisés voir totalement ivres »

L’avocat de la Riviera soulignait également que les faits étaient « survenus près d’une heure après leur sortie » de la discothèque, ce qui tendait selon lui à écarter tout lien de cause à effet.

Les personnes entendues par la police ont reconnu être entrées dans l’établissement bien alcoolisées, voire complètement ivres, et avoir acheté de la vodka », avait répliqué la préfecture de la Sarthe.

« L’établissement leur a offert une bouteille de vin pétillant, et a ainsi favorisé les circonstances ayant entraîné le décès. »

« Le 7 septembre 2019, à 5h11, les sapeurs-pompiers et une patrouille de police sont intervenus rue de la Galère, au Mans, afin de secourir un jeune homme de 19 ans ayant chuté sur la chaussée », rappelle d’abord la juge des référés dans son ordonnance en date du 29 janvier 2020, qui vient d’être rendue publique. « Transporté au CHU de Tours, il est décédé le lendemain. Les examens ont révélé un taux de 1,8 g d’alcool par litre de sang. »

« L’enquête a permis d’établir qu’il faisait partie d’un groupe d’amis ayant fréquenté la discothèque La Riviera, qu’ils avaient quittée à 4h14 », poursuit la magistrate. « La société (…) indique leur avoir vendu une bouteille de 1,75 litre de vodka, et non de 3 litres comme l’ont déclaré les protagonistes, et leur avoir offert une bouteille de vin pétillant correspondant à l’offre commerciale du moment. »

« Evincés de la discothèque en raison de leur imprégnation alcoolique »

Mais « il résulte de l’instruction qu’ils ont été évincés de l’établissement après 4h du matin en raison de leur imprégnation alcoolique et de leur comportement », relève aussi la juge des référés.

Compte tenu de la teneur du rapport du directeur départemental de la sécurité publique, la décision n’est pas suffisamment remise en cause (…) et est proportionnée aux risques d’atteinte à l’ordre public », en conclut-elle.

La légalité de la fermeture administrative de la discothèque – qui est désormais purgée, puisqu’elle s’appliquait entre le 15 janvier et le 15 février 2020 – sera désormais réexaminée sur le fond par le même tribunal administratif de Nantes sous douze à dix-huit mois, mais cette fois-ci par une formation collégiale de trois juges.

Si elle obtenait gain de cause, la société serait alors en droit d’introduire une requête indemnitaire contre l’Etat, afin d’être indemnisée de son manque à gagner pendant ces quatre semaines de fermeture administrative.

GF (PressPepper)

Toulouse. À la rencontre des influenceurs de la Ville rose

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Tibo Inshape, Rose.thr et c.lairdutemps : trois influenceurs toulousains dans l’air du temps !

Tibo Inshape, Rose.thr et c.lairdutemps : trois influenceurs toulousains dans l’air du temps ! (© © Alexandre Vayne’s photography/Floriane Caux)

Omniprésents sur les réseaux sociaux, et les smartphones des millennials, les influenceurs sont sollicités par les marques pour vendre des produits. Si beaucoup sont basés à Paris, certaines stars du Web sont Toulousaines.

Des stars qui dépassent la Ville rose

Au premier rang des stars du Web étiquetées Toulouse, Tibo Inshape est incontournable. Ceux qui le suivent depuis ses débuts ont pu voir son impressionnante transformation physique. Avec 6,79 millions d’abonnés sur YouTube, il est parmi les références françaises. Certaines institutions ne s’y sont pas trompées, son image a été utilisée pour faire découvrir le métier de gendarme, pompier, ou encore pour promouvoir le service civique. Dans les valeurs montantes, Rose.Thr sur Tiktok, Toulousaine elle aussi, bat des records.

Lire aussi : Après la venue de Tibo Inshape, les gendarmes de Toulouse adressent un message aux internautes

Ambassadeurs de Toulouse

Avoir des influenceurs qui publient des vidéos sur Toulouse donne une exposition à la ville. Certains influenceurs sont devenus des ambassadeurs de Toulouse, comme Clément Lazuech.

J’étais mannequin, je voyageais dans le monde entier. Les étrangers me disaient « tu es Français, j’adore Paris », je leur disais toujours que je venais de Toulouse. En rentrant, j’ai décidé de mettre à profit mes followers, pour mettre en avant ma région.

Sur son compte, il publie ses bons plans, de beaux paysages

Lire aussi : Réseaux sociaux. Le festival d’influenceurs Tubecon se déroulera au centre de congrès de Labège

Des spécialistes par domaine

Les influenceurs toulousains sont présents sur tous les domaines du Web. Ceux qui fonctionnent le mieux sont spécialisés dans un seul domaine. Avoir une spécificité leur permet aussi de toucher une cible bien précise, ce qui séduit les marques qui voudraient leur proposer un partenariat.

Attention aux dérives

Sur les réseaux, le paraître dépasse parfois le réel. Un influenceur toulousain, préférant rester anonyme, témoigne :

À une époque c’était assez facile d’acheter des abonnés. Quand on en a suffisamment, il est possible de démarcher beaucoup de marques, à travers des sites comme Octoly. Elles envoient des produits gratuits, en échange de publications sponsorisées. À Toulouse, j’ai déjà vu des instagrameurs montrer une vie de rêve sur leur page, et revendre les produits qu’ils ont eus gratuitement, juste après en avoir fait la publicité.

En 2017, un institut britannique, la Royal Society for Public Health, a publié une étude montrant qu’Instagram est le réseau le plus dangereux pour la santé mentale des jeunes.

Lire aussi : VIDEO : Harcèlement, chantage… Le Youtubeur de Toulouse Tibo InShape parle des dangers d’internet

Les influenceurs par secteur

Liste non exhaustive des influenceurs toulousains présents sur les réseaux sociaux, en particulier sur Instagram et YouTube.

 

  • Déco

Charlène Allouche : @myhomemydear

Charlène gère le compte @myhomemydear

Charlène gère le compte @myhomemydear (©@myhomemydear)

« Quand j’étais étudiante, je me disais qu’il n’y avait pas de travail dans la décoration d’intérieur. J’ai donc créé une page Instagram pour le loisir ». Aujourd’hui, elle est suivie par 25 000 abonnés. « Quand la page a commencé à fonctionner, j’ai été sollicitée par des commerçants que je connaissais pour refaire leur décoration. Plus je travaillais, plus la page avait du succès. Au final, j’ai laissé tomber mes études, pour me consacrer à 100 % à la décoration ».
24,8 k abonnés
À voir aussi :
@carpediemdeco_toulouse
@les_twolousains
@lajournee_deco_toulousaine

Lire aussi : Toulouse. Myhomemydear, la réussite d’une décoratrice d’intérieur, d’Instagram à l’espace Saint-Georges

  • Écologie

Claire et Sophie : @c.lairdu temps

Claire et Camille.

Claire et Camille. (©Floriane Caux)

@c.lairdu temps
Claire et Camille sont deux sœurs qui expliquent à leurs abonnés comment passer au zéro déchet. « Nous avons eu toutes les deux une grosse prise de conscience, explique Claire. Moi pendant ma grossesse, et ma sœur à force de voyager. Au début nous avions un blog, puis on a décidé de prolonger sur les réseaux sociaux pour gagner du temps. Nous essayons de donner des petits conseils aux gens, pour produire le moins de déchets possible ».
30,5 k abonnés
À voir aussi :
@ceci.et.cela
@jedeviensecolo

 

  • Food

Franck Ménigou : @Franckmen

L'instagrameur Franckmen.

L’instagrameur Franckmen. (©Franckmen)

« Je travaille dans la communication digitale, donc je suis arrivé très tôt sur les réseaux sociaux. Le midi comme je mangeais en ville, j’ai commencé à publier des photos de mes repas, pour partager les bonnes adresses avec mes amis. Quand je ne pouvais pas venir, ils publiaient leurs photos avec le #franckmen, depuis, des gens que je ne connais pas, font la même chose ». Franckmen partage tous ses bons plans resto, à Toulouse et aux alentours. Il a réalisé un burger pour le Tommy’s.
10,9 k abonnés
À voir aussi :
@takethepower-july spécialisée dans la nourriture équilibrée.

 

  • Sport

Tibo Inshape : @tiboinshape

Tibo Inshape

Tibo Inshape (©Alexandre Vayne’s photography)

Tibo Inshape est aujourd’hui connu sur tous les réseaux, pour ses vidéos humoristiques, avec sa copine Jujufitcats, ou ses partenariats. À l’origine, c’est grâce au sport qu’il a été reconnu, en particulier la musculation. Ses fans ont pu suivre au quotidien sa transformation physique, avec des vidéos à la salle de sport, et des conseils pour prendre de la masse. Il est un des premiers influenceurs à avoir lancé cette tendance, aujourd’hui très répandue.
3,4 m abonnés
À voir aussi :
@kimy_fit
@Marieemiliemontagut

 

  • Télé réalité

Jesta Hillman @jesta_hillman

Jesta Hillman, finaliste de la seizième édition de Koh-Lanta.

Jesta Hillman, finaliste de la seizième édition de Koh-Lanta. (©@jesta_hillman)

Depuis l’émission Loft Story, les participants aux émissions de télé réalité sont devenus des stars. Dans ces émissions, les téléspectateurs suivent ces jeunes au quotidien. Quand l’émission se termine, ils peuvent maintenant les suivre dans leurs activités sur les réseaux sociaux. Les influenceurs TV réalité sont très prisés par les marques pour présenter leurs produits, en particulier sur Snapchat. Finaliste de la 16e édition de l’émission Koh Lanta, Jesta Hillman cartonne sur Instagram, où elle partage des photos de sa famille, avec son mari Benoit Assadi. Elle aussi très suivie sur Snapchat.
1,1 M abonnés
À voir aussi :
@benoit.assadi
@gabano_officiel
@corentinalbertini_off

Lire aussi : Toulouse. Quand Jesta, l’ancienne candidate de Koh-Lanta, charge les internautes qui critiquent son bébé

  • Lifestyle

Clément Lazuech : @clementlazuech

La star d'Instagram Clément Lazuech.

La star d’Instagram Clément Lazuech. (©@clementlazuech)

« Je me suis rendu compte que les étrangers ne connaissaient que Paris. Fier de mes origines, j’essaye tout le temps de mettre Toulouse en avant ». Les influenceurs lifestyle sont les spécialistes du touche-à-tout, voyages, mode, bons plans… Ils ne se limitent pas à une seule activité. Contrairement à des spécialistes d’un secteur, ils mettent en avant leur personnalité pour séduire le public. Non spécialisés, ils ont quand même leurs spécificités, Clément Lazuech est fan de sport, alors que Léa Camilleri s’engage pour l’écologie, et Benjcrs un passionné de photographie.
203 k abonnés
À voir aussi :
@leacamilleri
@benjcrs

Lire aussi : La youtubeuse Léa Camilleri vous fait redécouvrir Toulouse en vidéo et avec humour

  • Mode

Céline @lesfutiles

Céline, qui gère le compte Instagram @lesfutiles

Céline, qui gère le compte Instagram @lesfutiles (©@lesfutiles)

C’est l’un des secteurs où il y a le plus de concurrence sur Instagram. À Toulouse, Céline, connue sous le nom de @lesfutiles, maman de deux enfants, publie quotidiennement ses looks branchés et tendances. Comme toutes les influenceuses mode, elle cite toutes les marques des vêtements qu’elle porte, afin que ses fans puissent trouver la même pièce. En plus de son côté instagrameuse, Céline est aussi une créatrice de bijoux. Les influenceuses mode ont la cote. Le centre commercial de Labège organise une battle des influenceuses jusqu’au 22 février.
245 k abonnés
À voir aussi :
@alinementvotre
@lapetitefrenchie

 

  • Les historiques

Antoine Daniel : @mr.antoine daniel , réalisateur de What The Cut ? ! 

Antoine Daniel a cartonné pendant des années avec sa Web TV "What the cut".

Antoine Daniel a cartonné pendant des années avec sa Web TV What The Cut ? !. (©@mr.antoinedaniel)

Le Toulousain Antoine Daniel a été une des premières stars du Web en France. Dès 2012, il publie ses vidéos sur sa chaîne YouTube What The Cut ? ! Courtes et efficaces, il y présente des pépites d’internet à ses fans. Entre 2012 et 2016, il publie 70 vidéos, avec un énorme succès à la clef. La plus visionnée affiche 26 millions de vues. Peu à peu, il s’est mis en retrait des réseaux sociaux, dénonçant la course à l’argent et à la célébrité. Depuis 2016, il a promis à ses fans de réaliser un dernier épisode de son émission phare, ils l’attendent toujours.
2,85 M abonnés sur YouTube
À voir aussi :
Manon Bril, réalisatrice de la chaîne C’est une autre histoire sur YouTube, s’est fait connaître lorsqu’elle vivait à Toulouse.

D’autres influenceurs peuvent être cités dans la catégorie :

Maxime Noix

Municipales 2020 : Sylvain Bonenfant espère succéder à Alain Fontaine, maire de Caumont

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Deux listes devraient s'affronter lors des prochaines élections municipales à Caumont. L'une sera conduite par Sylvain Bonenfant (au centre).

Deux listes devraient s’affronter lors des prochaines élections municipales à Caumont (Eure). L’une sera conduite par Sylvain Bonenfant (au centre). (©Liste Sylvain Bonenfant)

Soutenu par le maire sortant qui ne se représente pas, Alain Fontaine, Sylvain Bonenfant est candidat aux prochaines élections municipales à Caumont (Eure). L’adjoint au maire conduira une liste de 15 colistiers (plus de suppléants) dont cinq conseillers sortants. « Je travaille depuis 9 mois avec cette nouvelle équipe et nous avons élaboré un programme pour la mandature 2020-2026. Cette association de femmes et d’hommes, venant de tous horizons professionnels, n’est porteuse d’aucune étiquette politique », annonce le candidat.

Dans son programme, Sylvain Bonenfant souhaite préserver l’identité de sa commune. Il est opposé à toute fusion avec d’autres communes voisines :

« Aucun mariage ni rapprochement ne sont envisageables. Nous avons la chance de vivre sur une commune riche en patrimoine et en histoire. »

Il développe les grandes lignes inscrites qu’il défendra pendant la campagne : « Il est obligatoire que nous puissions réussir ensemble et solidairement les transitions écologiques et numériques. Des actions importantes seront tournées vers l’enfance et vers les seniors. La sécurité et l’environnement resteront des objectifs primordiaux. Nous continuerons à veiller à l’entretien et à la réfection des routes, qui sont souvent du domaine de la Communauté de communes et du Département. Nous ne saurons atteindre ces objectifs sans une gestion stricte des finances de la commune. »

Liste des candidats

Sylvain Bonenfant (tête de liste, au centre de la photo), directeur de la sûreté et de la sécurité ; Maria Dufroy, chef d’entreprise retraitée ; Gilles Blomme, ingénieur de la fonction technique territoriale retraité ; Carole Gascoin, responsable comptable à la CCI de Rouen ; Xavier Morvan, directeur des centres régionaux de la propriété forestière ; Annette Demoget, gestionnaire infrastructures SAPN ; Jean-Michel Maupin, gérant société immobilière, retraité ; Marion Brion, docteur en pharmacie ; Xavier Leroy, directeur travaux publics ; Pascale Gogol, assistante de direction, retraitée ; Jean-Pierre Toutain, responsable service qualité, retraité ; Barbara Le Trividic, juriste responsable de département CARSAT ; Sébastien Pignot, sapeur-pompier professionnel ; Carole Molina, artiste peintre et sculpteur ; Daniel Pollet, dirigeant associé, retraité ; Christiane Jouin, retraitée de la fonction publique ; Philippe Marseille, responsable achats et informatique.

En cliquant sur ce lien, retrouvez les autres candidatures dans le secteur de Pont-Audemer.

Lire aussi : Municipales 2020 : le maire de Caumont, Alain Fontaine, ne se représente pas


Saint-Nazaire : Oriane Descout a réalisé un film sur sa vie alternative au Brésil

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Oriane et Marreco plantent sur la propriété collective

Oriane et Marreco plantent sur la propriété collective (©DR)

Jeune réalisatrice originaire de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), Oriane Descout a trouvé son eldorado au sud-est du Brésil, à 250 km de Rio de Janeiro. Mais loin des plages, au fin fond de la campagne. Sur les terres où elle vit désormais avec son compagnon, Marreco, et bientôt leur fille, née il y a un mois… à Saint-Nazaire.

Vie alternative au Brésil

Anahi a vu le jour quelques mois après Château de terre (Castello do tierra en brésilien), le premier « bébé » de la Nazairienne. Son tout premier long-métrage. Dans ce documentaire d’1 h 35, Oriane Descout raconte l’histoire de la construction d’une vie alternative dans la campagne brésilienne. De manière subjective et engagée puisqu’il s’agit de sa propre histoire, depuis son arrivée sur place en 2012 jusqu’à aujourd’hui.

Changement de vie

Lors de vacances au Brésil, en 2011 Oriane rencontre Marreco, formé à l’agro-écologie et responsable d’un éco-village qui accueille des woofers (*). Guidé par le rêve de la création d’une utopie anticapitaliste et de la construction de sa propre maison en terre, le couple tente d’intégrer une communauté basée sur l’auto-gestion et un mode de vie autosuffisant.

Dès le départ, la jeune (32 ans aujourd’hui) réalisatrice a décidé de filmer cette aventure.

Je voulais raconter un changement de vie un peu radical, quelqu’un qui quitte la France pour un trou paumé du Brésil, avec un rythme de vie complètement différent. Montrer que ce changement est possible, mais de manière réaliste, sans cacher les difficultés ».

La problématique de la propriété de la terre

Durant toutes ces années, le couple va rencontrer des défis, notamment celui de la propriété de la terre. Une problématique illustrée au Brésil par le mouvement des sans-terre, une organisation populaire qui milite pour que les paysans brésiliens ne possédant pas de terre, disposent de terrains pour pouvoir cultiver. En toile de fond du documentaire, la situation politique est abordée.

Lire aussi : Saint-Nazaire : les anciens Irréductibles iront bien au Printemps de Bourges

Après deux tentatives avortées d’intégrer une communauté, Oriane et Marreco finissent par acheter, avec un autre couple, quatre hectares de terre. Trois de forêt, le reste de prairie.

Tout était en pente. Il a fallu niveler l’espace, installer l’eau, construire la cabane collective et la maison, installer l’électricité ».

Mais aussi rendre la terre – acide et pleine de fourmis – cultivable. Petit à petit, la communauté autour d’eux s’élargit.

Huit couples ont acheté un terrain à côté du nôtre ».

Filmé au caméscope

Oriane a tout filmé avec un petit caméscope et un bon micro.

J’avais des centaines d’heures de rush. Je me suis fait aider par une scénariste brésilienne. On a tout réorganisé ».

Il restait encore… 19 h quand la Nazairienne a atterri à Strasbourg – où se trouve la société qui produit le film en France – pour finir le montage. Des scènes d’animation, dessinées par Marreco, ont été superposées aux images filmées, pour symboliser les rêves et les angoisses du couple. La bande-son, faite de percussions, de violon et de flûte lors de moment souvent improvisés, est également « fait-maison »

Oriane et Marreco ont construit eux-mêmes leur maison en terre

Oriane et Marreco ont construit eux-mêmes leur maison en terre (©DR)

Au Ciné Malouine ce dimanche

Le film a été terminé en septembre. Après une avant-première en Alsace, la réalisatrice a sollicité les salles associatives de sa région natale. Xavier Herveau, programmateur de Ciné Malouine, a sauté sur l’aubaine. Château de terre sera diffusé ce dimanche 1er mars en fin d’après-midi. Oriane Descout se tiendra à disposition des spectateurs pour échanger autour du film.

Fin mars, début avril, Oriane va retourner en Amérique latine avec un nouveau projet dans les cartons.

Une série télé sur les femmes de la campagne au Brésil, très engagées autour de l’agro-écologie ».

 

Utile : Château de terre, dimanche 1er mars à 18 h au Ciné Malouine à Saint-Malo-de-Guersac, en présence de la réalisatrice.

 

(*) le woofing consiste à travailler au sein d’une ferme biologique en échange du gîte et du couvert, sur une courte ou plus longue durée, de quelques jours à quelques mois).

Lire aussi : Télévision : Batz-sur-Mer finaliste de l’émission le Village préféré des Français animée par Stéphane Bern

Jeu : les Archives de Brest en questions (35)

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(©Tous droits réservés Archives de Brest)

Les Archives de Brest et Côté Brest vous proposent un jeu sur l’histoire de Brest. Une manière ludique de redécouvrir la ville.
Voici la 35e question du jeu.

Question n°35

Une école a été édifiée à Recouvrance pour éduquer les jeunes filles. Sur quel terrain le bâtiment a-t-il été construit ?

Pour trouver la solution, enquêtez à la salle de lecture du service des Archives (1, rue Jean-Foucher, du lundi au mercredi de 9h à 12h et de 13h à 17h).
Donnez votre réponse à l’agent d’accueil et recevez un cadeau en échange.

Lire aussi : Jeu : les Archives de Brest en questions (34)

Réponse à la question n°34

La question n°34 posée dans Côté Brest n°350 (19 au 25 février 2020) était :
Au XVIIIe siècle, l’éducation des enfants, surtout pauvres, est inexistante. La communauté se préoccupe de l’organisation d’une école publique et gratuite. L’initiative de l’ouverture d’une école gratuite pour les plus déshérités est prise par Jean-Louis de Hennot. L’école des garçons ouvre le 14 mars 1746. L’enseignement est confié aux frères de la Doctrine chrétienne. La Révolution entraîne la constitution civile du clergé, le conseil général de commune décide le renvoi des frères et l’école ferme en 1791. En 1880, M. Bergot prend la direction de l’école communale. Où se trouvait cette école ?

La réponse : L’école se trouvait rue Charbonnière, qui sera la future rue Monge.

Lire aussi : Jeu : les Archives de Brest en questions (33)

Infos pratiques :
Du lundi au mercredi de 9h à 12h et de 13h à 17h, 1 rue Jean-Foucher à Brest.
https://archives.brest.fr

Boxe. Onze combats dont quatre professionnels à l'hippodrome de Cabourg

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Abdoulaye Diane est l'un des boxeurs vedettes de la DN Challenge.

Abdoulaye Diane est l’un des boxeurs vedettes de la DN Challenge. (©Le Pays d’Auge)

L’hippodrome de Cabourg va donc revêtir ses habits de lumière pour une grande soirée de boxe. En effet, ce samedi 29 février 2020 à partir de 20 heures, Davide Nicotra et son équipe ont concocté un grand gala de boxe qui s’articule autour de quatre combats professionnels.

Comme à Deauville il y a quelques semaines, les deux fleurons de la DN Challenge seront sur le ring. Dylan Colin, qui ne cesse d’avaler les combats et les victoires… six victoires en six combats, sera opposé à Serhii Zhuck. Face à un boxeur ukrainien, qui compte quasiment deux fois plus de combats, Dylan Colin va vivre la soirée au rythme d’un nouveau test d’envergure.

Le combat de Dylan Colin, qui débutera à 22 h 30, précédera celui d’Aboulaye Diane… dont le début du combat est programmé à 23 heures. Aboulaye Diane est, depuis un peu plus de deux ans, l’un des fers de lance de la DN Challenge. Dans un combat de huit fois trois minutes, Aboulaye Diane, 13 victoires, un nul, et une défaite en 15 combats, sera opposé à un adversaire qui n’a toujours pas connu la défaite : Michal Plesnik. Plus embêtant encore pour Aboulaye Diane, il a gagné six de ses sept combats par KO.

Deux autres combats professionnels sont au programme de la soirée. Le premier opposera, en début de soirée, Rima Ayadi (1-0-0) 6×2 à Karina Kopinska (Pologne 13-31-4). Le second, à 21h15, Mevy Boufoudi (2-0-0) 6×3 à Afonin Siarhei (Biélorussie 5-16-3). Sept combats amateurs compléteront l’affiche de la soirée.

Pratique

La DN challenge, déjà très active à Deauville et Trouville, sera à Cabourg ce samedi à 20 heures. Quatre combats professionnels seront au menu de la soirée, mais aussi sept combats amateurs élite.

Pratique : Tarifs : 20 €, zone ring 45 €. Réservations sur www.ticketmaster.fr et aux magasins Auchan, Cora, Leclerc, Furet du Nord. Réservations téléphoniques : 0 892 390 100.

Vidéo : La soirée retransmise via facebook : direct@streaming.

Municipales 2020 : qui sont les colistiers de François Ouzilleau et Sébastien Lecornu à Vernon ?

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A Vernon (Eure), François Ouzilleau, maire sortant, et Sébastien Lecornu, premier adjoint, ont présenté leurs colistiers.

A Vernon (Eure), François Ouzilleau, maire sortant, et Sébastien Lecornu, premier adjoint, ont présenté leurs colistiers. (©Le Démocrate vernonnais)

C’est dans un restaurant de Vernon plein à craquer que François Ouzilleau, maire sortant, et Sébastien Lecornu maire-adjoint, ont présenté leur programme, Vernon mérite toujours mieux, et leurs colistiers.

La crainte de l’abstention

L’exercice avait aussi pour but de « mobiliser ». « Aucun scrutin n’est gagné d’avance. Il n’y a rien de pire pour des sortants que d’être dans l’embourgeoisement. Nous gardons la même humilité qu’en 2014 », a souligne Sébastien Lecornu.

« Il ne faut pas s’arrêter au milieu du gué, on est sur une ligne de crête. L’important c’est de transformer l’essai », a pour sa part expliqué François Ouzilleau.

A Sébastien Lecornu la tâche de parler politique :  » En 2014, il y avait une vraie dynamique de projets. Aujourd’hui, notre liste est la seule à parler de Vernon. Sur nos affiches, on l’affirme : On aime Vernon, et vous? La question est de savoir si on arrête la dynamique lancée ou si on prend le risque de repartir en arrière. Il faut être réélus avec un score clair. Vous êtes des militants de votre ville ».

A François Ouzilleau le soin de détailler le programme : « Ce prochain mandat, si on est élus, sera tourné vers le quotidien. Après avoir redonner de l’attractivité à Vernon, on va s’occuper des Vernonnais. Après avoir s’être occupés des friches, des berges de Seine, du LRBA, on va parler sécurité, doubler la vidéo-protection et lutter contre les incivilités. On n’oubliera aucun quartier. On va rénover des écoles et s’engager à mieux accompagner les élèves en situation de handicap. Le tout sans augmenter les impôts« . 

Lire aussi : Municipales 2020 à Vernon : Sébastien Lecornu ne sera pas tête de liste

Une liste renouvelée  à 65%

Comme l’avait annoncé Sébastien Lecornu, la liste présentée ce matin est renouvelée à 65% par rapport à l’équipe sortante. Elle est composée de 24 nouveaux candidats, 19 hommes et 18 femmes. Parmi les nouveaux venus, on peut citer Evelyne Hornaert, présidente de la section tennis de table du SPN ; Christopher Lenoury, éducateur sportif ; Paola Vanegas, membre du Cese, Eric Fauque, proviseur du lycée Dumézil  ou encore Gaël Musquet, hacker éthique et Lydie Brioult, commissaire priseur à Vernon.

La moyenne d’âge est de 46 ans. Les dix premières places de la liste sont réservées à des élus sortants.

La liste Générations Vernon                                                                                                                                                                                                                                    1. François Ouzilleau ; 2. Léocadie Zinzou ; 3. Sébastien Lecornu ; 4. Juliette Rouilloux-Sicre ; 5. Johan Auvray ; 6. Dominique Morin ; 7. Jérôme Grenier ; 8. Nicole Balmary ; 9. Hervé Herry ; 10. Catherine Delalande ; 11. Christopher Lenoury ; 12. Evelyne Hornaert ; 13. Titouan d’Hervé ; 14. Patricia Daumarie ; 15. Yves Etienne ; 16. Sylvie Graffin ; 17. Youssef Saukret ; 18. Paola Vanegas ; 19. Antoine Richard ; 20. Marie-Christine Ginestière ; 21. Denis Aïm ; 22. Zahia Gasmi ; 23. Olivier Vanbelle ; 24. Marjorie Hardy ; 25. Jean-Marie M’Belo ; 26. Lydie Brioult ; 27. Raphaël Aubert ; 28. Nathalie Chesnais ; 29. Eric Fauque ; 30. Blandine Ripert ; 31. Pierre Franceschina ; 32. Heidi Deseau ; 33. Maxence Demaine ; 34. Isabelle Béduchaud ;  35. Gaël Musquet ; 36. Gilda Perret et 37. Thierry Delaporte.

A Vernon (Eure), François Ouzilleau, maire sortant, et Sébastien Lecornu, premier adjoint, ont présenté leurs colistiers.

A Vernon (Eure), François Ouzilleau, maire sortant, et Sébastien Lecornu, premier adjoint, ont présenté leurs colistiers. (©Le Démocrate vernonnais)

Futsal. Opposé à l'un des gros clubs français, Hérouville se jauge en Coupe de France

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Eddy Franchet est le dernier rempart d'Hérouville Futsal.

Eddy Franchet est le dernier rempart d’Hérouville Futsal. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Que vaudrait Hérouville Futsal, largement dominateur en deuxième division, s’il évoluait cette saison parmi l’élite ? La Coupe de France va permettre de donner des éléments de réponse, dès ce samedi 29 février 2020. En seizième de finale de la compétition, le leader invaincu de D2 a hérité de l’avant-dernier de D1.

Lire aussi : Futsal. Hérouville veut surfer sur la vague, le SM Caen y voit « un vrai sujet »

Six internationaux en face

Le Kremlin-Bicêtre n’est pourtant pas un relégable comme les autres. Sans ses 16 points de pénalité reçus en début de saison, les Parisiens seraient quatrièmes avec des matchs de retard. Eddy Franchet, le gardien d’Hérouville :

C’est une des grosses écuries françaises avec six internationaux. On est tous contents de jouer ce match !

Hérouville s’attend à « un match de gala », près de dix ans après une demi-finale de Coupe de France. « Il y a de l’excitation mais la priorité reste le championnat, alors que la coupe est sûrement un objectif important pour eux. » 

Le cœur fera la différence

Malgré l’écart de niveau, aucun complexe n’est prévu. « On a une carte à jouer, assure Eddy Franchet. On n’a pas perdu chez nous depuis près d’un an et demi. Évoluer à domicile va être un vrai plus. » La « fête » promet d’être belle, mais HF se « jaugera » en plus de tenter d’accéder aux huitièmes de finale. 

C’est le meilleur dans le combat qui gagnera. La coupe se joue au cœur. Et même si on s’engueule sur le terrain, on est toujours ensemble.

Buteur la semaine dernière d’une demi-volée alors que le gardien adverse avait dégagé sa cage, Eddy Franchet sait qu’il aura beaucoup de travail sous les coups de 16h00. Il sera un atout majeur de sa formation.

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