
Patrick Poivre d’Arvor lors de la dédicace de son livre La vengeance du loup, sur la terrasse du bar restaurant du château. (©Le Courrier du pays de Retz)
Le Courrier du pays de Retz : Sollicité par Jean-Marc Bloch, vous avez bien volontiers décidé de participer à cette première édition du festival du polar sur la côte de Jade. Comment avez-vous fait sa connaissance ?
PPDA : Nous nous sommes connus par l’intermédiaire de mon fils, Arnaud, qui réalise avec lui un travail dont je suis très fier. Jean-Marc Bloch est un ami très loyal que l’on imagine également très professionnel. J’aime beaucoup l’humanité du personnage qui crée une ambiance pleine d’amitié et de respect.
Dans le cadre du festival, vous dédicacez votre dernier ouvrage La vengeance du loup sorti il y a trois mois. Vous êtes toujours aussi inspiré ?
Effectivement, j’aime beaucoup écrire et je dois avoir atteint les 70 livres. J’écris actuellement la suite de La vengeance du loup qui devrait paraître au printemps 2020. Entre-temps, devrait être publié en octobre Secrets d’enfance, un livre dans lequel je parle de l’enfance de personnalités de mondes différents que j’ai interviewées.
En 2012, vous avez écrit Rapaces, un thriller inspiré de faits réels. Envisagez-vous d’écrire de nouveaux ouvrages relevant du même genre ?
C’est exact. Dans le même genre, j’ai également écrit il y a 25 ans Les loups et la bergerie, un thriller politique, mais je n’ai pas d’autre projet dans ce domaine. On ne parle bien que de ce qu’on connaît.
Vous êtes particulièrement connu pour avoir pendant de nombreuses années présenté le journal télévisé. Certaines affaires criminelles qui se sont déroulées pendant cette période auraient-elles pu ou pourraient-elles vous servir de sujet d’inspiration ?
Non. J’ai effectivement écrit en 2013, Seules les traces font rêver, un bouquin de souvenirs datant de l’époque du JT, dont certains peuvent recouper quelques affaires, mais en m’intéressant plutôt à raconter la convergence entre le monde politique et le monde des médias.