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Originaire de l'Eure, Olivier Lachenaud est à la tête des Campings Paradis

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Le fameux porche d'entrée des Camping Paradis.

Le fameux porche d’entrée des Camping Paradis. (©JLA Productions)

Le porche d’entrée, le polo ou la chemisette bleu, la voiturette de golf, la bonne humeur, la bienveillance et l’enthousiasme perpétuels, les animations et la fameuse « Fiesta Boom Boom ». Les fans de la série auront reconnu les éléments incontournables de tout épisode de Camping Paradis.

Diffusée depuis 2006 sur TF1, la série est suivie par près de 5 millions de téléspectateurs. Autant de clients potentiels pour la nouvelle chaîne de campings inspirée du programme télévisé.

Lire aussi : Camping Paradis : 12 établissements inspirés de la série de TF1 vont ouvrir en France

Codes graphiques

A partir du mois d’avril 2020, une douzaine d’établissements ouvrira ses portes avec tout ce qui fait l’image de Camping Paradis. « L’univers de la série sera repris dans les codes graphiques, les tenues du personnel, dans le fait qu’on favorisera la proximité, la convivialité, le partage, mais on met aussi une série d’animations spécifiques. Il y aura une animation sur toute la saison, et pas seulement en juillet-août », annonce Olivier Lachenaud, directeur général du réseau Camping Paradis.

Avec les co-fondateurs, Martine Granier et Frédérick Gers, il a voulu « créer un contenu spécifique, un concept de vacances, une promesse de positionnement et de contenu pour une clientèle en recherche de camping à taille familiale, convivial et authentique ».

Choisis « avec exigence », les propriétaires de campings ne verront pas leurs établissements défigurés :

On ne reconstruit pas, on ne dénature pas des établissements qui fonctionnaient correctement. On rajoute des couches, de services, de scénographie…

Football et groupe de rock

Après une jeunesse passée près de Bernay, Olivier Lachenaud s'est lancé dans le tourisme. Il dirige aujourd'hui le réseau d'affiliation Campings Paradis.

Après une jeunesse passée près de Bernay, Olivier Lachenaud s’est lancé dans le tourisme. Il dirige aujourd’hui le réseau d’affiliation Campings Paradis. (©DR)

Les campings sélectionnés (« L’objectif est d’arriver entre 80 et 200 campings à terme, sur 3-4 ans ») seront de taille moyenne, entre 130 et 300 emplacements. Ils se situeront « dans les endroits principaux des grands lieux de tourisme ».

Olivier Lachenaud espère bien que la Normandie en fera partie. Et pour cause : avant de quitter la région à l’âge de 25 ans (il en a aujourd’hui 52), il a passé enfance et jeunesse dans les environs de Bernay (Eure), où il est né. C’est à Fontaine-la-Soret qu’il a longtemps traîné ses guêtres, un village où son père, Michel, était instituteur, « et secrétaire de mairie ».

Ecole à Fontaine, collège à Brionne, lycée à Bernay (Fresnel), Olivier Lachenaud se souvient avoir joué pendant 20 ans au football au club de Serquigny-Nassandres. « J’ai aussi parcouru les salles des fêtes du coin avec mon groupe de rock, Easylover, de 1984 à 1988 environ », se souvient celui qui tenait les claviers. Un groupe dont le guitariste n’est pas non plus un inconnu, puisqu’il s’agit de Nicolas Bravin, qui accompagne Louis Bertignac depuis de nombreuses années. « On joue encore ensemble de temps en temps », souligne Olivier Lachenaud.

Après Bernay et ses environs, c’est à Rouen et Lille que ce dernier a poursuivi ses études, avant de commencer sa carrière professionnelle dans le tourisme et de connaître un certain succès. « J’ai dirigé une agence de voyages de 94 à 98, Anyway, devenue Expédia, puis j’ai commencé à créer mes propres structures. A 30 ans, j’ai lancé l’activité voyages de plusieurs distributeurs, puis Tati Vacances et une chaîne hôtelière », déroule-t-il.

En 2009, Olivier Lachenaud créait ce qui allait devenir le leader européen de la distribution de campings, le site campings.com, qu’il a quitté il y a quelques mois pour rejoindre l’aventure Camping Paradis. Avec optimisme :

On a déployé le concept chez des gens persuadés de son bien-fondé. C’est une marque qui a une notoriété forte et le camping est un énorme marché.

De quoi faire bientôt une bonne « fiesta ».

Lire aussi : Nicolas Bravin, portrait d’un Brionnais devenu guitariste de Louis Bertignac


Gironde. Circulation : les contrôles routiers sont renforcés pour les vacances d’hiver

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Policiers et gendarmes vont contrôler tout particulièrement, la vitesse, l’alcoolémie, l’usage de stupéfiants et les comportements dangereux.

Policiers et gendarmes vont contrôler tout particulièrement, la vitesse, l’alcoolémie, l’usage de stupéfiants et les comportements dangereux. (©Le républicain Sud-Gironde – Illustration)

Les forces de l’ordre vont renforcer ce week-end du 21 au 23 février 2020 les contrôles sur l’ensemble du réseau routier à l’occasion des départs en vacances d’hiver et d’assurer une présence visible sur les routes pendant toute la période des congés scolaires.

Fabienne Buccio, préfète de la Gironde, a demandé aux policiers, gendarmes et compagnie républicaine de sécurité (CRS) de se mobiliser pour lutter contre les comportements accidentogènes.

Vitesse, alcool, téléphone au volant…

Les policiers et gendarmes contrôleront, tout particulièrement, la vitesse, l’alcoolémie, l’usage de stupéfiants et les comportements dangereux (dépassement dangereux, défaut de ceinture, surcharge du véhicule, téléphone…) tant sur le réseau autoroutier et les axes principaux, que sur les axes secondaires du département.

Lire aussi : En Gironde, plus de 160 excès de vitesse relevés par la gendarmerie le week-end dernier

11 décès sur les routes depuis le début de l’année

Depuis le début de l’année, 11 personnes sont décédées sur les routes de Gironde, dont deux sur la seule journée du jeudi 20 février 2020.

Sur la même période, 157 personnes ont été blessées et hospitalisées à la suite d’accident de la circulation.

Lire aussi : Gironde. Un rodéo sauvage à moto au milieu de la forêt à Portets

La préfète appelle les conducteurs à la prudence et au strict respect du code de la route.

Elections municipales 2020. Marie-Laure Denis présente sa liste « Vivre Gacé ensemble »

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Au 1er rang de gauche à droite : Martine Pinçon, Jean-Yves Taupin, Marie-Chantal Génin, Sébastien Halluin, Marie-Laure Denis, Denis Bouvry, Sandrine Libercier, Claude Coupé, Nathalie Pollet - Au 2e rang : Michaël Raffin, Adeline Jumel, Hervé Matyniak, Michèle Clavreul, Michel Martin, Chantal Libert, Michel Chollet, Christina Daniel, Didier Dutheil, Céline Lecointre

Au 1er rang de gauche à droite : Martine Pinçon, Jean-Yves Taupin, Marie-Chantal Génin, Sébastien Halluin, Marie-Laure Denis, Denis Bouvry, Sandrine Libercier, Claude Coupé, Nathalie Pollet – Au 2e rang : Michaël Raffin, Adeline Jumel, Hervé Matyniak, Michèle Clavreul, Michel Martin, Chantal Libert, Michel Chollet, Christina Daniel, Didier Dutheil, Céline Lecointre (©ML Denis)

Initialement, Marie-Laure Denis, âgée de 59 ans, avait prévu de repartir sur la liste du maire sortant de Gacé (Orne) François Dreux avec deux autres conseillers, lorsque celui-ci a finalement jeté l’éponge fin novembre.

Après un temps de réflexion, j’ai décidé de me présenter, très motivée à continuer ».

Les conseillers municipaux Sébastien Halluin et Marie-Chantal Génin la suivent dans l’aventure et la liste composée de 19 candidats se forme rapidement. Tous ensemble, ils déterminent leur programme. « C’est une proposition et une rédaction collégiales », assure-t-elle. « On a aimé l’esprit participatif, consultatif et à l’écoute de Marie-Laure », soulignent ces colistiers, ajoutant que « l’important, c’est de rester collectif ».

Neuf grandes thématiques

L’équipe de « Vivre Gacé ensemble » s’est réunie autour d’un « projet ambitieux d’améliorer la qualité et le cadre de vie de tous les habitants de Gacé ».

Lire aussi : Elections municipales. Le maire de Gacé, François Dreux, jette l’éponge avec amertume

Leur programme s’articule autour de neuf grandes thématiques : innover en matière d’environnement et d’aménagements urbains, créer une dynamique en faveur des commerces et des entreprises, prévenir et soutenir les liens sociaux, soutenir le tissu associatif, culturel et sportif, élargir l’offre de soins, favoriser la citoyenneté, améliorer la sécurité, être acteur au sein de la Communauté de communes des vallées d’Auge et du Merlerault, et bien sûr, finaliser les projets municipaux en cours (nouvelle gendarmerie, lotissement de la Malardière, city park, dénomination et numérotation des voies de la commune).

Recréer du lien

Prioritairement, Marie-Laure Denis et ses colistiers souhaitent réhabiliter et donner une nouvelle vie aux bâtiments communaux vacants ou énergivores tels l’ancienne école maternelle, place de la Mairie ; redonner de l’attractivité au centre-ville en apportant un soutien à de nouvelles installations, en revitalisant le marché hebdomadaire ou encore en favorisant des initiatives innovantes comme l’installation de boutiques éphémères ; aménager des logements adaptés à destination des personnes âgées « afin de rompre l’isolement de nos aînés ».

Parmi leurs nombreux projets, ils souhaitent mettre en place un référent par quartier afin de recréer du lien entre les habitants, aménager des voies cyclables, repenser la collecte des ordures ménagères, réaménager l’espace autour de la fontaine de la Dame aux camélias, mettre les associations et surtout les bénévoles plus souvent à l’honneur, repenser la sécurité routière, mettre en œuvre le protocole de « participation citoyenne » engagé mais jamais officialisé avec la gendarmerie, poursuivre sur Gacé la dynamique culturelle communautaire et départementale, être à l’écoute des propositions des Gacéens, associer les jeunes à des actions innovantes, favoriser la communication ou encore être ouverts aux propositions nouvelles permettant d’améliorer l’offre médicale et paramédicale sur Gacé. Tous ces projets devront cependant s’inscrire dans un budget contraint, l’équipe promettant « de ne pas augmenter le poids de la fiscalité. On reste réalistes et les pieds sur terre ».

Lire aussi : Elections municipales 2020. Sébastien Courteille est candidat à la mairie de Gacé

« La création d’une commune nouvelle est dans nos projets », annonce également Marie-Laure Denis mais souligne que cela ne pourra évidemment se faire qu’après une large concertation avec les communes alentour.

Force de proposition

Quant à son rôle au sein de la Communauté de communes des vallées d’Auge et du Merlerault, la tête de liste précise qu’elle ne briguera ni la présidence ni une vice-présidence : « je veux me concentrer sur son mandat de maire ». Pour autant, elle estime que « nous devrons être présents dans chaque commission pour être une force de proposition lors des décisions communautaires ».

Lire aussi : Elections municipales. Jean Grimbert, candidat avec « Un nouveau souffle pour Gacé »

La liste « Vivre Gacé ensemble » résume son credo par une pensée de Socrate :

Le secret du changement, c’est de concentrer toute son énergie non pas à lutter contre le passé mais à construire l’avenir ».

Les 19 candidats de la liste « Vivre Gacé ensemble »
1. Marie-Laure Denis, secrétaire, maire-adjointe, 59 ans. 2. Sébastien Halluin, aide médico-psychologique, conseiller, 51 ans. 3. Marie-Chantal Génin, pharmacienne retraitée, conseillère, 66 ans. 4. Denis Bouvry, employé territorial, 59 ans. 5. Sandrine Libercier, responsable contrôle qualité, 47 ans. 6. Claude Coupé, facteur, 44 ans. 7. Céline Lecointre, secrétaire, 33 ans. 8. Michaël Raffin, technicien itinérant industriel, 50 ans. 9. Chantal Libert, aide à domicile, 58 ans. 10. Michel Martin, cadre territorial retraité, 72 ans. 11. Nathalie Pollet, professeur du second degré, 42 ans. 12. Jean-Yves Taupin, chef d’entreprise retraité, 64 ans. 13. Martine Pinçon, secrétaire retraitée, 66 ans. 14. Hervé Matyniak, responsable qualité, 49 ans. 15. Michèle Clavreul, professeure des écoles, 54 ans. 16. Michel Chollet, inséminateur retraité, 74 ans. 17. Adeline Jumel, chargée de mission « Fonds européen », 39 ans. 18. Didier Dutheil, agent de la fonction publique retraitée, 73 ans. 19. Christina Daniel, chef d’entreprise, 44 ans.

Pratique
Facebook : vivregaceensemble2020

Près de Fougères, l'Open de France de dodgeball ce week-end

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Quatre équipes de France seront présentes à Javené

Quatre équipes de France seront présentes à Javené, près de Fougères (©Archives Chronique Républicaine).

Les Hermines de Fougères organisent, samedi 22 et dimanche 23 février, l’Open de France à Javené, près de Fougères.

Lire aussi : Fougères : ça vous dit d’essayer le dodgeball ?

Cette compétition de dodgeball, version sportive de la balle aux prisonniers, regroupera quatre catégories : les équipes minimes, femmes, mixtes et open.

Trois Fougerais chez les Bleus

Tous les clubs de France seront présents, ainsi que les quatre équipes de France afin de préparer l’Euro 2020 au Pays-Bas. Cette année, trois jeunes espoirs de Fougères seront en équipe de France.

Buvette et restauration sur place, entrée gratuite. Salle des Sports de Javené, de 10h à 18h. Renseignements : 07.66.17.18.35.

Automobile. Huit anciens vainqueurs au départ du 50e rallye de la Côte Fleurie

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Stéphane Pustelnik, vainqueur en 2000 et 2003.

Stéphane Pustelnik, vainqueur en 2000 et 2003. (©Le Pays d’Auge)

Laurent Sénécal (2001, 2006 et 2008)

Laurent Sénécal sera l’ouvreur de luxe de la version moderne du rallye de la Côte Fleurie. Vainqueur à trois reprises en 2001, 2006 et 2008, Laurent Sénécal fait partie des enfants du pays, du rallye de la Côte Fleurie et, forcément, il sera attendu sur les routes du 50e rallye de la Côte Fleurie.

Jean-Michel Guégan (1983 et 1987)

Organisateur du rallye, Jean-Michel Guégan endossera sa combinaison de pilote. Vainqueur en 1983 et 1987, Jean-Michel Guégan n’a plus roulé en rallye depuis 2015. Il sera le seul à évoluer dans la catégrie des véhicules historiques.

Eric Brunson (2011, 12, 13, 14, 15, 17, 19)

Vainqueur l’an dernier pour la septième fois, Eric Brunson a égalé le fabuleux record de Joseph Bourdon. Il sera, cette année encore, un candidat à la victoire. Il sera au départ du 50e rallye de la Côte Fleurie pour être le premier pilote à huit victoires.

Hervé Knapic (1971 et 1995)

Vainqueur à deux reprises en 1971 et en 1995, Hervé Knapic est le plus ancien vainqueur présent sur les routes du 50e rallye de la Côte Fleurie. Il sera encore, au moins, un candidat au top 10 et ce malgré le plateau.

Michel Nourry (1978, 79 et 82)

Lauréat du rallye en 1978, 79 et 1982, Michel Nourry sera le plus ancien vainqueur de l’épreuve au départ du 50e rallye de la Côte Fleurie. Il sera, bien évidemment, aux commandes d’une Porsche.

Xavier Lemonnier (2004 et 2009)

Sa dernière victoire remonte à 2009, mais il est très rare qu’il ne soit pas dans le top 5 depuis plus de quinze ans. Xavier Lemonnier, même s’il n’a pas toujours la meilleure auto, est une valeur sûre. Il sera encore cette année des prétendants au top 5 voire mieux.

Stéphane Pustelnik (2000 et 2003)

Le pilote vedette en Pays d’Auge au début des années 2000 n’a pas toujours pu se consacrer au rallye. Maintenant, c’est valeur sûre et ce d’autant plus qu’il a plus de roulage cette année, que l’an passé à la même date. Au volant d’une C3 R5, Stéphane Pustelnik ne devrait pas être loin d’être avec les meilleurs.

Jean-Marie Cuoq (2002 et 2016)

Il est venu deux fois sur le rallye de la Côte Fleurie et il a gagné deux fois… de là à en faire un favori, il n’y a qu’un pas. Jean-Marie Cuoq est une référence de la discipline. Les conditions de course lui conviennent. Il sera l’adversaire numéro 1 d’Eric Brunson.

Lire aussi : VIDEO. 65 équipages au check down du rallye de la Côte Fleurie 2020

Lire aussi : VIDEO. Eric Brunson prépare le rallye de la Côte Fleurie 2020 à Saint-Germain-la-Campagne

Lire aussi : Quelles sont les premières impressions des pilotes concernant le parcours du 50e rallye de la Côte Fleurie ?

Lire aussi : Automobile. La liste des partants du 50e rallye de la Côte Fleurie

Appel à la grève à Air France pour vendredi et samedi

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Un appel à la grève est lancé aux salariés d'Ari France, vendredi 21 et samedi 22 février 2020.

Un appel à la grève est lancé aux salariés d’Ari France, vendredi 21 et samedi 22 février 2020.

Les salariés affectés au court courrier chez Air France, dans les escales de région et à Paris-Orly, sont mobilisés dans le cadre d’un appel à la grève vendredi 21 et samedi 22 février 2020.

Un appel de cinq syndicats (CGT, CFDT, CFE-CGC, FO et UNSA) à des débrayages « de quelques heures à une journée », pour protester notamment contre le recours accru à la sous-traitance au sein de la compagnie aérienne, après plusieurs plans de départs volontaires, rappelle Air Journal.

Quel impact sur le trafic aérien ? 

Un mouvement susceptible d’entraîner des perturbations, même si du côté de la direction d’Air France, on assure que l’intégralité du programme de vols reste préservé vendredi et samedi, a expliqué jeudi 20 février à la presse Anne Rigail, directrice générale d’Air France, en marge de de la conférence de presse de présentation des résultats financiers du groupe Air France-KLM. 

En mai 2019, la direction annonçait un plan pouvant aller jusqu’à 465 départs volontaires, à la suite d’une perte de 189 millions d’euros en 2018 sur le réseau national du court-courrier.

De son côté, le syndicat SNPL de la compagnie Hop appellent les pilotes à la grève lundi 24 février, « puis tous les vendredis ».

Des balades en calèches à Argentan pendant les vacances d'hiver

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L'Office de tourisme d'Argentan propose des balades en calèche pendant les vacances d'hiver.

L’Office de tourisme d’Argentan propose des balades en calèche pendant les vacances d’hiver. (©Le Journal de l’Orne)

L’Office de tourisme d’Argentan (Orne) met en place, pendant les vacances d’hiver 2020, jusqu’au 9 mars, des balades en calèche de 45 minutes pour découvrir la ville et le patrimoine historique.

Départ toutes les heures (s’il y a des réservations) aux horaires suivants : 10 heures, 11 heures, 12 heures, 14 heures, 15 heures, 16 heures et 17 heures.

Les tarifs : adultes, 3,50 € ; enfants, 2 € ; gratuit pour les moins de 3 ans.

Les réservations se font du mardi au samedi de 10 heures à 12 heures et de 14 heures à 17 heures, jusqu’au 7 mars à l’Office de Tourisme, tél : 02 33 67 12 48. tourisme@argentan-intercom.fr

Lire aussi : La jument Carla défile dans les rues d’Argentan en calèche

Lire aussi : La patinoire d’Argentan amuse les enfants jusqu’au 29 février

Menacé d'un couteau pendant qu'il vomit dans un bar, à Caen, il veut se faire justice lui-même

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Après une soirée arrosée, un jeune homme de 21 ans a été interpellé par la police, jeudi 20 février 2020 à Caen (Calvados).

Après une soirée arrosée, un jeune homme de 21 ans a été interpellé par la police, jeudi 20 février 2020 à Caen (Calvados). (©Adobe Stock.)

Jeudi 20 février 2020, vers 23h, un jeune homme appelle la police alors qu’il passe la soirée au French Café, un bar du port de Caen (Calvados). Il explique qu’il a été menacé d’un couteau alors qu’il était en train de vomir dans les toilettes !

Lire aussi : Rixe avec un couteau à Caen, un homme interpellé

À l’arrivée de la patrouille, il est très énervé. Insultant celui qui l’aurait menacé en raison de son orientation sexuelle, il menace de se faire justice lui-même.

Il revient armé d’un couteau

Quand les policiers le font sortir de l’établissement, il s’éloigne quelques instants puis revient peu après, armé à son tour d’un couteau.

Lire aussi : Ivres, ils arrachent un sens interdit et l’emportent avec eux, à Caen

C’est donc lui qui se retrouve interpellé. Placé en garde à vue au commissariat de Caen, il en est ressorti avec une convocation devant le délégué du procureur, en vue d’un rappel à la loi.


Ligue 1 : Lyon à la relance contre Metz avant de défier la Juventus en Ligue des Champions

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L’entraîneur de Lyon Rudi Garcia lors du match contre Strasbourg le 16 février 2020 à Décines-Charpieu. (©AFP/Archives/JEAN-PHILIPPE KSIAZEK)

Un grand écart mais pas d’impasse possible : Lyon, à la traîne au classement, doit s’imposer à Metz ce vendredi 21 février en Ligue 1 (20h45) pour entretenir son espoir de rester européen avant de penser à son choc de Ligue des champions contre la Juventus Turin, mercredi 25 février 2020.

Lire aussi : OL-ASSE : les supporters des Verts interdits de déplacements à Lyon pour le 120e derby

Quatre matchs sans victoire en L1

Avec le match nul concédé à domicile contre Strasbourg (1-1) le week-end dernier, l’OL reste sur quatre journées d’affilée sans victoire en championnat.

Au point que sa situation dans le ventre mou du tableau (11e, 34 pts) commence à devenir critique, à sept longueurs de la troisième marche du podium occupée par Rennes (41 pts). Encore engagé sur quatre tableaux, le club lyonnais court-il le risque de tout perdre et d’être privé de toute compétition européenne pour la première fois depuis 1997 ?

 

« Il ne faut plus traîner en route »

« La victoire est impérative à Metz, comme toujours. On joue pour gagner les prochains matches et en Ligue 1 nous avons besoin de nous imposer vendredi », a résumé l’entraîneur lyonnais Rudi Garcia.

« Nous sommes encore en vie », veut-il croire.

Ce sera compliqué de reprendre le 2e (Marseille). Par contre, le 3e (Rennes) n’est pas si loin que cela mais il ne faut plus traîner en route.

Le défenseur de Lyon Léo Dubois contre le RB Leipzig en Ligue des champions, le 2 octobre 2019 à Leipzig.

Le défenseur de Lyon Léo Dubois contre le RB Leipzig en Ligue des champions, le 2 octobre 2019 à Leipzig. (©AFP/Archives/Tobias SCHWARZ)

Mais il y a un écueil : lutter contre l’éparpillement des joueurs à cinq jours d’un choc européen contre la Juve de Cristiano Ronaldo.

« Quand on est entraîneur d’une équipe de Ligue des champions on sait très bien que les matches avant et après sont toujours difficiles à aborder », rappelle Garcia. « Il faut se concentrer sur la rencontre de Metz et ne pas penser à autre chose.

Toutes les équipes qui jouent la C1, hormis celles programmées pour la gagner et qui ont deux équipes dans leur effectif, lâchent un peu de points en championnat.

Lire aussi : Officiel : Bruno Guimaraes rejoint Lyon pour 20 millions d’euros

Guimares et Dubois de retour

Du coup, avec cinq jours pour préparer le match contre Metz et autant pour recevoir la Juventus, Lyon a le temps d’organiser de véritables sessions d’entraînements. De quoi regonfler un effectif mis sous pression par l’enchaînement des rencontres et moins talentueux que pendant l’époque dorée de l’OL, dans les années 2000.

Reste aux Lyonnais à retrouver une certaine qualité de jeu collectif sans leurs meilleures individualités Memphis Depay et Jeff Reine-Adélaïde, blessés au long cours.

Bonne nouvelle : à Metz comme face à la Juventus, l’OL pourra adopter une attitude plus attentiste qui paraît mieux lui convenir comme en attestent ses résultats, à l’extérieur notamment, cette saison.

En outre, le club attend beaucoup de sa dernière recrue en date, le milieu brésilien Bruno Guimaraes.

« Nous avons travaillé sur l’intégration de Bruno Guimaraes et le retour de Léo Dubois, sur le départ d’actions ainsi que l’animation offensive et défensive », explique Rudi Garcia qui a aussi accordé une journée de repos à ses joueurs, mardi.

La nouvelle recrue lyonnaise Bruno Guimaraes lors de sa présentation au public du Parc OL, lors du quart de finale de Coupe de France contre Marseille, le 12 février 2020.

La nouvelle recrue lyonnaise Bruno Guimaraes lors de sa présentation au public du Parc OL, lors du quart de finale de Coupe de France contre Marseille, le 12 février 2020. (©AFP/Archives/ROMAIN LAFABREGUE)

Guimaraes et Dubois, qui revient de blessure, devraient débuter vendredi afin d’être prêts pour affronter la Juve.

« Bruno est bien physiquement, techniquement fort, très bon dans le jeu court et en une touche, capable d’éliminer. Il faut lui expliquer la Ligue 1 et le jeu de notre équipe », précise Garcia.

Annoncé comme un futur grand joueur, il est d’ores et déjà attendu au tournant et avec lui le directeur sportif Juninho, qui a été décisif dans son recrutement. A lui de s’adapter rapidement : la Juventus arrive à grands pas…

Source : © 2020 AFP

Salon de l'Agriculture 2020 : Les vaches manchoises sont prêtes à briller

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Le départ des animaux pour Paris est un rituel que ne manquent pas les agriculteurs, avant de se retrouver à Paris pour la plupart.

Le départ des animaux pour Paris est un rituel que ne manquent pas les agriculteurs, avant de se retrouver à Paris pour la plupart. (©Carole LE GOFF)

Elles s’appellent Houlette, Malicieuse ou Monotonie. Toutes font déjà la fierté de leurs éleveurs, en participant au Salon de l’Agriculture à Paris. Comme l’explique Olivier Pibouin, chargé de Mission à la Chambre d’Agriculture :

Il y a une sélection assez forte pour participer aux concours. Dans la Manche, les élevages sont toujours mobilisés : 35 se sont inscrits, pour au final 10 bêtes retenues.

Lire aussi : INFOGRAPHIE. Que vous réserve la Normandie au Salon International de l’Agriculture ?

Les vaches en camion, les éleveurs en train

A 9 heures, vendredi 21 février, les éleveurs du Cotentin étaient réunis à Ozeville, afin de charger les animaux de la race normande, accompagnée d’une jersiaise. Au préalable, chaque éleveur avait chouchouté sa représentante, avec un poil coupé de près et le corps lavé.

Un moment toujours particulier, comme l’explique François Lefauconnier, qui présente une de ses vaches, habituée des concours :

Il y a forcément un peu de stress quand les animaux quittent leur environnement. On espère que le transport va bien se passer, et on sera présent pour les installer sur place.

Une fois installées, les vaches ont pris, dès 10 heures, la direction de Paris, où le trajet devrait durer près de 5 heures, pauses comprises. 

Les éleveurs seront là pour les accueillir, puisque c’est en train qu’ils ont rejoint la capitale, prêts pour le grand temps fort du Week-end : le concours de la race normande.

Dans le calme, les vaches ont quitté la Manche, vendredi 21 février.

Dans le calme, les vaches ont quitté la Manche, vendredi 21 février. (©Carole LE GOFF)

Une victoire manchoise ?

Tous espèrent que la Manche sera fièrement représentée lors des concours. Difficile pour autant de faire un pronostic, comme l’indique Olivier Pibouin :

On ne connaît pas encore la concurrence, c’est donc difficile… Après nous avons une ou deux vaches dont je tairais le nom, qui sont vraiment très belles.

Elles seront en tout cas fortement applaudies ce Week-end au moment de passer dans le ring : deux bus de supporters vont faire le déplacement dimanche pour les encourager.

Nicolas Massieu, d'Omoonville-la-Petite présente une vache au concours dédié aux normandes, dimanche.

Nicolas Massieu, d’Omonville-la-Petite présente une vache au concours dédié aux normandes, dimanche. (©Carole LE GOFF)

Près de Châteaubriant, ce club de tennis de table a besoin d'aide pour se développer

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Le club de tennis de table de Soudan (Loire-Atlantique) a besoin de sponsors pour se développer.

Le club de tennis de table de Soudan (Loire-Atlantique) a besoin de sponsors pour se développer. (©Illustration HeungSoon via Pixabay)

Le club de tennis de table de Soudan (Loire-Atlantique) recherche des sponsors pour l’aider à se développer. 

Ses responsables expliquent :

Nous avons une équipe senior qui évolue aujourd’hui en Division 2 dans le département. Nous avons huit joueurs qui évoluent en compétition, quatre en loisirs et dix jeunes en loisirs. Actuellement nous finançons nos tenues personnellement et ainsi que notre matériel de pongiste.

Ils ont aussi besoin d’aide car :

Nous avons plusieurs tables qui avec le temps sont fatiguées… Nous avons besoin de faire des réparations et également d’équiper correctement la salle pendant les compétitions. Nous sommes donc à la recherche de sponsors pour nous aider financièrement et pourquoi pas aussi matériellement.

Contact : Tél. 06 02 37 86 09 ou via la page Facebook / Soudan T.T.

Cavan. Les agriculteurs s'invitent au forum sur l'environnement

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Au nombre des organisateurs du forum à Cavan, Louis-Jacques Suignard a amorcé le dialogue avec les agriculteurs.

Au nombre des organisateurs du forum à Cavan, Louis-Jacques Suignard a amorcé le dialogue avec les agriculteurs. (©Le Trégor Pascale Le Roux)

Ecologie et agriculture n’ont pas réussi à accorder leurs violons ce samedi 22 février à Cavan. Le forum proposé par un collectif de citoyens soucieux d’inclure l’environnement dans la campagne des municipales a pourtant ouvert ses portes à une délégation d’une cinquantaine d’agriculteurs qui s’invitait dans les débats. Mais chacun a campé sur ses positions au milieu d’une assemblée de plus de 300 personnes et en présence des candidats des trois listes en lice aux Municipales cavannaises.

Lire aussi : Municipales. Un forum sur l’écologie samedi 22 février à Cavan

Le témoignage pionnier du maire anti-pesticides

Et au milieu, un Daniel Cueff, maire de Langoët (35), imperturbable, qui de sa voix posée a exposé à nouveau les options prises par sa commune en faveur du développement durable, de l’autonomie énergétique et alimentaire, de l’écologie sociale, de la lutte contre les pollutions, etc. Un parcours du combattant pas toujours bien compris qui entraîne il est vrai des réactions vives des populations parfois.

Il semble difficile en effet de remettre en cause des pratiques instaurées depuis longtemps.

On a renoncé à la démocratie participative qui reste trop centrée sur un modèle conservateur. Au lieu de cela on a préféré la démocratie coopérative. Un chaudron bout toujours par sa base.

Sur la pancarte : "N'écoute pas le maire de Langoët, écoute le maire de Langoat"

Sur la pancarte : « N’écoute pas le maire de Langoët, écoute le maire de Langoat »

Daniel Cueff poursuit :

On s’est posé les bonnes questions pour un développement durable, sans connaître les réponses. On a donc adopté une stratégie et tous les élus se sont impliqués dans ce travail.

« Un arrêté de shérif contre l’épandage des pesticides »

Au bout de ce cheminement, la commune de 600 âmes a passé entièrement sa cantine au bio, a privilégié l’habitat social peu consommateur d’énergie, a ralenti la vitesse dans son bourg par des poules en liberté plutôt que par des ralentisseurs, et a transformé les bâtiments communaux pour qu’ils soient générateur de leur propre énergie.

Mais sur ce modèle vertueux, certains habitants se plaignaient de leur taux de glyphosate dans leurs organismes, alors j’ai pris un arrêté de shérif contre l’épandage des pesticides.

Un temps de parole pour les agriculteurs

Avant de rentrer dans la salle des débats, Jean-Marc Lohier, de Lanvellec, membre du bureau de la FDSEA départementale, a justifié la présence des agriculteurs :

On n’est pas des empoisonneurs, on vient pour expliquer comment on travaille, puisque ce forum est ouvert à tout le monde.

Une cinquantaine de ses collègues venus de tout le Trégor se sont en effet rassemblés sous l’oeil des gendarmes. Mais pas d’esclandre, Louis-Jacques Suignard et Nil Caouissin, organisateurs du forum, sont venus dehors à leur rencontre en leur proposant un temps de parole.

Jean-Marc Lohier a précisé :

Nous on a déjà proposé aux membres du mouvement Nous voulons des coquelicots de venir débattre avec nous, mais personne n’est jamais venu.

« Nous avons l’agriculture la plus réglementée du monde »

La délégation est entrée dans la salle et est intervenue lors du temps de parole du public :

Nous agriculteurs avons le souci d’apporter une alimentation de qualité dans le respect des normes sanitaires. Nous avons l’agriculture la plus réglementée du monde.

Et d’avancer encore des contradictions sur les taux de glyphosate annoncés ici et là. « De toute façon on ne pourra pas mettre tous les agriculteurs en bio », a relevé Philippe Charlès, agriculteur à Moncontour.

On s’est entendu mais on ne s’est pas compris, mais ce débat a eu le mérite de créer le dialogue, avant que les temps de parole ne se recentrent sur un public plus local via les trois listes des Municipales à Cavan. Il ressortira de ce premier forum la rédaction d’une Charte qui sera proposée sur le territoire du Trégor.

Il ressortira de ce premier forum à Cavan la rédaction d'une Charte qui sera proposée sur le territoire du Trégor.

Il ressortira de ce premier forum à Cavan la rédaction d’une Charte qui sera proposée sur le territoire du Trégor. (©Le Trégor Pascale Le Roux)

Camping de Montoire-sur-le-Loir : les nouveautés de la saison 2020

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Moins de personnel, et du bénévolat assuré par le conseiller municipal Michel Durand : voilà les économies réalisées pour ouvrir le camping cette année.

Moins de personnel, et du bénévolat assuré par le conseiller municipal Michel Durand : voilà les économies réalisées pour ouvrir le camping cette année. (©Petit Courrier)

En attendant la mise en place d’une délégation de service public, le camping municipal de Montoire-sur-le-Loir (41) ouvrira le 11 avril 2020 pour une nouvelle saison, avec une organisation remodelée.

Une subvention moins élevée

Pour rappel, son ouverture était jusqu’alors incertaine car la situation financière de cet équipement était en déficit.

Le budget 2020 a donc pris en compte certaines nouvelles dispositions.

Lire aussi : Le musée de la gare et le camping de Montoire-sur-le-Loir en sursis ?

Baisse des charges

À noter également : les charges de personnel vont être considérablement réduites (35 481 € pour 2020 contre 100 050 € en 2019).

« Conséquence, les emplois en CDD seront divisés par deux en charges. Malheureusement pour les régisseurs en place », explique le maire Guy Moyer.

Comment le camping va-t-il fonctionner ?

« On va recourir le moins possible aux services techniques et fonctionner avec une part de bénévolat », poursuit le maire.

Lire aussi : Montoire-sur-le-Loir : l’avenir du camping et du musée fixé le 3 février

Deux recrutements

Des recrutements d’agents contractuels sont tout de même à l’ordre du jour pour la saison estivale avec la recherche d’un agent d’accueil du 7 avril au 30 septembre 2020 et d’un agent d’accueil et d’animation du 1er juillet au 31 août 2020. Ce point a été adopté par les élus du conseil municipal moins cinq abstentions.

Le camping fermera le 14 septembre 2020.

Municipales. Les candidats de la liste de Gérald Mezzafonte à Saint-Christophe-de-Valains

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De gauche à droite : Jessica Dugué, Christophe Frangeul, Patricia Née, Magalie Travers, Gérald Mezzafonte, Alain Dubois, Isabelle Paris, Kevin Frigoult, David Vincent, Louis Robinard, Jean-François Frutozo

De gauche à droite : Jessica Dugué, Christophe Frangeul, Patricia Née, Magalie Travers, Gérald Mezzafonte, Alain Dubois, Isabelle Paris, Kevin Frigoult, David Vincent, Louis Robinard, Jean-François Frutozo (©Chronique Républicaine).

Une deuxième liste, composée de 4 femmes et 7 hommes, vient de se dévoiler dans la commune de Saint-Christophe de Valains face à celle menée par Thierry Cornu.

Elle se dit sans étiquette et porte le nom « Expérience et nouveaux souffles, l’alliance gagnante pour Saint-Christophe ! ».

La liste est menée par Gérald Mezzafonte, 51ans, conseiller sortant, marié et père de 3 enfants. Il affirme :

Mon passé de militaire en opérations extérieures, m’a appris la rigueur et le sens de l’engagement et du travail en équipe »

Le chef de file habite Saint-Christophe depuis 2000. Depuis son retour à la vie civile en 2010, il occupe un poste de vendeur conseil en plomberie chauffage à Fougères et est très actif dans la commune.

Investi dans la vie associative, Gérald Mezzafonte a présidé l’association des parents d’élèves de l’école de Saint-Christophe-de-Valains.

Six nouveaux, cinq sortants

La liste qu’il mène réalise une synthèse entre le regard neuf des 6 nouveaux colistiers et l’expérience des 5 conseillers sortants dont l’actuel premier adjoint, Alain Dubois.

D’une moyenne d’âge de 43 ans avec des conseillers âgés de 25 à 64 ans, cette équipe est un échantillon très représentatif de la population. La bonne connaissance du territoire et de ses acteurs sera son atout majeur.

L’ambition affichée est de poursuivre le développement de la commune tout en maintenant une saine gestion des finances et sans modification de la fiscalité.

L’équipe de Gérald Mezzafonte envisage, si elle est élue, de rénover la mairie, créer un conseil municipal des jeunes, mettre en valeur le patrimoine en développant le circuit d’interprétation hors bourg

Les candidats

Jessica Dugué, 30 ans, assistante familiale. Christophe Frangeul, 52 ans, géomètre. Patricia Née, 24 ans, collaboratrice d’agence d’assurance. Magalie Travers, 36 ans, employée de banque. Gérald Mezzafonte, 52 ans, conseiller sortant, conseiller de vente. Alain Dubois, 53 ans, premier adjoint, agent départemental.

Isabelle Paris, 44 ans, infirmière. Kevin Frigoult, 25 ans, charpentier. David Vincent, 44 ans, conseiller sortant, technicien de maintenance. Louis Robinard, 46 ans, conseiller sortant, retraité. Jean-François Frutozo, 49 ans, conseiller sortant, professeur certifié en mathématiques.

VIDEO - 6 Nations. L'Ecosse s'impose en Italie (0-17) et évite la cuillère de bois

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L'Ecosse et son arrière Stuart Hogg se sont imposés à Rome face à l'Italie.

L’Ecosse et son arrière Stuart Hogg se sont imposés à Rome face à l’Italie. (©Icon Sport)

Et de 25 ! En s’inclinant à Rome face à l’Ecosse (0-10), l’Italie a enregistré une 25e défaite de rang dans le Tournoi des 6 Nations. Améliorant ainsi ce « record » peu reluisant. Jamais une équipe n’avait connu une telle spirale négative dans le Tournoi.

Lire aussi : 6 Nations. L’Angleterre furieuse, un des entraîneurs touché par une bouteille de bière en Ecosse

La dernière victoire de l’Italie ? Elle remonte au 28 février 2015 face à… l’Ecosse (19-22). Avec cette troisième défaite en autant de rencontres dans cette édition 2020, l’Italie se dirige tout droit vers une nouvelle cuillère de bois, la cinquième de suite (2016, 2017, 2018, 2019). Pour éviter cela, il faudra soit s’imposer en Irlande, soit battre l’Angleterre à Rome. Ce n’est pas mission impossible, mais on ne voit pas comment cette équipe aussi faible pourrait battre l’une des deux nations citées.

Stuart Hogg réveille l’Ecosse

Ce Italie-Ecosse, sincèrement, il n’a pas atteint des sommets. De l’envie de part et d’autre, il faut bien le souligner, mais des erreurs, des maladresses et mauvais choix à la pelle. Sans être géniale, l’Ecosse a toutefois su trouver à deux reprises la faille, la première par l’arrière Stuart Hogg qui a sanctionné un très mauvais dégagement de Carlo Canna.

Lire aussi : 6 Nations. Voici pourquoi Finn Russell a été viré de l’équipe d’Ecosse

Le centre Chris Harris, lui, a conclu une très longue séquence devant l’en-but italien peu après le retour des vestiaires. Pour le reste, pas grand chose, Adam Hastings marquant un dernier essai en toute fin de partie après une erreur grossière des locaux. Bref, ce match qui ne restera pas dans les mémoires, mais il suffit aux Ecossais pour ne pas être fanny dans ce Tournoi. Notons que l’Italie n’a réussi à marquer des points que face à la France dans ce Tournoi 2020 (42-0 au pays de Galles, 0-10 contre l’Ecosse).


Toulouse. L'amateur d'herbe cultivait douze plants de cannabis dans son appart'

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Un quadragénaire faisait pousser du cannabis en grande quantité dans son appartement,à Toulouse.

Un quadragénaire faisait pousser du cannabis en grande quantité dans son appartement,à Toulouse. (©Illustration / AdobeStock)

Il avait la main verte. Et même un peu trop ! Un cultivateur amateur faisait pousser du cannabis dans son appartement situé dans un immeuble du quartier Empalot, à Toulouse. Mercredi 19 février 2020, des policiers effectuent une patrouille de surveillance dans cet immeuble. Alertés par une forte odeur de cannabis, ils font venir le chien renifleur de drogue, qui marque le pas sur un appartement précis. 

Douze plants et 400 grammes d’herbe

Une perquisition est alors aussitôt menée en présence de deux témoins. À l’intérieur de l’appartement, ils découvrent près de 400 grammes d’herbe prête à consommer mais également douze plants de cannabis  (ce qui peut représenter un potentiel de 7 kilos d’herbe une fois la plantation arrivée à terme, d’après les spécialistes) et tout le matériel nécessaire du cultivateur en intérieur. Le cannabis et les plants ont été saisis par les forces de l’ordre. 

Cueilli le lendemain par la police 

Absent lors de la perquisition, le propriétaire des lieux a été « cueilli » le lendemain par la police, à 9 heures. Âgé de 42 ans, il a été convoqué au tribunal pour détention de stupéfiants à l’issue de sa garde à vue. En revanche, l’enquête a permis d’écarter la suspicion de trafic de stupéfiants. Le quadragénaire cultivait pour sa consommation personnelle…

Yvelines. Condamnée pour injures publiques, elle est candidate aux municipales à Saint-Germain-en-Laye !

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Agnès Cerighelli  est candidate aux élections municipales de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines). Elle vient d'être condamnée pour injures publiques par le tribunal correctionnel de Versailles.

Agnès Cerighelli est candidate aux élections municipales de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines).  (©78actu)

C’est une candidature qui surprend. Agnès Cerighelli, ancienne élue à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines) se présente aux élections municipales de la ville et crée son sigle de campagne : Saint-Germain-en-Laye, le Renouveau.

Agnès Cerighelli s’est récemment illustrée pour avoir « mis le feu » à la toile à coup de tweets condamnables puisque l’un d’eux vient justement de la condamner au titre d’injures publiques par le tribunal correctionnel de Versailles.

Lire aussi : Yvelines. Agnès Cerighelli, élue à Saint-Germain-en-Laye, condamnée pour injures publiques

Une condamnation dont elle rejette la responsabilité sur le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner.

Elle explique avoir été « victime d’un procès abusif » estimant ne pas avoir été injurieuse et se réservait le droit de faire appel du jugement du 17 février. Une décision qu’elle prendrait manifestement lundi 24 février.

Cela ne semble pas la dissuader de se présenter aux élections locales de mars prochain expliquant « avoir réuni une équipe ». Elle livre sa profession de foi dans une double page qui explique les raisons de son choix, là encore sur son compte Twitter.  

Sur son site Internet qu’elle a également créé pour l’occasion, l’actuelle élue d’opposition parle de « son profond attachement » à Saint-Germain-en-Laye sa « ville de cœur » et rappelle son parcours politique quand elle est entrée au conseil municipal sous la mandature d’Emmanuel Lamy, en 2014. Avant d’appeler les citoyens saint-germanois à voter pour elle. 

Désireuse du bonheur de tous, je souhaite, qu’à Saint-Germain-en-Laye, nos concitoyens bénéficient d’un emploi épanouissant et se réjouissent d’une qualité de vie inédite, pour eux et pour leurs enfants », décrit-elle. 

Elle torpille au passage l’actuel maire de la ville, Arnaud Péricard, qu’elle accuse de tous les maux comme entre autres « le choix du PSG d’installer son centre d’entraînement à Poissy ou la décision de construire le Tram 13 Express jusqu’aux trains bondés du RER A (sic !), etc. » Deux premiers dossiers en cours de réalisations décidés sous les anciennes mandatures d’Emmanuel Lamy.

Agnès Cerighelli concluait « J’irai jusqu’au bout dans la campagne », après avoir passé une grande partie de la journée de samedi au Salon de l’agriculture. 

L’IMAGE. D'impressionnants bouchons, samedi, vers le Pas de la Case et l'Andorre

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L'accès vers l'Andorre était saturé dès ce matin, samedi 22 février 2020.

L’accès vers l’Andorre était saturé dès ce matin. (©Météo Pyrénées)

Alors que le gouvernement a décidé une nouvelle hausse de 50 centimes sur les prix des cigarettes et du tabac à rouler, le Pas de la Case et l’Andorre étaient une nouvelle fois pris d’assaut. 

Lire aussi : Tabac : nouvelle hausse des tarifs au 1er mars 2020, le paquet de Marlboro à 10 euros

Des ralentissements

Sur les réseaux sociaux, Météo Pyrénées a publié, samedi 22 février 2020, une photo des bouchons dans le secteur. Bien que les routes ne soient pas enneigées, la vallée de l’Ariège, la plus fréquentée du massif, dès Tarascon, était concernée ce matin par des ralentissements dans les deux sens.

A Enveitg, un bouchon important en remontant de Cerdanya était signalé.

Pour rappel, la RN 116 est toujours fermée, depuis la tempête Gloria.

Lire aussi : Tempête Gloria. Plus de 1,5 mètre de neige au Pas de la Case : un fort risque d’avalanches

Le comité des fêtes du Renouard doit se redynamiser

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 Nathalie Hobbs (au centre sur la photo) pourvoit la présidence

Nathalie Hobbs (au centre sur la photo) pourvoit la présidence (©Le Réveil normand)

L’équipe du comité des fêtes a tenu en février 2020, son assemblée générale à la salle des associations. À cette occasion, Yacine Afifi, le président, a annoncé qu’il ne se représenterait pas car « il y a un manque de bénévoles, tout repose toujours sur les mêmes. C’est décourageant ».

Il quitte le comité des fêtes, ainsi que son épouse Béatrice, mais se dit « prêt à donner un coup de main ». Frédéric Signard quitte le poste de secrétaire. Finalement, Nathalie Hobbs s’est proposée pour reprendre la présidence et Léa Davies continue au poste de trésorière.

À cet égard, les finances du comité des fêtes sont saines puisqu’elles font état d’une somme globale d’environ 7 500 € disponibles. Nathalie Hobbs a l’espoir que d’autres bonnes volontés viennent les rejoindre pour étoffer l’équipe et réimpulser une dynamique à l’association.

Animations à venir

En attendant, un programme d’animations restreint sera proposé en 2020. Une soirée dansante a été fixée au lundi 13 juillet avec repas food truck comme l’an dernier. Après débat, il a été décidé de maintenir la fête du village le dimanche 19 juillet avec l’organisation d’un vide-greniers, d’une exposition de véhicules anciens et d’une guinguette qui se déroulera au sein de la salle événementielle. Il est également envisagé de renouveler la randonnée pédestre mais aucune date n’a été fixée.

Le bureau a prévu de se réunir le samedi 7 mars 2020 à 10 h 30. Les personnes désireuses de se joindre à eux seront les bienvenues.

À Muids (Eure) initiez-vous à l'histoire de l'art européen avec l'association Second souffle

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Charles-Edouard Leroux (1 en partant de la droite), qui a lancé les Rendez-vous chez Jeannette, propose des ateliers d'histoire de l'art à compter du lundi 24 février 2020 au Café de la Poste à Muids dans l'Eure.

Charles-Edouard Leroux (1 en partant de la droite), qui a lancé les Rendez-vous chez Jeannette, propose des ateliers d’histoire de l’art à compter du lundi 24 février 2020 au Café de la Poste à Muids dans l’Eure. (©L’Impartial)

L’association Second souffle pour la conservation du patrimoine de Muids dans l’Eure propose à compter du lundi 24 février  2020 une initiation à l’art européen du VIe au XXI siècle.

Lire aussi : À Muids, dans l’Eure, une association pour sauvegarder le patrimoine

Ces cours, accessibles à tous, se dérouleront un lundi sur deux de 17h à 18h30 au Café de la Poste.

Ils seront animés bénévolement par Charles-Edouard Leroux agrégé de philosophie, professeur honoraire de philosophie et d’histoire de l’art.

La participation est de 5 € par séance. Il est possible de prendre un forfait à 40 € pour l’ensemble des dix séances prévues en 2020.

Le montant des participations sera intégralement reversé à l’association Second souffle. Chômeurs et personnes à faible revenu sont dispensés de paiement sur simple demande.

Lire aussi : La commune de Muids (Eure) veut sauver l’orgue de l’église

Le programme

– Lundi 24 février : les temps mérovingiens (Ve – VIIIe siècles)

– Lundi 9 mars : Carolingiens et Ottoniens (IXe et Xe siècles)

– Lundi 23 mars : manuscrits peints et arts somptuaires (IXe et Xe siècles)

– Lundi 6 avril : l’art roman 1. Architecture (XIe et XIIe siècles)

– Lundi 20 avril : l’art roman 2. La sculpture et les arts précieux

– Lundi 5 octobre : le gothique de transition (1140-1190) ; l’apogée du gothique (1190-1240)

– Lundi 19 octobre : la diffusion du gothique (1230-1350)

– Lundi 2 novembre : le Trecento en Toscane (1350-1500)

– Lundi 16 novembre : le gothique international (1350-1500) ; naissance de la peinture flamande

– Lundi 30 novembre : le Quattrocento : les précurseurs

Contact : 06 60 12 57 72 ou soufflesecond@gmail.com

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