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Handball. Lidl Starligue : Ivry aura fort à faire contre Aix

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Ivry espère faire sa première victoire ce soir contre l'équipe d'Aix

Ivry espère faire sa première victoire ce soir contre l’équipe d’Aix (©US Ivry Handball)

S’il y avait du mieux dans le jeu par rapport à leur premier match, la rencontre opposant l’US Ivry Handball aux joueurs de Dunkerque s’était soldé par une autre défaite. Après deux défaites, les Val-de-Marnais espèrent ouvrir leur compteur de victoire ce soir, pour la 3e journée de Lidl Starligue, à domicile. Les hommes de Sébastien Quintallet reçoivent Aix. 

Le club du sud sortant d’une série de deux victoires sera un adversaire coriace. Mais leur entraîneur, Jérôme Fernandez, n’entend pas sous-estimer les qualités de l’équipe du Val-de-Marne. Il déclare ainsi dans les colonnes de La Provence :

« Le but est d’enchaîner les bonnes performances et les victoires, souligne Jérôme Fernandez,tout en restant humbles. Il ne faut surtout pas s’enflammer après notre succès contre Chambéry. Oui, c’est une belle victoire, mais tout n’a pas été parfait et il y a encore des domaines à corriger, à améliorer. Maintenant, à Ivry, les garçons doivent faire le boulot comme ils ont su le faire à Chartres. Et pour arriver à ce résultat, nous devrons être sérieux et appliqués pendant soixante minutes car Ivry a perdu ses deux premières rencontres et va vouloir se reprendre »

De leur côté, les joueurs d’Ivry entendent continuer à avancer et le fruit de leur travail paiera. Parole de Mahamadou Keïta, qui déclare au site officiel du club :

« Ce n’est pas parce que l’on a perdu deux fois que tout est à remettre en cause. On a bien fonctionné cet été et on est sur une voie de travail. Ensuite on a perdu face à 2 équipes qui jouent le haut et le milieu de tableau, il y a une certaine logique même si je le redis chaque équipe peut battre les autres. Surtout je pense qu’il y a réellement eu du mieux face à Dunkerque, dans l’implication défensive notamment, qui doit être notre base. Après on a été moins bons dans la finition, on a perdu aussi beaucoup de ballons. Il faut gommer cela »

 

US Ivry – Pays d’Aix Handball, ce mercredi soir à 20 h 30, Gymnase Auguste-Delaune, Ivry-sur-Seine.


Toulouse. La demande de logements sociaux en forte augmentation (et la production baisse)

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La demande de familles ou de personnes qui souhaitent habiter en logement social explose.

La demande de familles ou de personnes qui souhaitent habiter en logement social explose. (©Habitat Toulouse / Illustration)

Le nombre de demandes de personnes et de familles qui veulent habiter dans un logement social est en forte augmentation depuis plusieurs années, à Toulouse comme en Occitanie. Tel est le constat dressé par l’Union Sociale pour l’Habitat (USH) en Occitanie, l’organisation représentative des bailleurs sociaux sur le territoire. 

145 000 demandes en Occitanie 

« Le logement social en Occitanie, c’est 283 000 logements dans lesquels vivent 500 000 personnes. Fin 2018, on avait 145 137 demandes de logement en attente. Pour comparer, il y a 5 ans, il y en avait 117 000 », expose Jean-Michel Fabre, le président de l’USH en Occitanie. Comment expliquer une telle augmentation ?

Jean-Michel Fabre détaille :

La demande est de plus en plus importante et s’explique par plusieurs facteurs : la croissance démographique ne cesse de progresser tandis que la paupérisation s’accentue pour une partie de la population. 72% des demandeurs peuvent avoir accès aux logements qui ont les plus bas loyers en raison de leurs revenus. On a aujourd’hui des retraités qui sont en logement social car ils n’ont pas les moyens d’aller en Ehpad. C’est un phénomène nouveau. 

Sur les quelque 145 000 demandes reçues par les bailleurs sociaux en 2018, 34 000 familles ont pu bénéficier d’un logement social, avec un délai moyen de 11 mois entre la demande et l’entrée dans le logement. « On reste à des niveaux de production très élevés, qui s’établissent à 10 227 logements par an », précise encore Jean-Michel Fabre. Mais le niveau de production, en baisse de 14% par rapport à 2017, est cependant très loin de compenser la forte demande. 

Qu’en est-il à Toulouse ? 
Qu’en est-il à Toulouse et en Haute-Garonne ? À elle seule, la métropole toulousaine, et ses 16 quartiers prioritaires de la Ville, concentre 32 760 demandes actives et 8 620 entrées dans les lieux. Dans les communes de Toulouse Métropole, qui comptent 63 471 logements sociaux, 153 616 habitants vivent dans le parc locatif social. 43% des ménages sont des personnes vivant seules et 22,4% sont des familles monoparentales. 14% des locataires ont moins de 30 ans, 77% des locataires ont entre 30 et 74 ans. 46% des ménages logés ont des revenus inférieurs à 40% des plafonds de ressources (676€ maximum par mois pour une personne seule, ou 1312€ maximum par mois pour une personne seule avec 2 personnes à charge). 

Une production de logements en baisse 

Il y a six mois, le représentant de l’USH avait d’ailleurs tiré la sonnette d’alarme, en expliquant que la baisse progressive des aides au logement (comme les APL) freinait les investissements. Six mois plus tard, le constat est toujours d’actualité : « Les bailleurs sociaux n’ont qu’une source de revenus : les loyers. Avec la  baisse des APL, les bailleurs sociaux ont dû baisser les loyers, ce qui a entraîné une diminution de 5 à 8% de leur chiffre d’affaires. Il y a une réalité financière : il est plus difficile pour les bailleurs sociaux d’investir. Et en même temps, la demande de logement social est en hausse, tant en secteur urbain qu’en secteur rural », précise Jean-Michel Fabre. 

Mais selon lui, cela n’empêche pas les bailleurs sociaux d’innover. L’USH a d’ailleurs mis en ligne sur son site Internet un Almanach recensant les opérations emblématiques réalisées ou portées par des bailleurs sociaux sur le territoire, en matière d’innovation architecturale, environnementale, sociale, locale ou économique. 

Appel aux (futurs) élus 

Pour autant, à six mois des élections municipales, Jean-Michel Fabre lance un appel aux (futurs) élus pour qu’ils soutiennent et accompagnent la production de logements sociaux dans les prochains mois : « Plus que jamais, à quelques mois des municipales, je lance, au nom des bailleurs d’Occitanie, un appel aux élus d’aujourd’hui et de demain, pour que nous travaillions ensemble et innovions, pour le bien-vivre des citoyens ». 

Eon reality : le matériel mis en vente aux enchères à Laval

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Eon reality a été liquidée en juin dernier.

Eon reality a été liquidée en juin dernier. (©Courrier de la Mayenne)

Jeudi 19 septembre, le matériel d’Eon Reality Laval sera proposé aux enchères.

Ordinateurs, smartphones, casques de réalité virtuelle, écrans interactifs, scanner 3 D, tables graphiques, matériel bureautique, 269 lots ont été répertoriés par les commissaires priseurs, pour un montant estimé à 250 000 euros.

Une première vente débutera à 10h, 106 av. de Coubertin à Laval. La deuxième aura lieu à partir, impasse Barbe à Bonchamp

Liquidée en juin dernier

La société lavalloise, spécialisée dans la réalité virtuelle, a été liquidée fin juin 2019.

En 2014, l’ensemble avait été financé à hauteur de 4 millions d’euros par les fonds régionaux en échange de la création de 150 emplois en quatre ans.

L'hôpital de Fougères ouvre ses portes au public

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L'IRM sera.

Le public pourra visiter le service imagerie où vient d’être installé l’IRM.

Samedi 21 septembre, le centre hospitalier de Fougères ouvre ses portes au public.

Au programme, des visites guidées à travers une salle d’opération, le service ambulatoire, l’imagerie médicale (IRM/ Scanner) et le laboratoire.

Les visites, ouvertes à des groupes de 12 personnes durent 1 h 30 entre 9 h 30 à 13 h 30. Il sera également possible de pénétrer dans la maternité (durée 1 h).

Lire aussi : On peut désormais passer une IRM à l’hôpital de Fougères

Sur le parvis de l’hôpital seront installés, de 9 h 30 à 15 h 30, des stands d’information autour des activités et services.

Comme les cuisines et services logistiques ; le service d’hygiène et santé au travail ; l’Institution de formation des professionnels de santé ; le service d’aumônerie ; l’association Les p’tits doudous.

Enfin, ce sera l’occasion d’aller voir la maison des usagers de l’hôpital et les différentes associations et bénévoles qui y œuvrent : Les représentants des usagers, bibliothèque, visiteurs des malades, soins palliatifs, yoga du rire…

 

Infos pratiques
Samedi 21 septembre, de 9 h 30 à 16 h 30.

Karine Cozien, nouvelle patronne du tourisme à Deauville, succède à Nathalie Garcia

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L'office de tourisme

Deauville Tourisme est le siège de la SPl dont Karine Cozien est la nouvelle directrice.

Karine Cozien est la nouvelle directrice générale de la Société Publique locale de développement territorial et touristique du territoire de Deauville (Calvados). En un mot, elle est la nouvelle patronne du tourisme pour toutes les communes de Coeur Côte fleurie. Toutes ? Non ! Trouville-sur-Mer fait figure d’irréductible station balnéaire et résiste encore et toujours à l’appel de In Deauville.

Cavalière et originaire de Brest

Karine Cozien succède à Nathalie Garcia à la tête des offices de tourisme du territoire qui ont choisi de se fédérer en société publique locale. La nouvelle responsable du tourisme dans la Communauté de communes connaît bien le secteur puisqu’elle a été directrice du syndicat mixte du haras et de l’office de tourisme de Lamballe.

Cavalière et originaire de Brest a travaillé au sein du comité régional d’équitation de Normandie, et à ce titre, elle a participé à l’organisation des Jeux équestres mondiaux de 2014. 

Lire aussi : Vol d’un jeu de cartes dans un bateau à Deauville : 20 h de TIG pour trois jeunes

Pour rejoindre la SPL, Karine Cozien a quitté le Groupe Pierre&Vacances et plus précisément Center Parcs, à Chaumont-sur-Thoronne, au sud d’Orléans (Loiret), où elle dirigeait une cinquantaine de personnes et gérait une boutique, la location de vélos, la réception, des activités sportives .

Alençon. Voulez-vous faire le parcours des Galopades ?

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Partenaire de la course, le magasin Running Conseil à Alençon propose une reconnaissance du parcours ce mercredi 18 septembre. 18 h-19 h : échange avec Mohamed Serbouti (international français) sur l'entraînement et autres. 18 h 30-19 h : prêt de chaussures Adidas. 19 h : footing sur le parcours (6 km en groupe, allure libre). 19 h 45 : étirements, apéritif, tirage au sort d'une paire d'Adidas et autres. Rendez-vous au 69, rue aux Sieurs à Alençon. Tout est gratuit, sans inscription.

Course pédestre dans le centre-ville d’Alençon, les Galopades du patrimoine ont lieu le vendredi 20 septembre 2019, avec départ à 20h du cours Clemenceau

Il est encore temps de s’inscrire. 

Pour 6 ou 12 km.

Clôture des inscriptions jeudi 19 septembre à 10h. 

Partenaire de la course, le magasin Running Conseil à Alençon propose une reconnaissance du parcours ce mercredi 18 septembre 2019.

18 h-19 h : échange avec Mohamed Serbouti (international français) sur l’entraînement et autres.

18 h 30-19 h : prêt de chaussures Adidas.

19 h : footing sur le parcours (6 km en groupe, allure libre).

19 h 45 : étirements, apéritif, tirage au sort d’une paire d’Adidas et autres.

Rendez-vous au 69, rue aux Sieurs à Alençon.

Tout est gratuit, sans inscription.

Bretagne : des crabes et des chapeaux ronds sur des slips, les internautes pas tous emballés

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Le Slip Français a dévoilé lundi 16 septembre 2019 les régions gagnantes de sa nouvelles collection, dont la Bretagne.

Le Slip Français a dévoilé lundi 16 septembre 2019 les régions gagnantes de sa nouvelles collection, dont la Bretagne. (©©Le Slip Français)

Le Slip Français a mis en vente, mercredi 18 septembre 2019, les premiers sous-vêtements aux couleurs de trois régions, retenues suite à un concours sur les réseaux sociaux. La Bretagne est représentée par chapeau rond, crabe et ancre, des symboles un peu rétros pas forcément très bien vus par les internautes.

Pour ceux qui voudraient porter leur région de coeur au plus près, la marque de sous-vêtements fabriqués en France, Le Slip Français, vient de sortir trois nouveaux modèles reprenant des symboles un peu naïfs de chacune d’elles.

A l’origine de ces slips tous imprimés de bleu-blanc-rouge, une idée de 2016 recyclée par la marque.

Lire aussi : Le Mans : ivre, il rentre chez une dame âgée et s’endort en slip sur son canapé

Voilà trois ans, Le Slip Français, marque jeune et punchy, décide de lancer un concours sur les réseaux sociaux. Elle propose aux internautes de soutenir une région, associée à des motifs. Les symboles des trois régions qui remportent le plus de suffrages seront imprimés sur des sous-vêtements.

Lors de ce premier concours,  la Bretagne était arrivée en tête et les hermines stylisées avaient orné différents modèles de la marque en édition limitée.

Jambon, montagne et frites

Un modèle qui a plu et qui a sans doute donné envie aux concepteurs de se renouveler. Voilà quelques mois, l’entreprise lançait donc une nouvelle campagne sur les réseaux sociaux. 

Les internautes ont alors voté pour les trois régions qui seraient imprimées pour la nouvelle collection parmi un choix pléthorique de montagne, poisson, ballon de rugby, jambon ou encore Tour Eiffel et cornet de frites.

Le classement a donc été dévoilé lundi 16 septembre avec, toujours, la Bretagne parmi les vainqueurs.

Lire aussi : Ce slip fabriqué à Toulouse empêcherait de faire des enfants : on vous explique pourquoi

Déçus du modèle

Mais, cette fois, ce sont donc des chapeaux ronds, des crabes et des ancres de marine qui ornent un boxer, seul modèle imprimé aux motifs bretons pour l’instant (à 40€). Et si les votants se réjouissent, probablement, de pouvoir porter leur slip breton, d’autres se montrent plutôt déçus du choix des motifs.

Sur Twitter, essentiellement, les commentaires négatifs vont bon train et ne prennent pas de gants : 

Plusieurs regrettent aussi le choix des couleurs comme Goaz qui demande

« Merci de ne pas nous associer à vos pitreries. Si on veut faire des slips bretons on se débrouillera très bien sans vous. Bleu blanc rouge ne sont pas les couleurs de la Bretagne. »

Ou encore Jean de Brest : 

A Machecoul St-Même, le resto-bistrot Le Coelho traverse la rue

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Thierry Clémot et Fred Ruiz ouvrent un plus grand Coelho.

Thierry Clémot et Fred Ruiz ouvrent un plus grand Coelho.

Fred Ruiz et Thierry Clémot ont traversé la rue, « non pas pour trouver du travail, mais pour tripler leur capacité d’accueil ! » Forts de leur succès depuis l’ouverture du resto-bistrot Le Coelho en avril 2017 « et parce que nous ne voulons plus refuser de clients le midi, nous avons franchi le pas de nous agrandir ».

Tout a commencé en discutant avec les anciens propriétaires de La Marmite des Capucins, Marine et Greg Fagnot.

Au début, un établissement aussi grand nous faisait un peu peur… Mais, tout compte fait, la surface est nécessaire. De trente places assises précédemment, nous avons maintenant une capacité d’accueil de 72 personnes, plus une quarantaine dans le patio et en terrasse.

Trois employés en plus

Pour ce nouveau challenge, les deux hommes ont embauché trois personnes : deux serveuses, Célia et Élise, et un cuisinier, Daryl, tout juste sorti du lycée professionnel Louis Armand.

Les habitués du Coelho vont retrouver l’ambiance, avec une décoration soignée, pensée par Fred Ruiz. « Nous allons ajouter des touches de soleil, avec toujours en fond le Brésil. » Un vélo a trouvé sa place dans le bar, symbole de la commune, un piano va le rejoindre « pour l’ambiance ».

Des soirées à thème, des concerts

« Nous allons organiser des soirées à thèmes, des concerts. » Premier rendez-vous dès ce vendredi 20 septembre, avec le groupe nantais, Sweet River Band, à partir de 21 h.

Dotés maintenant d’une vraie grande cuisine, Thierry Clémot et Daryl vont concocter des plats essentiellement maisons : burger du Nord, tataki de thon, tartare de bœuf et « toujours nos tartes salées et nos frites maison ».

Le Coelho, resto, bistro, patio, 3 rue des capucins. Ouvert du lundi au vendredi de 11 h à 20 h (le vendredi jusqu’à 23 h). Restauration tous les midis et le lundi soir.

L’info en +

Le petit Coelho va devenir L’En’K. Courant octobre, un snack va ouvrir pour compléter l’offre et « répondre à une demande différente. Un snack avec des formules de déjeuner plus rapide sera ouvert. Nous proposerons des paninis, des bagels, des hot-dogs ».


La Roche-sur-Yon : le club Kiwanis offre 56 200 € de dons à 17 associations

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Le club Kiwanis de La Roche réunis avec les représentants des 17 associations soutenues.

Le club Kiwanis de La Roche réunis avec les représentants des 17 associations soutenues.

Jeudi 12 septembre, les 32 membres du club Kiwanis de La Roche-sur-Yon se sont retrouvés au Domaine Jérémie Mourat à Mareuil-sur-Lay pour une soirée pleine de générosité puisqu’il s’agissait de remettre des dons aux 17 associations qui viennent en aide à des enfants et que le club soutient.

A travers de nombreuses actions menées tout au long de l’année, le club yonnais a pu collecter 56 200 €. Une somme obtenue grâce à la vente de crêpes sur la place Napoléon au mois d’octobre, la soupe des chefs en partenariat avec vingt restaurants de La Roche-sur-Yon en février, la traditionnelle vente de roses en mars, le trophée golfique en mai, la soirée de Gala qui a rassemblé près de 350 personnes en juin, en également la vente de leur cuvée La Touche vendue au cours de ce gala. Une générosité qui profite notamment à des enfants du territoire comme Lola, Martin, Thyméo…

Yvelines. Le bus-dressing de la Cravate solidaire fait escale à Mantes-la-Jolie

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Le bus-dressing de l’association la Cravate Solidaire est posé tout cet après-midi dans le quartier du Val Fourré à Mantes-la-Jolie (Yvelines).

Objectif : conseiller et relooker un public choisi pour l’aider à décrocher un job.

Entamée aujourd’hui à Mantes-la-Jolie, la tournée yvelinoise de ce bus-dressing fera étape le 17 octobre prochain à Sartrouville. Deux nouvelles villes du département l’accueilleront en novembre et en décembre.

Cette initiative, impulsée par Activity’, l’agence d’insertion du Conseil départemental des Yvelines finance l’opération à hauteur de 150 € par participant, à raison de six participants par atelier.

Houssam, à la recherche de la tenue idéale.

Houssam, à la recherche de la tenue idéale. (©Céline Evain)

Les créateurs de l’association sont partis du constat qu’il est parfois difficile pour les Franciliens en recherche d’emploi de se déplacer jusqu’à l’association pour des questions de coût et de temps de transport. Ils ont donc développé ce projet mobile afin d’intervenir directement sur les territoires », explique Etienne Drapeau de la Cravate Solidaire.

Les participants sont accueillis en ateliers individualisés d’une durée de deux heures.

Nous proposons un coaching en image et nous fournissons une tenue adaptée qui leur servira à se présenter en entretien. Ensuite, il y a une simulation d’entretien au cours de laquelle un bénévole en ressources humaines passe 45 minutes à jouer au recruteur. Cette phase est suivie d’un débrief pendant laquelle postures, codes verbaux ou non-verbaux sont décortiqués. »

Houssam, visiblement satisfait avec sa nouvelle tenue.

Houssam, visiblement satisfait avec sa nouvelle tenue. (©Céline Evain)

L’atelier se termine par une séance photo. Ainsi, le candidat repart avec une photo professionnelle qu’il pourra ensuite apposer sur son CV ou sur les réseaux sociaux professionnels.

Alors qu’Houssam a déjà essayé et adopté son pantalon à pinces et sa chemise bleue, Denise, 51 ans, attend son tour. « J’ai travaillé pendant plusieurs années avec des personnes handicapées dans l’association Perce-Neige. Ensuite, j’ai été femme de ménage dans des hôtels 4 étoiles. Mais toujours très loin de Mantes-la-Jolie où je réside. J’aimerais trouver un emploi, par exemple dans la restauration collective », explique-t-elle.

Denise, 51 ans, en recherche d'emploi a participé à l'atelier de coaching en image proposé par la Cravate solidaire et l'agence ActivitY'

Denise, 51 ans, en recherche d’emploi a participé à l’atelier de coaching en image proposé par la Cravate solidaire et l’agence ActivitY’ (©Céline Evain)

Denise est envoyée au bus-dressing par son service d’insertion.

Je trouve l’idée intéressante parce que ces gens sont des professionnels, et ils ont sans doute pas mal de choses à m’apprendre parce qu’ils savent ce que les recruteurs attendent. C’est bien de recevoir des conseils sur comment s’habiller et comment s’exprimer lors d’un entretien d’embauche. »

Pratique : Les communes ou Missions locales intéressées pour organiser un atelier « bus dressing » peuvent contacter ActivitY’ à l’adresse suivante : activity78@yvelines.fr

 

Quel est donc ce champignon découvert chez lui par un Vendéen ?

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Ce champignon avait la forme du Clathrus archeri. Aujourd'hui, il semble avoir perdu de sa vigueur.

Ce champignon avait la forme du Clathrus archeri. Aujourd’hui, il semble avoir perdu de sa vigueur. (©Le Journal du Pays Yonnais)

Jean-Luc Compe, habitant d’Aizenay, a récemment fait la découverte d’un drôle de champignon dans son jardin. 

Sous un arbuste, près de sa terrasse, il a trouvé un Clathrus archeri, également surnommé « les doigts du diable ». Un champignon qui viendrait d’Australie. 

En effet, sa forme plutôt insolite rappelle de longs doigts, de couleur rouge. « J’ai l’impression que ce champignon est apparu quand j’ai mis des copeaux de bois acheté en supermarché, sous mes arbustes », explique Jean-Luc Compe, quelque peu circonspect face à cette drôle de créature. 

Si une association mycologique ou environnementale est intéressée pour étudier le champignon, l’Agésinate est prête à en faire don. mais il n’y a pas de temps à perdre car les « doigts du diable » meurent à l’approche du mois d’octobre.

Évreux. L'ancien boxeur, Fabrice Payen, enseigne l'art de se sentir bien

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Fabrice Payen, ancien moine bouddhiste en Thaïlande, veut mettre en pratique les enseignements spirituels qu'il a appris.

Fabrice Payen, ancien moine bouddhiste en Thaïlande, veut mettre en pratique les enseignements spirituels qu’il a appris.

Fabrice Payen a été, dans une ancienne vie, quatre fois champion d’Europe et une fois champion du monde de boxe thaï, un sport qui l’a aidé à se relever d’une enfance difficile avec un père alcoolique.

« Grâce à la boxe, j’ai rapidement été émancipé. J’ai toujours vu le côté positif des choses. Les apprentissages de la vie, même s’ils sont douloureux, sont importants pour mieux nous dépasser et nous comprendre en profondeur ».

En 2001, cet ancien fonctionnaire à la mairie d’Évreux durant 20 ans raccroche les gants de boxe et se dirige vers la voie de la sagesse et de la méditation bouddhiste. Un art de vivre qui l’amène à endosser l’habit de moine en Thaïlande et en Birmanie en 2004.

Là, il découvre que chaque moine possède une fonction particulière dans le temple.

Moi, je m’occupais de l’entretien notamment avec le nettoyage des 300 marches menant au temple. Le bouddhisme est un art de vivre. Chaque mouvement doit être accompli en ayant pleinement conscience de nos pensées, de nos actions. On revient toujours à l’instant présent ».

Retrouver son corps et ses sensations

Grâce à une séance d’hypnose, il comprend comment maîtriser ses pensées négatives et ses colères et les « nettoyer » pour ne pas les refouler mais les accepter.

« L’hypnose m’a happé. J’ai voulu transmettre à mon tour cet enseignement. Après avoir suivi 800 heures de formation, je suis devenu hypnothérapeute ».

Lire aussi : Un centre dédié au bien-être va s’installer face à la gare de Val-de-Reuil

Souhaitant approfondir ses connaissances, il s’est dirigé vers d’autres pratiques méditatives comme le Chi-Gong, gymnastique chinoise basée sur la maîtrise du souffle qui apporte une harmonie énergétique du corps pour libérer les nœuds émotionnels.

Il a également exploré l’art des magnétiseurs-guérisseurs et du chamanisme axé sur le chant et la musique pour extérioriser les émotions.

Beaucoup de personnes sont dans une rupture sociale, affective et professionnelle. Notre éducation nous pousse à retenir nos émotions. Les maux restent dans notre corps. Il est aujourd’hui important, dans notre société, d’atteindre un confort spirituel, de retrouver son corps et ses sensations ».

Le 28 septembre, Fabrice Payen ouvrira son école de bien-être à l’occasion d’une journée portes ouvertes à la Maison de quartier de la Madeleine.

Les cours, d’une durée de 4 heures, auront lieu deux fois par mois le samedi après-midi et sont ouverts à tous. Un certificat médical sera demandé. « Je vais constituer un groupe en fonction du comportement de chacun.

L’objectif est d’axer sur le corps et la méditation pour que chaque personne puisse éradiquer ses souffrances à la racine et se recentrer sur la manière dont son corps fonctionne, comme une purification mentale de la cause de la souffrance ».

Un suivi individuel des personnes pourra être proposé en dehors des cours. Par ailleurs, des cours à la carte seront proposés. Fabrice Payen réfléchit également à des ateliers de méditation et d’exercices physiques durant un week-end dans un gîte, « une sorte de détox spirituel et alimentaire ».

 

Cours de bien-être à la Maison de quartier de la Madeleine. Journée portes ouvertes samedi 28 septembre après-midi.

Fabrice Payen : 06 50 12 55 80 ou fabrice.payen13@gmail.com

Facebook : Fabrice Payen Meshkah France

 

V. Dobigny

Seine-Saint-Denis. Un rassemblement à Saint-Denis pour demander des moyens dans les établissements scolairess

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Les professeurs du collège Elsa-Triolet, à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) ont organisé un rassemblement jeudi 19 septembre 2019.

Les professeurs du collège Elsa-Triolet, à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) ont organisé un rassemblement jeudi 19 septembre 2019. (©DR)

« Il faut créer des postes pour améliorer le climat scolaire à Saint-Denis ». Voilà le cri d’alerte des professeurs du collège Elsa-Triolet, à Saint-Denis en Seine-Saint-Denis.

Lire aussi : Seine-Saint-Denis. Le Département prend un arrêté pour interdire les pesticides

Pour se faire entendre, ils ont décidé d’organiser un rassemblement jeudi 19 septembre 2019, à 17 h 30, sur le parvis de la Basilique. « Nous voulons rassembler le personnel des différents établissements scolaires de la ville et alerter le maire et le Département des problématiques d’insécurité que nous rencontrons », déclare une professeur du collège Elsa-Triolet.

Un médiateur dans le collège

Ce collège connait un climat tendu depuis plus d’un an maintenant. En effet, l’année dernière, un élève a agressé une professeur avec un pistolet à billes. Il a tiré des billes à plusieurs reprises. Ce même élève a agressé un autre professeur dans le quartier, quelques mois plus tard.

Pour lutter contre ce type d’agissements, un médiateur a été envoyé à l’intérieur du collège. « Depuis son arrivée, il travaille avec les élèves. Il connait les cités et il peut y entrer. Il a lancé beaucoup de projets et d’ateliers qui apaisent la situation dans le collège », ajoute la professeur.

Lire aussi : Seine-Saint-Denis. Une étudiante retrouvée morte chez elle à Saint-Ouen dans une mare de sang

Un mobilisation plus large dans les semaines à venir

Le travail du médiateur a fait ses preuves. Mais à la rentrée alors que l’équipe du collège apprenait qu’un assistant de prévention sécuritaire devait intégrer l’établissement, elle a aussi appris le départ du médiateur pour un lycée de la ville. « Nous avons gagné un poste pour en perdre un ».

Les parents et le personnel des établissements de la ville sont appelés à se rassembler. « C’est le point de départ pour une mobilisation plus large dans les semaines à venir. Il faut gagner des choses pour notre ville », déclare la professeur.

Education : Au collège de Rugles, les notes n'ont plus la cote

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Adieu les notes, sur le bulletin scolaire, ici signé par le principal Emmanuel Lemonnier, on parle de l'évaluation par compétences.

Adieu les notes, sur le bulletin scolaire, ici signé par le principal Emmanuel Lemonnier, on parle de l’évaluation par compétences.

Non acquis, partiellement acquis, acquis, expert. Des couleurs rouges, jaunes, vertes… Sur le bulletin de Thomas, collégien dans l’établissement Victor-Hugo à Rugles (Eure), pas de trace de notes. Vous savez, celles que nous connaissons si bien : 8/20, 10/20, 12/20, 17/20…

Evaluation par compétences

Non, dans ce collège eurois, exit les notes. Ce n’est pas nouveau pour le principal Emmanuel Lemonnier, « c’est la quatrième rentrée que nous faisons avec ce système ».

A la base, un choix « pédagogique et pragmatique de notre part et issu de la réforme du collège (N.D.L.R : portée, en 2015, par la ministre de l’Education Najat Vallaud-Belkacem) ».

Le principal qui a effectué sa sixième rentrée et son équipe ont voulu arrêter avec le système de notation qui peut « dévaloriser et décourager les élèves. D’autant plus qu’une note ne veut parfois rien dire. On ne s’arrête qu’à ça et c’est dommage ».

C’est pourquoi ils ont mis en place l’évaluation par compétences.

A la fin du cycle 4 (N.D.L.R : 5e, 4e et 3e), chaque élève a un socle commun de connaissances, de compétences et de culture. Tout au long des apprentissages, nous travaillons sur un référentiel de compétences.

Pour Emmanuel Lemonnier :

Il était plus cohérent de passer à ce système même si, en effet, le collège est rattaché culturellement aux notes.

Le bulletin.

Sur le bulletin, plus de trace de notes.

Dédramatiser l’erreur

Dans la région, le collège Victor-Hugo et ses 280 élèves, a été précurseur.

Ce système nous permet de voir les progrès et les pistes d’évolution pour chaque individu. On peut cibler ce qu’il sait faire ou non, travailler sur sa posture et son comportement en classe.

Posture et comportement qui sont maintenant évalués et visibles sur le bulletin scolaire.

Cela permet à un élève qui est travailleur, assidu et sérieux de persévérer même s’il a échoué à un devoir.

En d’autres termes, il est valorisé.

Par cette méthode, nous essayons également de dédramatiser l’erreur et de donner plus de chances à l’élève.

Résultat : « il ose davantage ». Une révolution dans l’Education nationale.

On insiste sur les valeurs de persévérance vis-à-vis des nouvelles générations. Nous les incitons à réessayer et à se perfectionner.

Un système d’évaluation par compétences, transversal, qui ouvre la voie à « une pédagogie dynamique et individualisée. Nous pouvons même dire que nous sommes dans le coaching par rapport aux jeunes ». Comme l’explique le principal, « le plus important pour nous, c’est que la notion soit acquise par l’élève ».

Vont-elles disparaître ?

Et même dans le corps enseignant, les bénéfices sont réels.

Les matières sont décloisonnées et entre les professeurs, cela donne lieu à des discussions intéressantes.

Le retour sur expérience ? « Malgré quelques réticences au départ, ce n’est que du positif ». Les résultats du brevet à hauteur de 97 % en sont un exemple. Et sur le bulletin, le sésame tant attendu par les parents, les observations sont toujours là mais sont maintenant accompagnées par les fameux sigles : non acquis, partiellement acquis, acquis, expert. « Nous avons voulu le simplifier pour les parents ».

Les notes vont-elles définitivement disparaître au profit d’un système d’évaluation plus global ? La question a le mérite d’être posée.

Le boulevard Carnot, à Argentan, fermé pendant 2 mois à partir du 23 septembre

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lI est prévu des voies cyclables et piétonnes. © agencetopo.fr

lI est prévu des voies cyclables et piétonnes. (© agencetopo.fr)

À compter du lundi 23 septembre 2019, l’entreprise Eurovia va procéder, à Argentan (Orne) à l’aménagement du boulevard Carnot, du rond-point de la gare à la rue Saint-Jacques.

Argentan Intercom rappelle :

L’entreprise prévoit 2 mois de travaux pour réhabiliter la chaussée (pose d’un nouvel enrobé) ; créer des voies cyclables et piétonnes ; redessiner les 33 places de stationnement.
La végétalisation, quant à elle, sera réalisée par les services des espaces verts de la ville d’Argentan.

Modifications de circulation le temps des travaux sur le boulevard Carnot, à Argentan.

Modifications de circulation le temps des travaux sur le boulevard Carnot, à Argentan. (©DR)

Pendant la période de travaux « et pour des raisons de sécurité, le boulevard Carnot sera fermé à la circulation et dévié par la rue Jean-Soubabère. Seul un accès pour les riverains et aux commerces sera maintenu ».

Lire aussi : L’axe Koenig-Carnot bientôt réaménagé à Argentan

Fouilles préventives

Argentan Intercom note encore : « En amont du lancement de la seconde phase de chantier, des fouilles préventives seront réalisées sur la place du général Leclerc entre novembre et décembre 2019 ».

Ces travaux de première phase sont réalisés sous la maîtrise d’ouvrage d’Argentan Intercom et sont financés par l’État (DSIL : Dotation de soutien à l’Investissement Local), la Région Normandie et la ville d’Argentan.

La phase 2, de la place du général Leclerc à l’entrée du boulevard Koenig, devrait débuter au printemps 2020 pour une durée estimée à 6 mois.

Ils permettront de requalifier intégralement l’entrée principale du centre-ville.

Lire aussi : VIDEO. Les derniers chantiers du nouveau maire d’Argentan


Initiative : deux animatrices d'un Ehpad de Pontivy organisent une brocante avec leurs résidents

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Le duo de choc de l’Ehpad Jeanne-de-Kervénoaël de Pontivy (Morbihan) : Amandine Le Meilleur et Alexandra Quidu, les deux animatrices de la résidence.

Le duo de choc de l’Ehpad Jeanne-de-Kervénoaël de Pontivy (Morbihan) : Amandine Le Meilleur et Alexandra Quidu, les deux animatrices de la résidence. (©Pontivy Journal )

Amandine Le Meilleur et Alexandra Quidu, deux animatrices de choc, ont décidé d’ouvrir l’Ehpad Jeanne-de-Kervénoaël sur l’extérieur, en organisant une kermesse-brocante ce samedi 21 septembre 2019 dans cette structure de Pontivy (Morbihan). Des résidents tiendront les stands ! Elles veulent changer le quotidien des 198 résidents, pour qu’ils voient du monde…

Déjà en boîte de nuit avec les résidents

L’une est une passionnée de brocante, l’autre est plus kermesse. Alexandra Quidu et Amandine Le Meilleur sont les deux animatrices de l’Ehpad Jeanne-de-Kervénoaël à Pontivy, 198 résidents. Et avec elles, ça dépote ! Après avoir emmené des résidents en boîte de nuit au printemps 2019, pour un après-midi dansant, place à la kerm’broc’ ce samedi 21 septembre, dans le parc de la résidence, sur la route de Stival…

Lire aussi : Insolite : à Pontivy, les résidents des Ehpad sortent en boîte de nuit en plein après-midi !

À la brocante, des objets du passé…

Kerm’broc’ pour kermesse et brocante. « Il y a bien notre barbecue au mois de juin, mais les gens s’en lassent. Du coup, on a rassemblé les deux idées, pour organiser une journée kermesse-brocante, ouverte à tous », explique le duo. Et les résidents sont impatients : eux aussi, ont mis la main à la pâte.

Certains résidents vont vendre des objets qui leur appartiennent, qu’ils n’ont pas pu ramener ici lors de leur déménagement. Une résidente a cousu et brodé des napperons, des nappes, des sacs à main pour les vendre ! Nous avons eu une énorme participation des familles aussi, qui donnent plein d’objets à vendre pour le stand de l’Ehpad, qui sera tenu par des bénévoles et des résidents.

Avec le stand de l’Ehpad, les deux animatrices ont l’intention de financer un voyage de trois jours à l’autre bout de la Bretagne, pour les résidents en 2020 ou 2021.

Cela fait six mois qu’elles mitonnent cette grande journée. Cette semaine, elles ont reçu l’aide de familles d’actuels ou anciens résidents, et de l’association des Blouses roses pour tout préparer. Le service de Soins de suite et de réadaptation (SSR) du Centre hospitalier du Centre-Bretagne est aussi de la partie, « on partage le même bâtiment, le même parc ».

Des poneys et des moutons

Pour la brocante, il y aura une dizaine de stands : il est toujours possible de s’inscrire pour s’installer à Kervénoaël ce samedi 21 septembre. Autre animation de cette journée : la venue du chanteur Bernard Gilles, de Loudéac.

Pour la kermesse, des animations à gogo pour les enfants. Entre les traditionnels pêche à la ligne et chamboule-tout, il y aura des balades à poneys venus de chez Josy Rolland, une salariée de l’Ehpad ; un éleveur de moutons de Silfiac avec ses bêtes pour montrer comment on fabrique la laine.

On fait cette kermesse-brocante pour que les résidents voient du monde, pour les changer de leur quotidien. Ils sont impatients, ils n’arrêtent pas de poser des questions. On ne sait pas où on va, c’est une première ; on retient surtout le côté festif.

Une tombola grâce aux commerçants

Amandine Le Meilleur et Alexandra Quidu organisent aussi une tombola : les lots recouvrent toute une table dans leur bureau, à l’Ehpad. » On a sollicité les commerçants de Pontivy. Une vingtaine d’entre eux participe à cette tombola, ils voulaient faire un geste pour la résidence. »

Bref. Une belle journée de fête s’annonce à la résidence Jeanne-de-Kervénoaël. Amandine et Alexandra croisent les doigts pour avoir le soleil.

On ouvre aussi l’Ehpad sur l’extérieur, on montre la structure mais on montre surtout qu’il se passe plein de choses à l’Ehpad.

Infos pratiques
Samedi 21 septembre 2019, de 10 h à 18 h, dans le parc de la résidence Jeanne-de-Kervénoaël, route de Stival à Pontivy (Morbihan), kermesse et brocante. Entrée gratuite. Buvette et restauration sur place. Possibilité de repas : galette-saucisse et far breton 3 €. Repli sous chapiteaux selon la météo. Possibilité de réserver son stand pour la brocante au 02 97 07 15 24.

Le rallye d'Envermeu s'annonce spectaculaire dimanche

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Déjà vainqueur ces deux dernières années, Marc Amourette sera encore favori dimanche à Envermeu.

Déjà vainqueur ces deux dernières années, Marc Amourette sera encore favori dimanche à Envermeu. (©Les Informations Dieppoises)

Déjà vainqueur du rallye régional d’Envermeu à deux reprises (2017 et 2018), Marc Amourette revient pour la passe de trois, ce dimanche 22 septembre.

Le pilote le plus chevronné de la région est le favori tout désigné à sa propre succession.

Il n’empêche que d’autres concurrents tenteront de le déboulonner mais ils auront une tâche qui s’annonce bien délicate.

Toujours très apprécié des pilotes pour l’ambiance qui y règne, le rallye d’Envermeu vaut aussi pour sa programmation en fin de saison et la faible longueur de ses deux épreuves spéciales (Le Bucq et Saint-Ouen-sous-Bailly).

Comme chaque année, les spéciales de la côte du Bucq (5,800 kilomètres) et de Saint-Ouen-sous-Bailly (6,150 kilomètres) seront le théâtre de cette épreuve.

Avec quelque 95 pilotes engagés, les amoureux de sport mécanique ont la certitude d’assister à une belle bagarre, pour le classement scratch évidemment mais pas seulement.

Les groupes et les classes s’annoncent particulièrement disputés.

Certains espèrent bien « chatouiller » Amourette…

Pour la gagne, le nom de Marc Amourette est évidemment cité en boucle.

Le vainqueur du rallye du Pays de Dieppe sera là au volant d’une Citroën DS3 R5, auto avec laquelle il avait gagné à Envermeu en 2017.

L’an dernier, il s’était imposé avec sa Peugeot 208. Marc Amourette vient évidemment pour la passe de trois et rien d’autre.

Lire aussi : Albertine et Blanche, 2 espoirs de la voile à Saint-Aubin-le-Cauf

Il ne sera pas le seul postulant à la victoire finale.

Egalement engagés en groupe R et classe 5, Benoit Vaillant (Citroën C3 R5), Frédéric Roussel (Citroën DS3 R5) et Olivier Boinet (Peugeot 208 T16) arrivent comme outsiders et espèrent bien « chatouiller » Marc Amourette.

Sur leurs terres, les pilotes locaux sont également attendus à leur avantage.

Ce rallye d’Envermeu débutera dimanche un peu avant 9 h avec la spéciale du Bucq et s’achèvera après 16 h après la spéciale de Saint-Ouen-sous-Bailly. Notons que les véhicules historiques s’élanceront une demi-heure avant les véhicules modernes.

 

* Les six épreuves spéciales (horaire de départ des véhicules modernes) :
– Le Bucq : 8 h 57’; 12 h 15’; 15 h 33’
– Saint-Ouen-sous-Bailly : 9 h 32’; 12 h 50’; 16 h 08’.

Insolite. Une chèvre s'invite au restaurant à Aizier

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La chèvre semble s'être égarée et a trouvé refuge au restaurant de la commune

La chèvre semble s’être égarée et a trouvé refuge au restaurant de la commune (©Le Relais des Chaumières)

Les gérants du restaurant d’Aizier (Eure), Le Relais des Chaumières, Raphaël et Manuela Bonis ont reçu la visite d’un client inhabituel ce jeudi 19 septembre à midi. De fait, il s’agit d’une chèvre, qui s’est semble-t-il perdue dans la commune.

Un message sur Facebook

Les restaurateurs ont donc lancé un appel via la page Facebook du restaurant pour retrouver le propriétaire, avec une petite pointe d’humour :

Voici notre invité surprise du jour, mais pour le moment le relais des chaumières ne produit pas encore de fromages de chèvre contrairement à la chevrerie de bliquetuit (notre producteur de fromage de chèvre local). »

Lire aussi : A Aizier, un restaurant vient d’ouvrir sur la route touristique des chaumières

Voici notre invité surprise du jour, mais pour le moment le relais des chaumières ne produit pas encore de fromages de…

Publiée par Le relais des chaumières sur Jeudi 19 septembre 2019

Yvelines. La Micro-Folie de Saint-Germain-en-Laye ouvre ses portes

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Les habitants autront accès aux œuvres les plus célèbres dans le musée numérique.

Les habitants autront accès aux œuvres les plus célèbres dans le musée numérique. (©FabienDeze)

Le grand jour est arrivé ! Après six mois de préparation, la Micro-Folie de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), inspirée des Folies du Parc de la Villette, ouvre enfin ses portes le vendredi 20 septembre de 18 h 30 à 20 h, veille des Journées européennes du patrimoine, dans la salle des Rotondes au Bel-Air. « Cette inauguration est ouverte à tout le monde et les animations seront gratuites », indique la Ville.

Accès aux grands musées nationaux

Le concept de la Micro-Folie, coordonnée par l’Établissement public du parc et de la grande halle de La Villette et associant des institutions culturelles majeures, a été pensé comme un lieu culturel global, modulable et gratuit, organisé autour de trois espaces : le Musée numérique, l’espace convivialité et le FabLab.

C’est un lieu d’un nouveau type, hyper-connecté, modulable, ouvert à toutes les expériences qui a vocation à rapprocher la culture des habitants, et notamment les jeunes, à fédérer les initiatives locales et à donner à chacun la capacité de créer « , explique Arnaud Péricard, maire de Saint-Germain-en-Laye.

Ces espaces permettent tout à la fois de parcourir les collections numériques des grands musées nationaux à l’aide d’écrans connectés et de dispositifs de médiation, de favoriser les échanges entre artistes, associations locales, médiateurs, habitants. « La Micro-Folie est un lieu de culture en même temps qu’un lieu de vie », assure la Ville. Avec son approche pédagogique, la Micro-Folie s’adresse à tous, dans le cadre scolaire, mais également dans le cadre extrascolaire en complicité avec le tissu associatif et culturel du territoire.

La maison Folie Moulins

La maison Folie Moulins (©Micro-Folie de Lille)

Plus de 1 000 chefs-d’œuvre

Ouvert à tous les publics, le Musée numérique propose de découvrir sur un écran géant et sur tablettes plus de 1 000 chefs-d’œuvre issus des musées nationaux tels que le Château de Versailles, le Centre Pompidou, le Louvre, le Musée national Picasso, le Musée du quai Branly, la Philharmonie de Paris etc.

Parmi les œuvres présentées, figurent La Joconde de Léonard de Vinci, Le Radeau de la méduse de Théodore Géricault ou encore Fontaine de Marcel Duchamp. « Il y aura deux modes de conférence, une pour les auditeurs libres et le mode conférencier, pouvant accueillir jusqu’à 60 personnes », précise la Ville.

Des ateliers pour toute la famille

Le FabLab propose, quant à lui, en accès libre un espace numérique avec des imprimantes 3D, des machines à coudre numériques, un espace bricoleur et des ateliers gratuits.

« Ces ateliers pourront accueillir 15 personnes sur inscriptions. Nous essayons d’avoir uniquement des acteurs locaux », ajoute la Ville.

Informations pratiques : Ouverture vendredi 20 septembre de 17 h 30 à 20 h. Entrée libre et gratuite chaque mercredi et samedi de 14 h à 18 h – Réservation : 01 30 87 20 32

Margaux Bourgasser

Carte. Sablé-sur-Sarthe : qui pourra prétendre à des aides de rénovation de logement

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1902 foyers sont concernés par de futures aides sur la rénovation de leur habitat.

1902 foyers sont concernés par de futures aides sur la rénovation de leur habitat.

Ne vous étonnez pas si vous recevez un questionnaire concernant votre logement. La municipalité de Sablé-sur-Sarthe veut « reconquérir son centre-ville » que ce soit au travers des commerces ou les logements.

Grace au dispositif Coeur de Ville, Sablé, comme La Flèche, va disposer de financements.

Des financements qui aideront notamment les habitants du centre-ville à rénover leurs logements. Une des premières étapes : une étude et un questionnaire envoyé aux Saboliens.

Alain Lavoué, maire adjoint, en décline les trois phases.

Nous devons établir un périmètre pour établir un diagnostic en précisant les attentes des habitants pour ensuite proposer un programme d’actions d’amélioration des logements et de renouvellement urbain ».

1902 foyers concernés

Une étude qui a été confiée aux cabinets Solia et Emprixia et qui est financée à 70 % par l’Anah et par le Département de la Sarthe.

Le périmètre est établi, il va du quartier St Nicolas, en remontant rue du général Leclerc, rue Gambetta, soit la partie la plus ancienne de la ville. Il compte 1902 foyers en centre-ville sur 5700 que compte la ville.

Tous les habitants de ce périmètre en centre-ville de Sablé-sur-Sarthe devraient pouvoir obtenir des aides pour rénover leur logement.

Tous les habitants de ce périmètre en centre-ville de Sablé-sur-Sarthe devraient pouvoir obtenir des aides pour rénover leur logement. (©Ville de Sablé-sur-Sarthe)

Un questionnaire anonyme

C’est en centre-ville que l’habitat est le plus ancien et que l’on trouve souvent les familles les plus en difficulté », estime Olivier Fouqueré du cabinet Emprixia qui pilote l’étude.

Acte 1 : établir un plan d’action et pour ce faire, le cabinet a besoin d’un maximum de réponses à un questionnaire envoyé aux 1902 foyers.

Parmi les questions : l’état général du logement, le diagnostic de performance énergétique…

Lire aussi : Ecourues sur la Sarthe : « c’est une mauvaise idée en période de sécheresse »

Peuvent répondre locataires comme propriétaires et « le questionnaire est anonyme », rassure Alain Lavoué.

Le cabinet pourrait aussi contacter au téléphone les habitants qui n’auraient pas répondu.

Des aides qui peuvent être conséquentes

L’idée est ensuite de pouvoir proposer des financements aux habitants qui souhaiteraient entreprendre des travaux avec des montants d’aide qui peuvent être conséquents.

Nous allons choisir un îlot test pour pouvoir en faire un exemple de réalisation chiffré ».

En attendant des propositions chiffrées aux habitants du secteur concerné.

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